Or, le pouvoir c'est l'information que les autres n'ont pas.
Tu n’as pas besoin d’être œnologue pour sentir que c’est un vin exceptionnel. Il s’appelle « Cheval Blanc ».
Cette santé publique, les médecins auraient dû eux aussi la défendre. Mais ils n’en ont pas voulu parce qu’ils ont eu peur de perdre le contrôle de leur profession. Et aujourd’hui, ironiquement, c’est exactement ce qui va leur arriver avec les outils numériques comme iDoc. Peut-être que nous méritons ce qui nous tombe dessus, après avoir si longtemps pratiqué la médecine comme des marchands de maladie !
La médecine comme service public, hélas, est depuis longtemps étiquetée « socialiste ». Et aujourd’hui, aucun de nos hommes politiques n’a le courage de défendre le contraire. La santé gérée à l’européenne, c’est impossible chez nous.
Les riches et les puissants ont toujours eu la médecine dont ils avaient besoin. Ou envie.
iDoc doit sauver et guérir les gens, pas les tuer ! iDoc peut révolutionner la pratique médicale, la démocratiser, et faire oublier que la médecine n’a jamais fait que traiter des maladies, jusqu’à aujourd’hui, pour veiller enfin sur la santé des gens. Et pour ça, il offre à chacun un environnement véritablement personnalisé. Chaque patient a accès à son médecin particulier, à toute heure du jour et de la nuit, qui le connaît à fond et a accès aux plus récents et aux meilleurs traitements disponibles.
Nous vivons et nous mourons en fonction de nos choix. Ils déterminent ce que nous sommes.
Nous sommes médecins, mais nous sommes aussi des personnes. Au bout du compte, quand même, j’ai décidé que je ne pouvais pas tourner le dos au mélodrame des urgences. J’avais l’impression qu’après toutes ces années de fac je méritais mieux que la radiologie…
On prescrit aux gens des tas de trucs dont ils n’ont pas forcément besoin.
La vie était décidément fragile, imprévisible et injuste – et qu’il devait en profiter tant qu’il le pouvait.