Veronika décide de mourir

Livre intéressant du point de vue de l auteur et met en évidence ce qui n est pas évident à entrer dans nos moeurs. Veronica ,personnage principale du livre parle franchement sans partir dans le mélodramatique. Et est juste écrit car elle a envie de mourir

Veronika a tant de raisons d'être épanouie … Pourtant, elle ne l'est pas. Alors le 11 novembre 1997, elle décide de mourir et avale des somnifères.
Plusieurs jours plus tard, elle se réveille dans un hôpital où elle apprend qu'elle ne s'est pas vraiment ratée, puisque son coeur a irrémédiablement souffert. Désormais, ce n'est plus un choix : dans une semaine, Veronika va mourir.
Et étrangement, quand le verdict est imposé, ça change la donne …

Malgré le sujet et le titre qui pourraient en rebuter plus d'un, il s'agit d'un magnifique roman d'amour et d'espoir qui pousse le lecteur à faire chaque jour le choix du bonheur. Je le recommande.

Lu de nombreuses années en arrière, alors que je n'étais qu'une adolescente, je n'avais pas du tout aimé ce récit, ni même cette histoire.

Je n'ai jamais réussi à m'attacher aux personnages.

Le film n'était, à mon sens, pas mieux. La seule chose appréciée avait été la performance remarquable de Sarah Michelle Gellar.

Ce livre m'a un peu ennuyée, tant certains passages sont bavards et un peu datés.
Si l'intrigue est intéressante, le contexte est un peu plus glauque, notamment la guerre serbo croate.
L'héroïne, Véronika, fait une tentative de suicide ratée, et se retrouve à l'asile, où elle apprend que son coeur a subi de graves dommages et qui lui reste une semaine à vivre environ.
Le roman s'épanche alors sur la question de la motivation qui nous fait vivre et nous lever chaque matin, mais aussi sur nos désirs profonds et notre relation à l'autre.
Cette lecture fut un peu en dents de scie, avec des passages très poétiques, et beaux, et d'autres sans intérêt, notamment les discours philosophiques sur la vie et la mort, qui sonnaientcreux à mon sens.
Il ne sera pas le livre de l'année, mais il ne m'a pas non plus complètement rebutée .

Un énorme coup de coeur qui s'est imposé tout au long de ma lecture. Je relève une puis deux puis une trentaine de citations car Paulo Coelho c'est une écriture percutante et parlante. C'est un livre qui parle de tristesse, d'amour et de folie et pourtant les pages transpirent la vie.

Tant "L'Alchimiste" m'avait laissée de marbre et je n'avais pas été touchée par les sujets abordés, tant cet autre livre de Paulo Coelho m'a captivée, happée, parlé, transcendée du début à la fin. Comme quoi...

Véronika, jeune slovène, décide de mourir, comme le dit le titre. Sa vie sans intérêt ne vaut pas la peine d'être vécue. Manque de bol, elle se loupe et atterrit dans l'hôpital psychiatrique de sa ville, dirigé par le Dr Igor, la prenant comme sujet d'expérience. Un vrai scénario de film d'horreur, me direz vous ! Que nenni ! L'auteur nous questionne sur la folie, la réalité, l'être humain, l'existence et le sens qu'on lui donne.
Il aborde tout cela sous un angle inédit, que je vous laisse découvrir.

Je vous le recommande vivement !

Veronika est une jeune femme qui semble avoir tout pour elle : un métier qu'elle apprécie, un appartement douillet. Pourtant, celle-ci n'est pas heureuse et a l'impression qu'il lui manque quelque chose. Alors, un matin, elle décide d'en finir. Parce qu'il s'agit, pour elle, de la meilleure chose à faire. Sauvée in extrémis, elle est internée à l'hôpital psychiatrique de la Villette, où elle va alors côtoyer le véritable désespoir et la folie.

J'ai lu ce livre à l'occasion d'une lecture commune. Et clairement, si j'avais lu ce livre seule, je l'aurais abandonnée. Je suis complétement à côté de cette histoire et n'ai pas pris de réel plaisir à cette lecture.

Les personnages sont intéressants. Si Veronika m'a d'abord parut très agaçante, j'ai finit par vouloir en savoir plus sur elle. Les autres patients de l'hôpital sont aussi très intéressants et leur histoire est plutôt surprenante. le médecin, quant à lui, m'a toujours parut très dérangeant.

J'avais bon espoir pour cette lecture, le sujet me paraissait prometteur, et pourtant je n'ai pas réussi à accroché. J'ai trouvé que l'histoire ne suivait aucune logique, des parties sont très longues pour pas grand chose alors que d'autres, tellement plus intéressantes, arrivent finalement comme un cheveux sur la soupe.

J'ai lutter pour parvenir à bout de cette lecture, en espérant que la fin serait à la hauteur. Au final, aucune surprise pour ma part, je m'attendais déjà à un tel dénouement. Cette lecture est donc une vraie déception pour moi.

Un bon livre en soi malgré quelques longueurs…
L'histoire est agréable à lire, assez simple mais Veronika a un passé très triste. J'ai eu cependant assez de mal à comprendre certains passages.
Je ne pense pas relire l'auteur mais c'était une très bonne expérience.

Accrochez vous, votre cerveau va perdre quelques repères sur le sens de la folie et de la vie à la lecture de ce livre.
On suit les découvertes sur la vie de Veronika, 22 ans, placée dans un asile suite à une tentative de suicide manquée.
Des informations historiques et médicales se glissent dans ce roman plein d'espoir et de réflexion avec quelques touches d'humour, rendant le tout très fluide à la lecture (par rapport au thème abordé qui est loin d'être des plus simples)
En plus des pensées du personnage principal, Coelho nous dévoile la vision et l'histoire de 3 autres personnages tout aussi attachant que notre héroïne, nous rappelant la richesse de la pensée en chaque homme mais aussi ses faiblesses.
Cet ouvrage est donc une très belle façon de pousser à la réflexion à partir de petites questions anodines qui nous amènent à la grande question du livre!

Veronika décida de mourir car sa vie n'avait pas de sens.

Elle découvrit l'envie de vivre, non pas face à la mort imminente, mais bien devant le temps qui passe avant de mourir. Elle vit plus en quelques jours qu'elle ne la fait durant toute sa vie et parvient à se libérer de ses chaines psychiques.

Veronika va mourir et tout le monde voit son envie de vivre. Elle est jeune et jolie, le temps lui arrache le coeur tandis qu'il tue celui des pensionnaires de la Villette. Ils observent sous leurs yeux, cette jeune femme qui se bat et découvre ce que c'est que d'être soi, de se découvrir et d'apprendre à s'aimer. Elle le fait si rapidement car le temps lui ait compté mais eux, que feraient-ils en vue de leur mort ?

Veronika va mourir, les peurs des fous s'en vont avec le temps de sa rédemption. Certains s'abandonnent à leur folie que c'est que d'être eux, d'autres veulent vivre pour elle ce qu'elle ne connaitra plus.

En voulant de suicider, Veronika fît découvrir le secret de la vie aux patients de la Vilette.

Pour avoir l'envie de vivre, il faut avoir la conscience de la mort.