Le monde de Charlie

J'ai vraiment beaucoup apprécié ce livre !

Charlie est un garçon un peu "paumé" dans la vie qui va élargir son champ d'amitié et découvrir l'amour, les soirées, l'alcool ... On suit tout son apprentissage de la vie, des passages drôle, d'autres émouvant ...

L'histoire est simple, bien écrite, et a été adaptée au cinéma en 2013 (d'ailleurs très bon film !)
Conseillé à tous :)

Le style de l'auteur est assez déconcertant, j'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette histoire, tant Charlie est différent, tant on ne comprend pas avant un moment pourquoi il est différent comme cela. La forme du roman est également particulière, vu qu'on se confronte au journal intime du personnage principal, nous nous trouvons donc toujours dans sa tête. Au fil des pages, on apprend donc à connaître ce jeune garçon et son monde. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé (tout comme dans le film) les personnages de Sam et Patrick, qui aident Charlie à grandir (et pas toujours avec les bons moyens).

J'ai apprécié pouvoir m'identifier aux personnages, car certains événements et questionnements sont proches de que chacun peut ressentir à l'adolescence. L'exclusion, la découverte de nouvelles expériences (La première bière, le premier baiser, et j'en passe). de plus, le livre est assez court, et nous est conté sur une année entière, ça permet d'avancer assez vite, et de ne pas s'ennuyer ! La fin m'a beaucoup plu, et tout comme le film m'a beaucoup émue… Je ne sais pas comment c'est possible de faire subir ce genre de choses à un enfant (et je n'en dis pas plus pour ne pas vous spoiler).

Par contre, certains moments m'ont mis mal à l'aise, et je pense que c'est du à l'écriture de l'auteur, qui a une façon parfois particulière de nous faire passer certains événements…mais au fond, c'est un défaut qui est aussi une qualité, car Stephen Chbosky parvient à se démarquer des romans traditionnels pour adolescents.

Bref, j'ai passé un bon moment de lecture, malgré un début assez laborieux… le monde de Charlie est un livre unique sur l'adolescence, qui sort des sentiers battus, et qui le fait bien. A lire.

Attention, livre à retardement ! Ouvrir "Le monde de Charlie", c'est dégoupiller une grenade qui vous explose à la figure dans les dernières pages. C'est du moins l'impression qu'il m'a faite.

"Le monde de Charlie" est un roman composé de lettres écrites par Charlie, un garçon un peu spécial, pas "raccord", comme il le dit lui-même, à un garçon qu'il ne connaît pas mais dont il a juste entendu parler. Dans ses lettres, Charlie raconte son année de seconde, sa rencontre avec deux élèves de terminale, Sam et Patrick, qui vont l'intégrer dans leur groupe d'amis, les soirées auxquelles il assiste, sa première relation amoureuse, les déboires sentimentaux de ses amis et de ses proches, ses lectures.

Pendant l'essentiel du roman, je n'ai pas trouvé tout cela très passionnant et même un peu limite vu le côté "drogue, sexe et rock'n'roll". Il ne se passe quasiment rien de notable dans ce roman jusqu'au dénouement final. On n'a pas l'impression, au début, que les nouveaux amis de Charlie vont tellement l'aider. Ils semblent aussi perdus et flottants que lui, mais dans des genres différents, et ne vont guère lui permettre que de découvrir les cuites, la drogue et les filles. On se dit qu'à ce train-là, la moralité de l'histoire risque d'être un peu limite pour un livre jeunesse. Mais la révélation finale renverse tout. Elle projette dans la lumière ce qui ne semblait être que des détails insignifiants et plonge dans l'ombre ce qui paraissait être les éléments notables. le comportement de Charlie qui, pendant tout le reste du livre, peut paraître trop bizarre et presque irréaliste, devient pour le coup compréhensible et même logique. Elle tient en une phrase, pas très explicite, donc il vaut mieux ne pas la louper.

En même temps, le livre propose une réflexion intéressante sur les traumatismes d'enfance, sur ce qu'on peut être prêts à accepter soi-disant par amour, sur la responsabilité, etc.
En gros, il vaut mieux éviter de lire les dernières lettres avant de se coucher, sinon c'est insomnie garantie. Je vous conseille plutôt de prévoir une petite heure de digestion après avoir refermé ce livre qui, finalement, est de ceux qu'on lit et comprend à rebours.
Un dernier mot sur les personnages, terriblement humains, y compris le prof de littérature, Bill, qui n'est pas une sorte de mentor pétri de sagesse, de M. Keating bis, mais un être humain avec ses failles et ses questionnements.

