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sur 896 notes
Player One
(roman) Style: Science-fiction virtuel

Une Adaptation de Player One va bientôt sortir en film le 30 Mars 2018. Réalisateur : Steven Spielberg!!!

Amateur de fantastique avec un mélange de la science fiction. Player One est dans les qualités des Harry Potter ou Trône de fer. Uniques dans son univers, Enerst Cline démontre que lui aussi vien de crée une oeuvre .... qui risque de faire parler beaucoup et couler beaucoup d'encre!!

A vous de juger lisez le!!

Il vous reste quelque mois ... avant Mars.
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Le livre intéressera 3 publics. Les geeks ferus des années 80, les ados qui baignent dans le monde du jeu et les dinosaures qui ont réellement eu dans les mains un TRS80, un commodore 64 ou un Apple 2. Ayant eu les deux derniers, vous pourrez donc facilement me classer dans le profil de lecteur.

La lecture sur tablette est chaudement recommandée vu la richesse des références : nostalgie quand tu nous tiens... J'ai beaucoup apprécié de pouvoir cliquer sur une référence et obtenir directement le renseignement sur le Web.

Pour le reste on a un second life façon World of Warcraft, matiné d'une dystopie et d'un peu de retour haptique dernier cri.

Sympa et un bon moment
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Ne vous méprenez pas, ce n'est pas « juste un bouquin où on va suivre le quotidien d'un petit geek du futur », bien au contraire ! C'était ce que je pensais quand je l'ai acheté, mais j'ai bien vite changé d'avis.

Truffé de références diverses (à Perceval pour le pseudo du héros, aux années 80's dans presque tout le reste du livre), c'est un petit bijou. N'étant pas une adepte des années 80's, je n'ai pas pu saisir toutes les références, mais elles sont souvent explicitées (et bien de surcroît) par l'auteur qui sait nous faire passer ainsi tout l'amour qu'il a pour cette décennie… Est-il geek lui même ou bien a-t-il grandi durant cette période ? Quoi qu'il en soit, j'ai bien l'impression qu'il a inspiré (au moins par sa connaissance des années 80's) le personnage de Halliday / Anorak.

Véritable encyclopédie quant à la vie de son héros, Wade / Parzival s'est jeté à corps perdu dans la quête des trois clefs, pour pouvoir s'extraire de la pauvreté extrême dans laquelle il a grandi : squattant entre la buanderie de la caravane de sa tante, tout en haut d'une des piles les plus instables de son quartier, et une carcasse de voiture enfouie totalement sous une autre pile à l'autre bout du quartier, il aurait bien besoin de quelques sous supplémentaires, d'autant que la vie est extrêmement chère, tant dans le monde réel que dans l'OASIS, où il va à l'école, et où la plupart des emplois sont à pourvoir. La Terre est ravagée par la pauvreté, l'argent a cours dans l'OASIS et dans le monde réel, mais la vie est tellement difficile que la plupart des gens préfèrent se perdre dans l'OASIS en oubliant leur véritable identité.

Le rythme du récit est très bien dosé : au début il est presque long, tellement il faut de temps à l'auteur pour poser les bases du récit, mais une fois que c'est fait, le rythme s'intensifie jusque la dernière page. Les phases d'action sont également très bien dosées, rendant le récit haletant : je n'ai pas réussi à poser le livre avant de l'avoir terminé, et ce en une après-midi.

Roman d'amitié, de rivalité et d'anticipation, le livre nous met en garde sur ce que pourrait devenir le monde dans un futur où la technologie prendrait toute la place à défaut de la véritable vie. J'ai beaucoup aimé, et le recommande pour tous : que vous vouliez faire lire un ado peut habitué aux livres, que vous ayez envie de lire quelque chose de différent, c'était une lecture des plus agréables et sympathique.

La critique complète sur http://www.leplaisirdelire.fr/player-one-ernest-cline/
Lien : http://www.leplaisirdelire.f..
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Au bout d'une dizaine de page de lues, j'ai bien faillis abandonner. N'étant pas du tout imprégné de l'univers des Geek et de la culture pop de années 80,je me suis vite demandé dans quoi je m'étais embarqué ! Je me suis dis " Bon tu te force un peu hein ! !fini les conneries " et au bout d'une cinquantaine de pages, je me suis mis à fond les ballons dans cette quête à l'oeuf ! j'ai passer une très bon moment de lecture contre toute attente !
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Les fans de SF : ne réfléchissez pas, foncez !

