Six ans déjà

Trouvé dans une boîte à livres de mon quartier.
En lisant la 4ème de couverture, je n'ai pas résisté à l'emprunter pour mon trajet.
j'ai l'impression avec cet auteur, de lire toujours la même chose.

La fin ne m'a absolument pas surpris.

On dirait qu'il fait des livres pour le placement de produits. j'ai lu un nombre de fois incalculable le nom d'un moteur de recherche, d'une marque de voiture, d'une boisson brune pétillante, ...

Bref, tout ça m'a littéralement saoulé.

Merci, bon soir, j'en ai fini avec cet auteur.

Je ne connaissais Harlan Coben que de nom, enfin juste pour l'avoir vu sur la couverture de romans dans des catalogues de livres dans la catégorie polar. J'ai déjà en ma possession une belle brochette d'auteurs de polars de différentes nationalités. Celui-ci vient s'ajouter à la liste, mais sans conviction.
C'est un prêt d'un ami qui m'a permis de découvrir « Six ans déjà ». J'espère que ce n'est pas le meilleur roman de Coben.
Sans à priori sur les auteurs américains que j'ai pu lire, j'avoue n'avoir pas souvent été convaincu. Celui-ci ne fait pas exception. Pourtant le résumé est alléchant. Cet homme qui va aux obsèques du mari de son ex-petite amie, pour la revoir, et ne la voit pas ! Ce n'est pas la bonne veuve…
On accroche bien le premier tiers du livre pour se mettre en condition. le deuxième tiers part dans trop de directions, et on a hâte de finir le troisième tiers pour savoir le fin mot de l'histoire. Malgré des réflexions personnelles du héros qui se veulent drôles, c'est vraiment poussif, les rebondissements sont à peine surprenants et la fin est tellement alambiquée, (l'explication tient quand même sur 6 à 7 pages), qu'on en conclue « tout ça pour ça ».
Pour une découverte, c'est plutôt une déconvenue. Dommage.
Peut-être y reviendrais-je une autre fois si quelqu'un me conseille un “très” bon titre, mais sans doute pas tout de suite.

Je m'étais promis, afin de me faire une idée plus judicieusement tranchée et définitive sur l'intérêt de suivre cet auteur, présenté par certains comme un incontournable de la catégorie Thriller. Après avoir lu "a quelques secondes près", et voulant mieux percevoir la place que Harlan COBEN pouvait revendiquer dans ma bibliothèque, je me suis attaqué à "Six ans déjà".
"Six ans déjà!" ... un livre redoutable, ... redoutablement insipide et insignifiant! En effet, COBEN écrit très bien ...mais c'est toujours du COBEN, sans plus. Il se livre en courtes phrases. Abuse d'apartés réclamant l'approbation du lecteur. Surenchérit avec des références de lectures ou de films nanars tirés de sa mémoire et noie ce qu'il vit dans le fatras de ces ornements littéraires qui n'embellissent en rien l'ouvrage et l'alourdissent considérablement.

Pourtant, je lui reconnais la capacité de créer des intrigues de départ, vraies boules de noeuds impossible à démêler... J'en redemande, des pareilles! Encore faut-il pouvoir s'en sortir avec un travail de logique implacable, sans tomber dans l'invraisemblance. Or, ses attaques, poursuites ou fuites, toutes plus héroïques les unes que les autres, sont un chef d'oeuvre de construction de récit aussi haletant qu'impossible, aussi grand guignolesque que peu crédible et autant nourri d'une trame peu solide que d'un tissu d'invraisemblances. Bien sûr, le héros Cobéen s'en tire toujours. Il est héroïque mais chaque fois que miraculeusement il parvient à s'extraire d'une impasse c'est pour replonger tout aussi tôt dans un fossé sachant que pour le sortir de là, l'auteur devra encore puiser dans sa réserve de miracles et développer une 'imagination débordante s'il veut relancer le héros dans sa juste quête!

Mais voilà, face à un tel récit à pénétrer et comprendre, ce sont les lecteurs qui éprouvent des difficultés à persister et à aller jusqu'au bout du livre. Ceux qui le font méritent bien, à mes yeux, le titre de héros d'un bouquin qui les torture depuis tant et tant de pages déjà. Malheureusement, les héros sont parfois fatigués ... et j'en connais plus d'un qui n'iront pas jusqu'au bout de l'aventure! C'est dommage. Mais je ne peux leur jeter la pierre. C'est d'abord à l'auteur qu'il faut demander de développer une écriture plus dense, mettant en présence des personnalités beaucoup plus fines, plus riches en caractères subtils qui demandent à être suivies de long chapitres durant avant que de pouvoir en deviner les contours et la vraie place qu'ils sont amenés à prendre dans l'intrigue, le récit, et la complexité de son dénouement.

Déçu... même si je reste persuadé que Harban COBEN peut mieux faire!

Oui la chanson le dit bien "J'm'ennuie".

Bon sang quel mauvais moment ... Stéréotypé, des ficelles grosses comme des cordes d'amarrage, une intrigue avec un gout de déjà vu. En quelques mots, c'est ça ...

Thriller efficace? Il faut le croire vu que je me suis accrochée jusqu'à a fin (ou alors je fus portée par l'espoir fou que soudain tout change?). Oui parce que bon on espère toujours alors on s'accroche et on veut connaître la fin qui, une fois connue, fut ponctuée de ma part par un "ah ben voilà je l savais" (sous le regar plein de pitié de ma moitié).

Alors oui je me suis accrochée par curiosité et par amour du suspens mais rien de plus, RIEN.

