Deuxième volet du diptyque du temps.
Attention, c'est la suite du premier volet,
Léviatemps. Il vaut mieux l'avoir lu, me semble-t-il, avant de lire
le requiem des abysses.
On retrouve notre écrivain Guy, qui tente de retrouver ses esprits à la campagne auprès de sa belle Faustine, après avoir démasqué le tueur en série Hubris.
La foudre ne tombe pas deux fois au même endroit en principe. En principe parce que Guy se retrouve à nouveau confronté à une série de meurtres se distinguant par leur horreur inimaginable.
Et comme on est toujours en 1900, la formation pour devenir profileur n'existe toujours pas. Guy doit à nouveau compter que sur ses capacités d'analyses et de déductions.
Remarquez, ça tombe bien, Guy rêve de sonder
le Mal en profondeur pour pouvoir écrire l'oeuvre de sa vie à ce sujet.
Comme je l'ai dit dans ma critique sur
Léviatemps,
Maxime Chattam revient au fondamentaux du profil psychologique du tueur en série.
D'ailleurs il ne cesse de poser des questions tout le long du livre comme s'il voulait que le lecteur réfléchisse avec Guy, pour se familiariser avec le traquage de la folie meurtrière.
Si vous avez aimé le premier volet, je pense que le second vous fera le même effet.