Maktub

Maktub est une sorte de sélection du raeder's Digest, composé d'une panoplie de contes de recits légendaires , de croyance, de rites et de traditions émanant des peuples de diverses contrées mondiales notamment les premiers peuples" primitifs" , transmissible d'une génération à l'autre par voie orale et à un degré moindre transcrite à l'effet de perpetuer ces "génies impetueux des peuples" et les pourvoyer sous forme de leçons moralisatrices et de réflexions de telle sorte à se rechercher et à s'initier aux mystéfications de certains concepts : le désir , l'amour , le destin , la prophetie , la magie...
Comme à l'accoutumée ,Paulo Coelho , derechef nous fait découvrir , le côté talentueux de conteur hors pair, d' homme sensé , s'acclimatant avec la raison et les sentiments loin des essais philosophiques . A travers des dialogues francs, sincères ,vifs et spirituels, entre un maitre illuminé et un élève en quête de savoir , il nous fait état de l'omniprésente Aura ,reflétant un charme continuel et idyllique , au fil des pages dont la teneur aurait vraisemblablement envouté le lecteur à se délecter de moments agréables d'une lecture époutouflante ,en dépit d'un arrière -goût provoqué par certains récits stéréotypés du fameux déjà vu , rébuté, du réchauffé en quelque sorte.

le pardon, l'amour, écouter son coeur, croire en sa légende personnelle, Dieu est partout, Dieu est amour toussa toussa … bon tous ces bons sentiments ça m'a un peu gavée… Un peu trop de guimauve à mon goût. Peut-être parce que j'ai lu juste avant "11 min" et que sa fin bien trop heureuse, hollywoodienne, à mes yeux, ne m'avait pas plu. Ça serait si facile s'il suffisait de pardonner, d'aimer, de donner pour être heureux… Parfois la solitude on ne la choisit pas ; parfois on a besoin d'amour mais il n'y a personne pour nous en donner ; parfois on croit en son destin mais la vie s'obstine à nous mettre des bâtons dans les roues et on peut être fatigué de toujours se relever, de toujours faire preuve d'optimisme. Bref, j'ai pas super aimé.

Maktub est un livre moyen. Il y a de bons morceaux, évidemment. Et il y en a de moins bons. Il y en a même qui n'ont aucun sens. "Mon travail a été celui de tisserand", écrit Paulo Coelho, "je ne peux m'attribuer ni la qualité du coton, ni du lin", écrit Paulo Coelho, dans sa préface. Bon, d'accord, mais il aurait pu au moins choisir son coton et son lin.

Un recueil, voire plutôt une compilation de minies histoires morales, de petites leçons de vie. Pour ma part, je l'ai trouvé très inégal, voire limite "pompeux" à certains moments, malgré quelques très belles pages. Ce n'est pas le meilleur de Paulo Coelho, loin de là, et ce livre ne reflète pas son oeuvre habituelle. Sûrement le livre le moins bon de Coelho même s'il n'est pas mauvais. À lire quand même car certaines pages trouveront toujours un lecteur sensible à ses mots.

Le format est original, un personnage parle par page, le maître, le voyageur, une femme, un puissant monarque bref des textes très courts. La religion est centrale dans ce roman, j'ai dû mal avec ça, quand c'est imposé comme ici j'ai tendance à me fermer. Je suppose que c'est ce qui me fait passer à côté du livre, même si la philosophie y a une part égale avec la religion, j'ai dû mal à m'identifier et à entrer dans le bouquin.
Cela dit il se lit vite et je pense qu'il est accessible à tous, même sans base dans l'un des deux domaines cités plus haut. Cette pédagogie est propre aux romans de Paulo Coelho, il invite à la réflexion personnelle et pour cela je l'apprécie. C'est une lecture feel-good, qui se lira très bien en toutes circonstances, aucune prise de tête.

Je n'ai pas plus apprécié que ça, et il ne semble pas être le meilleur de l'auteur mais au moins c'est frais et original. Attention tout de même aux réfractaires de la religion à qui ça ne pourrait pas plaire non plus.

Ce petit livre sans pagination n'est pas un roman, mais un recueil de courts textes et de pensées. Certains relèvent de l'anecdote, d'autres sont tirés d'ouvrages. On y trouve une flopée de paroles et de leçons issues de diverses religions ou de courants de pensée. Ils ont pour point commun de parler des gens, de leur spiritualité ( à ne pas confondre avec leur religion), de leur passage sur terre, de leur vision des choses, de leur âme, de leur vie, de leur routine, etc. C'est le premier livre de ce genre que je croise et ça fait différent. On peut en lire des bouts un peu n'importe quand. Certaines pages ont suscité un intérêt vif, d'autres sont restées plus ou moins intéressantes. Je dirais que le fait que tout était justement pêle-mêle avait du bon: chacun y trouvera son compte. Et on a le plaisir de trouver un quelque chose de nouveau à chaque page.

Maktub, un condensé de courtes histoires philosophiques qui se lit très rapidement. J'ai cependant été peu touchée par la majorité d'entre elles qui tournaient trop autour de la foi, du pardon et de l'amour de Dieu. Trop tourné vers la religion pour que je puisse apprécier réellement les messages qui s'en dégagent. Cependant, on ne peut pas ne pas trouver au moins un petit texte qui nous touche profondément.

Recueil de citation et de paroles de sagesse. Certaines sont intéressantes d'autres moins. Il y en a pour tous le monde et toutes les croyances. Néanmoins des romans que j'ai pu lire de cet auteur c'est celui qui m'a le moins plu. Peut être trop rébarbatif. Il faut le lire je pense en plusieurs fois, prendre des citations de temps en temps.

grande simplicité, mais continue d'être bonne.

Dans ce recueil d'histoires, certaines petites histoires sont vraiment pas mal, mais hélas pas la majorité...
L'Alchimiste restera à mes yeux le meilleur des romans de Paulo Coelho puisque je trouve que la plupart de ses autres livres manquent de profondeur.
Néanmoins l'ensemble de ses romans contiennent de très belles citations !