On ne retrouve pas la douce narration de Coehlo dans ce texte bâclé, à la vulgarité facile. C'est écrit très gros sur peu de pages, et en fait du "grand destin d'une femme libre" annoncé sur le bandeau, il s'agit de tomber dans les mêmes travers réducteurs que ceux qui sont dénoncés dans le corps du roman.
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