Les ficelles classiques du thriller sont là (hey ho pourtant on parle pas de n'importe qui quoi! on parle quand même de l'auteur du splendide "Ne le dis à personne") mais vraiment juste de quoi remplir le contrat demandant un thriller ... Des éléments relançant l'intrigue? Ah oui il y en a mais ils durent genre 5 lignes (pour le format poche) et sont des redondances d'éléments de surprises d'autres romans de l'auteur (on sait jamais, c'est bien connu, sur un malentendu ça aurait pu marcher). Bref je me suis ennuyée, mais ennuyée j'ai beaucoup beaucoup soupiré, beaucoup beaucoup répété "hannnn mais non" et fini par beaucoup beaucoup survoler ...

Une déception quand même, parce que dans la théorie Coben est une valeur sûre, de plus le pitch et la couverture étaient juste parfaits. La lecture fut aussi pénible que de marcher sur un tout petit légo (ben quoi ? on parlait d'Oldelaf pour commencer non ?).

Bref on passe et au suivant ....
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Bof... L'histoire débutait bien pourtant. Disons qu'un tiers du livre vous tient en haleine, ensuite, c'est la déconfiture. Un coup de foudre, quelques semaines d'amour et la belle en épouse un autre, faisant promettre à l'éconduit de ne pas chercher à la revoir. Six ans plus tard, l'époux décède et la promesse devient intenable.

Me voilà prête à écrire une critique sur ce livre mais elle pourrait tout aussi bien s'appliquer à "Noublier jamais" de Michel Bussi....Le hasard a voulu que je lise ces 2 ouvrages l'un à la suite de l'autre. N"oublier jamais d'abord....Six ans déjà ensuite....Du pareil au même ! Au milieu du second, je ne savais plus dans quelle histoire je me trouvais....A croire que l'un des auteurs s'est inspiré de l'autre....
Dans l'un c'est Magali que Jamal cherche désespérément, dans l'autre c'est Natalie que Jake cherche à retrouver à tout prix. Sous le couvert de l'association "Noublier jamais" dans l'un de "Nouveau départ" dans l'autre. Et l'un et l'autre des héros devient suspect...
Les 2 m'ont laissé sur ma faim, je n'ai pas été convaincue par les intrigues.
Pour 6 ans déjà, c'est certainement dû au fait que je connais bien l'auteur pour avoir lu nombre de ses ouvrages. Il y a un air de déjà vu, les rebondissements et la fin sont prévisibles. J'avais arrêté de lire cet auteur, je me rappelle maintenant pourquoi....

Un peut déçue par ce roman qui ressemble beaucoup à "ne le dis à personne" (la perte d'une personne qu'on aime mais qu'on continue à aimer). On a l'impression qu'Harlan Coben raconte toujours plus ou moins la même histoire ...

Attirée par le résumé et la renommée de l'auteur, c'est avec beaucoup d'attentes que j'ai entamée ce thriller. Peut-être un peu trop.
Le style est simple, mais assez inégal. Les quelques pointes d'humour sont en revanches les bienvenues. On sent nettement que l'auteur maîtrise les règles de l'art du thriller : le rythme est régulier (malgré quelques répétitions), les péripéties montent en puissance et le suspens ne cesse d'augmenter. Les pièces du puzzle arrivent petit à petit, mais on se perd un peu dans le mystère parfois.
Mais voilà, connaître sur les doigts de la main les règles du thriller n'en fait pas un bon livre si ce qu'il y a autour est creux. Et c'est ce qu'on ressent à la lecture. Malgré un début prometteur, où l'on prend le narrateur pour un schizophrène puisque tous les gens qu'il interroge renient l'existence de faits concrets, la suite devient cependant plus niaise, moins entraînante, un peu tirée par les cheveux et éparpillée du fait du nombre de protagonistes impliqués...
Le personnage principal et narrateur, Jake, est tout aussi bancal. On s'attache à lui au départ, puis la niaiserie, la répétition, et parfois même l'incohérence ou l'improbabilité achèvent nos espoirs. le fait qu'il s'adresse de temps à autre au lecteur brise le climat tendu du roman, on n'est plus dedans, surtout à coups de "et moi, votre serviteur".
De même, la fin, en plus d'être niaise une fois de plus, est très prévisible.
Pour conclure, il s'agit tout de même d'un thriller bien mené, avec du suspens et qu'on a du mal à lâcher. En revanche, il y a beaucoup de points négatifs qui gâchent la lecture
Lien : http://a-petits-pas-de-pages..

Polar plutôt confus et moyen, même si j'étais bien accrochée à la mise en place de l'intrigue, et que du coup je l'ai lu jusqu'au bout pour percer le mystère!

Cela fait bien longtemps que je n'avais lu cet auteur. Je n'ai aucun souvenir des titres lus !

Accroché par l'intrigue, avec quelques passages trop emberlificotés à mon goût, je suis allé jusqu'à la fin hollywoodienne, convenue d'avance.

Ainsi je suis passé outre ma réserve concernant les écrivains amerlocains qui donnent trop dans le détail inutile. Je l'ai lu en trois journées, c'est rare pour être souligné, preuve s'il en faut que les éditeurs de Harlan Coben nous marquettent fort bien. L'auteur le leur rend bien puisque son intrigue fleure bon les produits de supermarché: quelle promotion !
Cela ne grandit pas ce type d'oeuvre qui se voudrait littéraire, visant à une valeur esthétique qui fasse plaisir et qui se jette dans le caniveau de la consommation. J'irai, avec ironie, jusqu'à écrire "j'ai dévoré ce bouquin"

Et ça me fait monter la boufaïs de m'être fait avoir.

Je mets trois étoiles pour l'intrigue et un zéro pour l'écriture publicitaire, non mais.