Cela faisait un moment que je n'avais pas tourné des pages aussi rapidement. L'histoire est plus que prenante. le récit est ultra fluide et dynamique.

Si vous êtes un enfant des années 80 vous allez certainement nager dans le bonheur. le livre est gorgé de références. Certaines connues du grand publique, et d'autre un peu plus planquées.

On regrette légèrement que le côté dystopie ne soit pas très présent…

Ce roman est un chef d'oeuvre. Recommandé pour les fans de SF et plus encore pour les enfants des années 80.
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J'ai adoré ce livre, j'étais vraiment à deux doigts d'avoir un coup de coeur. Mais ce roman est vraiment bien. Bon, je vais faire ma chronique avec des questions-réponses. Dites-moi si ce format vous plaît?

Suis-je une geek ? Fan de jeux vidéos ?

Non, j'avoue, je ne joue pas aux jeux vidéos. Enfin, en seulement une occasion, quand je vais chez ma meilleure amie, car elle est fan de jeux vidéos. J'ai eu l'occasion de jouer à Mario, sur Nintendo, et à Super Mario Odyssey. Cependant, je maîtrise tellement bien les manettes que Mario a tendance à tourner en rond les trois quarts du temps.
Ma chronique complète :
Lien : https://lesparaversdemillina..
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Ready, player one ? Alors c'est parti pour l'aventure !
Player One est un roman du genre cyberpunk, qui ne dit pas son nom. Dans un monde post-apocalyptique où deux compagnies richissimes exploitent des milliards de pauvres, Wade Watts survit au jour le jour, partageant son temps entre le monde réel et la simulation de l'Oasis.

Lorsque le créateur de l'Oasis, un multimilliardaire obsédé par les années 80, vient à mourir, il lance un concours d'une démesure indécente : il met en jeu la totalité de sa compagnie et de sa fortune personnelle. Un seul moyen pour gagner : marcher dans ses pas.

Oui, vous avez bien lu. Exit la belle onirie dépeinte par l'adaptation cinématographique. Dans le livre, Gregarious Games est tout aussi vénale que IOI. Dans l'Oasis, tout se monnaie, à tel point que le Crédit Oasis devient la monnaie réelle la plus stable. Et avant de passer des années à s'acharner sur la chasse à l'oeuf, personne n'adulait James Halliday. Les gens étaient trop occupés à survivre.

Le décor et l'intrigue plantés, laissez-moi vous expliquer le moteur du roman : l'obsession de Halliday. Oui, le principe du roman n'est pas, comme j'ai pu le lire dans des critiques négatives, de jeter une liste de références gratuites à la figure du lecteur. Plus on avance dans l'histoire, et plus le narrateur, Wade, nous fait plonger avec lui dans les méandres de l'esprit de Halliday. James Halliday, tel qu'explicitement dit dans le livre, est autiste. Les circonstances de sa jeunesse l'ont amenées à développer ce qu'on appelle un "intérêt spécifique" pour la pop-culture des années 1980. Chaque aspect de son existence est perçue à travers son immense connaissance de cette décennie. Les références ne sont pas gratuites : elles sont Halliday. Et plus on avance dans l'histoire, plus Wade se met dans la peau de Halliday, plus elles prennent de l'importance.

L'expérience en tant que lecteur est grisante. Moyennant la puissance de notre imagination, stimulée par une narration (et une traduction) au poil, on se prend à incarner Wade qui incarne Parzival qui incarne l'espoir. Dans sa quête du graal, notre chevalier de la table virtuelle sacrifie tout à Halliday, un homme simple érigé au rang de divinité par le capitalisme, et qui a tout fait pour s'en tirer. Pour gagner le concours de Halliday, et devenir l'actionnaire majoritaire du plus grand empire de l'Histoire, rien ne sert d'amasser fortune et pouvoir. Il faut devenir non pas un PDG, ce que Halliday était à la fin de sa vie, mais un geek des années 80,ce que Halliday était parvenu à devenir, à l'époque où il était le plus heureux.

Enfin, j'aimerais ajouter un petit mot sur Nolan Sorento, afin de vous convaincre. Oui, Nolan est un homme avide et cruel. Comme la moitié de l'humanité, dans ce monde (voire dans le nôtre). Mais Nolan n'est pas le crétin opportuniste présenté dans le film. Ses références, il les maîtrise. Il sait jouer. il sait se battre. il mérite son poste de directeur. Il est ambitieux. Corrompu par le Grand Capital, mais pas un vendu. C'est un bon antagoniste, fidèle à ses principes.