Edité par une maison d'édition jeunesse, ce roman est à réserver à des lecteurs plutôt mûrs, capables de comprendre la psychologie des personnages la portée de la révélation finale et d'encaisser les scènes plutôt explicites qui émaillent le récit. A partir du lycée.

Expérience inédite que ce livre qu'à l'origine je ne devais pas lire. Je pensais avoir réservé le film et me suis retrouvée avec ce roman pour ados entre les mains. Eh bien je dois remercier l'étourderie car ce livre m'a remuée et tourneboulée et enchantée et plus encore. J'avais plus qu'une envie après : voir ce qu'il en était de l'adaptation cinématographique (mais on y reviendra...) !

Charlie est un garçon de 16 ans que l'on juge un peu freak (comprenez loser, bouc émissaire) dans sa classe de seconde. Sans amis, il compte les jours jusqu'à la fin du lycée. Son ami, Michael, a décidé de mettre fin à ses jours et il est le petit dernier de trois enfants (un frère aîné puis une soeur) derrière lesquels il a du mal à se situer. Il rase les murs en ce début d'année et pourtant son chemin l'amène à fréquenter Sam et Patrick, deux élèves de Terminale qui décident de le prendre sous leurs ailes. Il intègre une bande, découvre les fêtes, l'amitié, le partage autour de la musique ou d'une cigarette mais surtout les prémisses d'un sentiment amoureux. Lui, l'ado décalé est enfin à sa place et ça fait chaud au coeur de le voir entouré. En cours il sympathise avec son prof de littérature, Monsieur Anderson (qu'il appellera Bill) qui lui prête lectures et attention. Enfin, il est bien dans ses baskets !

C'est assez étrange de ressentir aussi intensément la fragilité d'un adolescent entre deux âges, quêtant l'admiration de ses semblables mais désarmé devant leur cohésion qui se fait exclusion. Alors Sam et Patrick c'est la liberté, la nouveauté et le goût d'un nouvel avenir.
Il m'a touchée Charlie avec ses réflexions un peu naïves mais pleines de bon sens.

Je crois que j'aurais encore plus adoré lire ce livre en pleine adolescence car Charlie est quelque part un exemple de volonté, de débrouillardise et de franchise. Composé en lettres adressées à un destinataire mystérieux, ce livre restitue une année de vie tout autant apprentissage des codes de la communauté qu'exploration de sa propre identité. Gros plus : play-list des morceaux préférés de Charlie en début de roman (ce que j'écoute d'ailleurs actuellement et il a de fameux bons goûts !) et liste de ses romans préférés, dont ceux prêtés par son prof, en fin d'ouvrage. Voilà de quoi orienter vers d'autres pistes pour qui aurait accroché au personnage. C'est mon cas et, c'est une première, un personnage fictif aura eu raison de ma LAL (liste à lire).

Livre sensass qui donne le goût de lire mais qui est aussi poignant et plein de petits cailloux semés ici ou là. A vous de partir à sa suite car je n'ai dévoilé qu'une infime partie du roman.

Charlie est « exceptionnel » selon son prof Bill, ou « pas raccord » selon lui-même, ou « dégénéré » selon les gens du lycée.

Charlie est hyper-sensible, il pense d'une façon excessive et analyse tout. Il entre au lycée quelques mois après le décès de son ami Michael. Suicide dont on ne saura rien ou peu, juste cette phrase : «Michael avait des problèmes à la maison ».

Charlie a du mal à s'intégrer au lycée, trop différent, pas assez lisse pour les autres élèves, il a des difficultés à se fondre dans la masse.

A la maison, Charlie est le cadet, sa soeur est en terminale occupée à gérer ses histoires de coeur et son frère est à la fac, destiné à une belle carrière dans le football. Leur tante Helen est décédée il y a plusieurs années et on comprend que sa mort a beaucoup affectée Charlie.

Jusqu'au jour où deux originaux, Patrick et Sam le prennent sous leurs ailes : avec eux, Charlie va enfin grandir...

