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sur 63 notes
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Roman découvert grâce aux recommandations Babelio !
Premier tome d'une trilogie.
Le capitaine Damien Sergeant et son groupe enquêtent sur le suicide d'une danseuse de cirque. Rapidement, un doute s'installe dans la tête des enquêteurs sur l'hypothèse du suicide.
Ils vont alors se lancer dans une enquête entre Saint-Gaudens et Besançon.
Bon roman bien écrit qui se lit facilement. Un final assez bien trouvé qui ouvre idéalement sur le deuxième opus...
Voilà, il n'y a plus qu'à lire le deuxième tome !
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l'enquête de Damien Sergent, Sandrine Martin, Fredo Biaskri et Yannis Amraoui est rythmée par des moments forts et légers.
L'auteur a fait des recherches qui font que ce roman est captivant du début jusqu'à la fin.
On imagine une fin avec tous les autres protagonistes mais elle n'est pas celle que nous avons en tête. Merci à l'auteur. J'attends de lire la suite….Vakarm
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Une enquête pleine de suspense et de rebondissements, menée par une équipe d'OPJ très sympa et attachante... le tout très bien écrit : on passe les pages en ayant beaucoup de mal à s'arrêter !!!

Bref, un très bon moment de lecture que je vous conseille !!!!
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Un bon policier français ! Après, je pense que j'en attendais encore plus à la vue des notes et critiques et du coup , je suis resté un peu sur ma faim ; il y a quand même tous les ingrédients d'un bon polar avec un scénario bien construit ; je vais lire le tôme pour en savoir un peu plus ! je recommande tout de même
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un premier roman ,une véritable réussite.
premier tome d'un trilogie au suspens haletant, un vrai thriller
Guillaume met en place son histoire , son intrigue dés les premiers chapitres
nous faisant voyager entre Besançon et Saint-Gaudens , et un détour en Russie sur deux périodes...rester concentrés pour ne pas perdre le fil de l'histoire avec une multitude de personnages.
Une enquête menée avec brio où se mêle suicide , meurtre et remuant de vieilles histoires que l'on croyait oubliées.
L'histoire nous tient en haleine du début à la fin, et là le bémol JE VEUX ABSOLUMENT SAVOIRLA SUITE
un autre coup de coeur , une trilogie prometteuse.
je vous le conseille
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Comme vous ne le savez peut-être pas (auquel cas cela veut dire que vous ne lisez pas toutes mes chroniques), je suis toujours à la recherche d'auteurs de récits policiers de langue française (pour éviter les problèmes de traduction et être certain de lire ce que l'auteur a voulu écrire) et encore plus de personnages récurrents…

Aussi, quand j'apprends l'existence d'un auteur que je ne connaissais pas et que celui-ci a écrit plusieurs romans autour des mêmes enquêteurs, j'ai du mal à résister à l'envie de découvrir la plume du premier et le talent d'investigation des seconds.

Et le choix du jour se porte sur Guillaume Coquery publié chez « M+ éditions » et auteur d'une trilogie autour d'un groupe de policier dirigé par le capitaine Damien Sergent…

« Oskal » est donc le premier opus de cette trilogie (peut-être amenée à se développer encore)…

Ce roman a été publié en 2020.

Le Capitaine Damien Sergent et ses trois assesseurs (Frédo, le vieux de la vieille, Sandrine, la boxeuse et Yanis, le jeune geek) vont enquêter sur le suicide d'une jeune danseuse de cirque dans sa caravane. Seulement, ils se rendent vite compte qu'il ne s'agit pas d'un suicide et l'enquête va les mener vers une affaire sur la disparition d'une joggeuse 8 ans plus tôt… la femme de Frédo)…

Bon, je le dis tout de suite, ce roman me laisse dubitatif.

Autant, certains livres, je suis capable immédiatement ce qui m'a fortement déplu (d'ailleurs, dans ce cas-là, je vais rarement au bout de ma lecture).

La plupart du temps, je suis aussi apte à cerner les points positifs d'une plume, d'une intrigue.

Et, plus rarement, je ne sais quoi pointer sur un roman.

C'est un peu le cas de « Oskal ».

Point positif, l'originalité et la curiosité apportées par le titre (oui, c'est peu, mais c'est déjà ça).

Ensuite…

On se rend compte immédiatement que la narration du roman est celle utilisée ad nauseam par les auteurs de thrillers à succès (ou sans succès, d'ailleurs). Narration alternative, doublement alternative, ici.

D'abord, l'auteur nous fait voyager dans le temps pour aborder une affaire qui n'a a priori rien avoir avec l'intrigue du roman (la disparition de la joggeuse). Bon, comme je ne suis pas plus bête qu'un autre, je me doute que si l'auteur aborde ce sujet, c'est qu'il est en rapport avec le reste (sinon, quel intérêt).

