La réalité dépasse la fiction.
Est-il possible de disséquer l'amour ? De pouvoir le quantifier, le qualifier au risque de lui ôter tout pouvoir mystique et de lui faire perdre cette magie qui nous effraie tant car si incompréhensible et non maîtrisable ?
« … plaisantait souvent sur sa propre mort, sur cette liberté. Elle disait que ses cendres seraient portées par le vent et qu'enfin elle pourrait voler. Morcelée en milliers de fragments poudreux, elle visiterait le monde depuis les cieux, et elle finirait par reposer partout à la fois. Elle serait dans les rivières, dans les arbres, sur l'océan et peut-être encore un peu dans les puissants alizés si la chance et la nature y aidaient. »
« il en vint à penser que nous ne dormons pas seulement pour nous reposer. Mais également pour mieux vivre, guérir nos malheurs. Finalement, le sommeil adoucit les peines, il fait perdre leur consistance aux maux et transforme une réalité en un souvenir. »
Quel nom étrange pour une habitation, Crow farm : littéralement "la ferme aux corbeaux" Sinistre et glauque, bienvenue chez les cousins de la famille Adams.
Chapitre 54 Page 462
Peut être par souci de rentre le monde supportable, il existe de rare moments dans la vie d’un être ou l’on se sent transporté et accompli, à la fois vide et empli, un état proche de la transe, à la lisière d’une paix omnipotente. Cet état d’esprit que des penseurs, il y a longtemps qualifièrent de delices et qui devint Éden. Celui la même que d’autres reprirent à leur compte pour appréhender l’éternité sous le terme de paradis
Chapitre 50 page 431
- Si tu ne dors un peu, tu ne seras pas en état d’aller nulle part. Même starsky et Hutch prenaient un peu de repos parfois
Chapitre 45 page 397
- Ah bon ? T’as l’air drôlement calé, t’es mort combien de fois ? Je me disais, y’a comme une odeur...
Chapitre 39 page 344
« C’est pas vrai ! se dit- il. Ils nous ont collé un as de la déduction. Un vrai con qui connaît son droit sur le bout des doigts mais qui n’as pas inventé l’eau tiède ! »
Chapitre 11 page 144
En l’apercevant de la où il se tenait, Brolin eu le sentiment désagréable d’être sur le seuil d’une bouche béante qui attendait patiemment qu’on enfourne son repas entre ses mèches de lierre.
Chapitre 8 page 120