Personnellement, j'ai mis un moment à entrer dans le livre ; Charlie écrit des lettres à une inconnue où il se dévoile entièrement; son style est à son image : infantile, pur, simple, émotif. Ses lettres font donc offices de journal intime s'étalant sur près d'un an. Parfois c'est très beau et d'autres fois, dur à lire car très mélancolique. Charlie a des problèmes psychologiques et on sent qu'il oscille sans cesse entre le bonheur et la tristesse, on devine que la noirceur n'est jamais bien loin. Des références à des séjours à l'hôpital insistent là-dessus. On se doute qu'un traumatisme doit être à l'origine de cette tristesse, ce que la fin du roman dévoilera de façon assez abrupte.

Les instants passés avec Patrick et Sam offrent les plus beaux moments du récit, et construisent le roman comme un roman d'apprentissage.

Charlie va se construire auprès d'eux, il va multiplier les expériences, se socialiser et découvrir tout un pan de la culture américaine des années 90 grâce à eux et aux livres que lui conseille son prof Bill. Les références au film The Rocky Horror Picture Show, à Nirvana, à la Beat Generation sont nombreuses. La bande-son et les livres préférés de Charlie sont d'ailleurs listés en début et fin de roman. Mais surtout grâce à ces personnages clés comme Patrick, Sam, Mary Elizabeth, Bill, Charlie va tout doucement s'ouvrir aux autres, raccorder les morceaux de son histoire et comprendre peu à peu sa personnalité et surtout se confronter à la violence des souvenirs que l'on oublie.

Les personnages secondaires sont extrêmement biens traités, ils ne sont jamais des faire-valoir, mais possèdent chacun un charme, une personnalité bien définie.

Le monde de Charlie (paru auparavant sous le titre Pas raccord) est un livre qui m'a retourné, la douleur de Charlie, son espoir d'aller mieux, son incompréhension du monde réel et ses tentatives de s'y impliquer m'ont touché. Sa différence, accentuée par son côté passif et asexué, ne cesse de le tenir à l'écart des autres. Apprendre à être « là » est ce à quoi va se confronter Charlie ; apprendre à vivre avec soi-même.

Difficile de dire si j'ai aimé ce livre. La fin m'a remuée, et le malaise de Charlie m'a beaucoup affectée et je l'ai ressentie peut-être trop intensément tout le long du roman. Son personnage m'a fait penser à celui de Brian dans le très beau film de Gregg Araki, Mysterious Skin.

Ce qui m'a plu en tout cas, c'est la façon d'écrire de Charlie, le regard sensible et simple qu'il porte sur le monde avec parfois une incompréhension prompte à nous faire sourire. le monde de Charlie reste indéniablement un roman intelligent et sensible sur l'adolescence.
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Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre à la lecture de ce roman. En effet je ne me suis lancée dans cette lecture qu'après avoir hésité pour un partenariat, et je me suis dit : pourquoi pas ?! Et bien j'ai passé un agréable moment avec Charlie. Charlie est un adolescent qui écrit des lettres à son « ami » (nous ne savons pas qui il est même à la fin). En lisant cette correspondance on apprend à connaitre Charlie qui est tout de même un adolescent mal dans sa peau. Et il nous raconte sa vie, ses pensées, sa relation avec ses quelques amis, et sa vie au sein de sa famille, tout cela durant son année entière de lycée.
L'histoire ici tout comme le titre l'indique se préoccupe de la vie de Charlie. Ce dernier a une vie plutôt difficile. Il vient de perdre deux personnes qu'il affectionnait beaucoup : sa tante Helen dont il était très proche, et son meilleur ami Mickael. Dans son lycée il est plutôt en marge, il se sent exclu et incompris. Jusqu'au jour où il rencontre Patrick et Sam avec qui il va connaitre enfin la jeunesse adolescente ; et où Bill son professeur de littérature va aussi devenir son ami en lui ouvrant des horizons à travers des romans.
Charlie est un adolescent qui cherche sa place à travers son mal être apparent, et on le voit évoluer à travers des situations variées qu'elles soient positives ou négatives. Il est vraiment attachant. Et au fur et à mesure on passe d'un garçon effacé, à un garçon qui prend plus d'assurance, plus confiance en lui. La révélation de la fin est vraiment surprenante, et l'on en comprend mieux les réactions de Charlie tout au long de son année.
L'auteur utilise le style épistolaire pour son roman. Ce style est très intéressant car il permet vraiment au lecteur de suivre la vie de Charlie en se sentant presque le destinataire de ces lettres. Il ne faut pas s'attendre à une oeuvre littéraire de fait, car les phrases sont courtes, tout comme les dialogues. Mais c'est aussi ce qui donne le mouvement dans ce roman, sa particularité.
Je ne dirai pas que c'est un coup de coeur, mais la lecture du « monde de Charlie » m'a fait passer un bon moment. Il est difficile de ne pas se remémorer notre propre jeunesse pendant nos études ou l'on n'y a tous connus de bons comme de mauvais moments tout comme Charlie.



