Bloody Black pearl
Ce livre est parfait contre les bad mood ! Laurence ne passe pas par quatre-chemins. C'est cash, c'est fun, c'est rock'n roll !
À présent, je peux le dire, je fonce les yeux fermés concernant les romans de
Laurence Chevallier. Et celui-ci ne déroge pas à la règle. Je ne savais pas vraiment dans quoi j'allais m'embarquer seulement que je n'allais pas être déçu !
Dans Bloody Black Pearl, il n'y a pas de censure. C'est le choc des milieux. Entre Max, le pilote de ligne et Tony la caissière/barmaid, rien ne les prédestine à se rencontrer. Sauf peu être cette lueur de défis, cette flamme, cette urgence. Et my god c'est explosif !
"Cette nana parle plus mal qu'un chauffeur poids lourd"
Ils montrent une telle persévérance. C'est également une rébellion contre leurs familles respectives qui n'y croient pas une seconde. Autant d'un côté que de l'autre. Mais qui sont ils pour juger de l'amour de deux personnes ? Enfin, avant de parler amour, parlons insultent 😂. Ça fuse. Des dialogues endiablés, des jeux de regard enflammé, des situations cocasses, plus que gênante (coucou belle maman).
"Lorsque j'ai rencontré Tony, j'ai ressenti la même chose que lorsque j'ai volé pour la première fois en solo : un sentiment de liberté, d'excitation, une impression d'envoyer se faire foutre le reste du monde"
La vie n'est pas simple, mais quand on nous met des bâtons dans les roues ça l'est encore moins. Max et Tony nous prouvent qu'un peu de rock, un slow sur du Metallica et quelques cocktails plus tard, tout est possible ! Il suffit d'y croire et de croire en soi.