Il m’appelle son remède, son havre de paix, sa liberté, mais Landon est tout l’inverse pour moi. Il est mon point faible, ma kryptonite, ma cage. Alors que je le tire vers le haut, il m’entraîne vers le bas. J’ai du mal à comprendre que l’amour ressemble autant à une bataille. Et si Landon est en train de la remporter, je suis en train de mourir au combat.
C'est l'effet qu'on a l'un sur l'autre. On se tire vers le haut, même sans le vouloir. Je crois que c'est ça, l'amour, en fait. Quand on aime une personne, on se guérit dès qu'on est avec elle.
C'est injuste que Dieu ait la compagnie des plus belles personnes, alors qu'on n'avait pas fini de les aimer.
L'amour arrive à son propre rythme, sans se soucier du temps, de l'espace ou des contraintes.
Même s'il n'est pas toujours le bienvenu, il remplit les êtres de chaleur, d'espoir et d'un sentiment d'appartenance. Or, quand la personne qu'on aime nous quitte sans donner de date de retour... on est forcé d'attendre en retenant son souffle.