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"Le monde de Charlie" ou " The Perks of Being a Wallflower" en anglais est un livre publié en 1999 par Stephen Chbosky.

Dans cet ouvrage, on retrouve le concept du journal intime ou plutôt de l'échange épistolaire avec des lettres destinées à une personne inconnue, écrites ici par Charlie : un jeune adolescent qui nous fait part de ses inquiétudes, de ses observations et de ses rêves. Sensible, attentionné et d'une certaine manière poétique, le garçon incarne le caractère du "Wallflower" : une personne réservée et sensible à son environnement, qui observe la vie autour de lui plutôt que de vivre la sienne.
En effet, l'écriture nous donne l'impression de voir le monde tel une scène de théâtre, à travers les yeux du spectateur, ceux de Charlie.

J'ai adoré voir Charlie évoluer au fil des pages et trouver sa place entouré de ses amis et de sa famille.

On y aborde divers sujets dans cet ouvrage et notamment ceux de l'amitié, de l'amour, de la masculinité toxique (d'une certaine manière) ou encore du deuil et de la remise en question. Tout dans ce livre, à l'apparence simpliste et enfantine, nous donne à nous questionner sur le sens de la vie.

Je recommande ce livre aux adolescents et plus particulièrement aux fans de John Green et de Jennifer Niven.

Bien avant de me décider à ouvrir ce livre, ou plutôt de le mettre en route sur ma liseuse, j'avais déjà eu l'occasion de voir passer pas mal de chroniques et avis divers. La plupart étant positifs d'ailleurs. Mais c'est peut-être justement pour cette raison que j'en attendais trop, la barre était peut-être fixée un peu trop haute de ma part. Attention, je ne dis pas que je l'ai trouvé mauvais, ni qu'il ne faut absolument pas croire en tout ces avis positifs se trouvant sur la toile ! Mon ressenti envers un livre est totalement personnel, si vous le lisez juste après avoir vu ma chronique, peut-être allez-vous venir me dire que je raconte n'importe quoi et que ce livre est excellent.

Mais, je ne vous laisse pas comme ça sans explications de ma part sur le fait que cela n'a pas fonctionné avec moi !

Des livres ayant pour trame principale le mal-être d'un adolescent, j'en ai déjà lu pas mal, tout comme pour les films ou les séries. En y regardant de près, au final, nous tournons toujours autour des mêmes scénarios, simplement les suivants sont expliqués différemment, ou tout simplement un des ados est lui-même différent sur certains aspects, que cela soit dans le privé ou même au niveau des tenues vestimentaires. Mais au final, la base reste la même.

Alors, une hypothèse possible est que justement, j'en ai lu trop de ce genre. J'ai l'impression que nous finissons par tourner en rond, on prend la trame de base et on brode un peu différemment autour, mais cela reste le même. Je ne vois pas trop de prises de risques, et c'est là que moi je bloque un peu.

Je suis d'accord pour dire que le récit est bien écrit, d'une manière plutôt fluide et agréable. Les personnages ont chacun ce petit truc pour que nous puissions nous attacher à eux. Cependant, il me manque ce petit quelque chose de nouveau, d'innovant, de totalement différent de tout ce que nous avons déjà la possibilité de lire ou voir.

Bref, avec moi, cela n'est pas passé, pourtant, je reconnais tout les points positifs, et je sais que ce livre a déjà son public.

Aujourd'hui je vous parle de "Pas Raccord", aussi connu sous le nom "Le monde de Charlie", de Stephen Chbosky.