Oh, et sans trop en dire :
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J'ai découvert ce roman par le biais d'un extrait d'une page dans un manuel de français de terminale bac pro. J'ai tout de suite bien accroché et j'ai eu envie d'en découvrir davantage. J'ai donc profité des premiers jours de vacances pour me plonger dans les 606 pages du roman, il me fallait un peu de temps pour vraiment me plonger dedans.

Dans un futur proche, le monde est quasi invivable et la majorité de la population se plonge dès que possible, voire à longueur de journée, dans le monde virtuel de l'Oasis. Un jeu, des mondes, des planètes, programmés par Halliday, son grand inventeur. A sa mort, celui-ci laisse une énigme: trouver un oeuf. L'Oeuf. Mais les étapes, les énigmes sont tortueuses et des années se passent avant la découverte de la première clé, puis tout s'enchaine...

Dans cette société, tout le monde peut devenir chasseur d'oeuf, chassoeuf, mais, que ce soit pour la quête, comme pour la simple immersion dans le jeu, il faut un minimum de moyen, d'accès à internet. Ce jeu agit comme un révélateur des inégalités de la société. Et se couper de celle-ci par de trop longues immersions peut rendre le retour à la vraie vie difficile.

Je viens aussi de voir le film, Ready Player One, de Spielberg, juste après avoir lu le livre. Et bien, il n'y a pas photo, je préfère le livre. Mais ce n'est pas le lien pour une chronique de film.
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Intrigué par l'annonce du film "Ready Player One" de Steven Spielberg, j'ai été surpris d'apprendre qu'il était en fait l'adaptation d'un roman que je ne connaissais pas. Intéressé par le registre SF et les multiples références de la pop culture annoncées dans ce livre je me suis empressée de le lire...

Facile à lire, on se plonge sans problème dans cette aventure signée Ernest Cline. Un triste contraste entre la réalité future d'une terre ravagée ; et le semblant de confort d'une de vie virtuelle (offrant une multitudes de possibilités pour peu qu'on en ai les moyens). Une véritable quête dans cet OASIS aux côtés de Parzival et de ses compagnons.

Un certains nombres de références m'étaient certes méconnues, mais une chose est sûre le plaisir était au rendez-vous !
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Pour échapper à la grisaille du quotidien et au marasme dans lequel est plongée la société, une grande partie de l'humanité, entassée dans des bidonvilles surpeuplés, se rend quotidiennement dans l'OASIS, monde virtuel où tout devient possible. La plupart étudient, travaillent et surtout passent des heures à jouer à des jeux de rôle.La présentation de l'univers dans lequel évoluent les personnages est intéressante mais,assez lente avant que l'action et les rebondissements ne s'enclenchent, que l'intrigue se mette en place et que se lient des amitiés, des rivalités ou des inimitiés. L'histoire néanmoins n'est pas qu'une série de clins d'oeil et de renvois à la culture geek mais aussi une critique manifeste du monde virtuel qui dénonce les dangers de l'isolement social et du repli sur soi pour se perdre dans un univers onirique. C'est aussi un questionnement sur la réalité et la pérennité de ces liens virtuels et des sentiments qu'ils peuvent susciter ainsi qu'une dénonciation de la surveillance généralisée et des dérives que permettent les réseaux. Ernest Cline puise dans une foule de références culturelles qui offrent, outre de rappeler d'excellents souvenirs, l'opportunité de découvrir ou redécouvrir tout un patrimoine meconnu ou trop souvent oublié. Ready Player One peut paraître assez sélectif si on ne possède pas certaines connaissances sur l'époque ou une passion pour les jeux vidéo mais reste globalement des plus accessibles..Assez different de l'adaptation sur grand écran, plutôt réussi pour une fois de Spielberg, qui privilegie l'action spectaculaire et les effets spéciaux au detriment de la profondeur, le roman est plus recherché et réfléchi. Si on fait légèrement abstraction des fastidieuses énumerations des équipements magiques et technologiques, des longues descriptions ultras détaillées du matériel informatique et des parcours au sein des jeux d'arcade, l'ensemble est tout à fait plaisant, accrocheur et plutôt instructif. Une dystopie en forme d'hommage à la fantaisie, la science fiction,les séries et la musique des années 70/80.
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