J'ai eu envie de le lire parce que j'avais beaucoup aimé le film. Je vous préviens, le livre est plus cru que le film.
C'est la première fois que je lis un roman épistolaire, j'ai de ce fait été un peu surpris au début. Je me suis dit : "Ça ne va pas être tout le long comme ça quand même !". Mais si. Puis au final, je me suis habitué, même assez rapidement, et je trouve que ça a un côté plus immersif, plus intime. Encore plus quand un sait que c'est un roman en partie autobiographique.

Je ne vous cache pas que c'est un coup de coeur ! J'ai rapidement été emporté dans l'histoire, et ai eu du mal à poser le livre à chaque fois ! C'est un livre qui m'a beaucoup touché, avec certains sujets qui me tiennent à coeur, des "personnages" dont je me suis senti proche, auxquels on s'attache, et une manière différente d'écrire et de raconter une histoire, qui fonctionne. On vit avec Charlie, on apprend avec lui, on s'élève avec lui, puis on en revient différent.

C'est un livre touchant, drôle, intéressant, mais aussi dur et triste. Difficile de le refermer sans avoir versé une larme !
Il traite de sujets durs et/ou compliqués, tels que la drogue, le sexe, l'homosexualité, le suicide, la dépression, et j'en passe.

C'était vraiment intéressant de voir les changements de Charlie. Au fur et à mesure que le livre avance, on voit qu'il évolue et prends plus d'assurance, va moins mal, s'affirme, grandit.
Je l'ai beaucoup apprécié, d'autant que je lui ressemble énormément (pas pour tout, mais pour beaucoup de choses) ! C'est incroyable de voir que l'on se ressemble même pour des choses futiles, par exemple dans sa façon de parler de certaines choses, ou comme lorsqu'il hésite entre deux mots, il met les deux. Par exemple : "Le rat (ou la souris)", et ce à chaque fois qu'il le (ou la) cite 😛

J'ai aussi beaucoup apprécié Patrick ! Il est adorable et drôle et fait que l'on s'attache facilement à lui, il attire la sympathie. Je l'ai vraiment beaucoup aimé, un peu comme s'il faisait partie de ma famille.

Et puis il y a Sam. Elle est la femme que j'aurais aimé avoir. Douce et gentille, facile à vivre, compréhensive, à l'écoute, toujours là pour guider Charlie tout en douceur. Juste quand il faut, comme il faut, avec la manière qu'il faut.

Elle grandit avec Charlie, apprend à ses côtés, tout en l'aidant à mûrir.

Bref, je me suis senti très proche d'eux, mais vu que je ressemble beaucoup à Charlie, j'imagine que c'était logique.

On ne s'ennuie pas une seconde avec ce livre ! Même les passages insignifiants sont intéressants et intrigants !
C'est une lecture qui fait forcément réfléchir. Sur la vie, les relations, le monde, les points de vues. Un livre original certes, et qui a quelque chose de plus.
Je ne peux que vous le conseiller !

la vie est belle. c'est sans aucun doute ce que je retiendrai le plus de livre. aimer la vie, savoir traverser les épreuves qu'elle construit devant nous, et surtout apprendre comment la vivre. ce roman épistolaire est un véritable hymne à la vie. pour moi Charlie est en quelque sorte une métaphore, et quoi de plus beau que de vivre la vie comme une métaphore. ce livre m'a énormément apporté et la qualité première, (parmi toutes celles que celui-ci comporte) est que nous pouvons tous être un Charlie, alors bien entendu ( et je l'espère de tout coeur) nous n'avons pas tous vécu ce drame affreux qu'il a vécu avec sa tante, tant dans la mort de cette dernière que par ce qu'elle a fait à Charlie ; mais ce livre comporte de l'espoir et l'espoir est ce qu'il y a de plus beau. pour revenir enfin sur le livre lui-même je trouve que tous les personnages sont bien développés dans une parfaite harmonie, le jeune âge de Charlie n'a pas de réel conséquence sur sa manière de parler ce qui permet une lecture fluide et surtout une bonne compréhension. je terminerai cette critique en recommandant bien évidemment ce roman à toute personne, et surtout de tout âge, car il n'y a pas d'âge pour espérer.