Ensuite, la narration alterne entre le passé et le présent pour expliquer l'histoire de certains personnages et permettre de comprendre leurs actions, leurs réactions.

Enfin, la narration alterne entre le passé et le présent pour permettre au lecteur de comprendre l'intrigue.

Voilà qui fait beaucoup d'alternance de narration pour un lecteur (comme moi) que ce procédé agace (car trop utilisé et souvent sans que cela apporte un plus au roman).

Oui, je le dis clairement, je préfère les narrations linéaires. Au moins, dans un tel cas, l'auteur doit se creuser le citron pour rythmer son histoire et la rendre exaltante.

Que dire des personnages ? Classiques ou presque. le capitaine, forcément doué, car jeune. le vieux briscard. La fliquette (car il faut toujours une fliquette dans un groupe de policiers dans un roman). le jeune geek (car un geek est forcément jeune même s'il existe des geeks depuis 50 ans).

Les policiers s'entraident, se font du souci les uns pour les autres, mangent ensemble, boivent, plaisantent… bref, font tout ce que font des policiers dans un roman policier.

La plume est au diapason du reste. Commune. Pas indigente ou indigeste, mais loin d'être originale ou virevoltante.

Quant à l'intrigue…

Arff. Elle se veut complexe, mais les rebondissements ne tiennent bien souvent qu'à une facilité de l'auteur et de ses personnages comme la révélation finale sur l'identité du tueur qui aurait pu être évitée par une simple analyse ADN du principal suspect…

Et puis la fin, toute fin, qui permet de comprendre tout le reste…

Non pas qu'elle explique l'intrigue, non, mais elle explique probablement où l'auteur a été cherché son inspiration pour tout le reste. du moins par qui, par quoi, il a été influencé.

Oui, ce final, qui n'en est pas un puisqu'il sert d'introduction au prochain opus, me laisse forcément penser que Guillaume Coquery s'est inspiré des auteurs de romans policiers à succès, Olivier Norek et, surtout, Bernard Minier en tête.

Norek, pour le groupe de policiers, la vie dans ce groupe, etc. Minier pour cette volonté de vouloir proposer un tueur en série psychopathe, intelligent et qui se joue de la police en général et du héros en particulier.

Et à l'aulne de ce final, on se rend compte, qu'en fait, tout le roman est construit comme un mixe d'un roman de Norek et d'un autre de Minier

Le manque d'originalité se comprend donc à ce moment-là.

La seule inconnue est de savoir, alors, si ce parti pris est conscient, inconscient, volontaire ou encouragé.

L'auteur a-t-il juste été influencé par des lectures qui l'ont marquée ? Ou bien a-t-il juste cherché à reproduire des recettes qui ont fait le succès de certains romanciers ?

Dans le second cas, son but était-il de plaire à un éditeur, puis aux lecteurs ou bien dans l'espoir d'avoir du succès...

Bref.

Je semble être un peu dur avec ce roman, mais si je l'ai terminé (et je l'ai terminé puisque j'évoque la fin) c'est donc que la lecture n'a pas été indigeste, ce qui est déjà mieux que pas mal de romans policiers actuels que j'ai lus (j'ai d'ailleurs abandonné les romans de Bernard Minier pour cela et été déçu par les derniers Norek).

Mais, si j'ai abandonné Minier, vous pensez bien qu'il y a de fortes chances que j'en fasse autant avec Coquery… à moins que je lui redonne une chance dans quelque temps, allez savoir…

Au final, un roman qui pêche principalement par le fait qu'il est un peu trop influencé par les thrillers à succès actuels…
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La chronique jubilatoire de Dany pour Collectif Polar
Oskal c'est peur et sourire à la fois …
A l'été 2010, dans un bois proche de Besançon, une joggeuse disparaît. Elle n'est jamais retrouvée et l'affaire est classée. En 2018, près de Toulouse, le corps d'une danseuse de cirque est découvert. Pour le capitaine Damien Sergent et ses collègues, cette affaire présente tous les signes d'un suicide. L'enquête les conduit à Besançon où de nombreuses personnes espèrent que le passé reste enfoui.

En France, un majeur peut disparaître et la police la plupart du temps, classe l'affaire sans suite, sans investigation.
Premier tome d'une trilogie, premier roman publié pour l'auteur Guillaume Coquery… jusque-là c'est tout bon. L'auteur fait partie de mes rencontres inclassables : il est le co-fondateur du salon des T(h)ermes noirs et à ce titre j'avais pu noter qu'avec un ratio de 2 auteurs de polars pour 600 habitants, le microcosme encaussais méritait qu'on se penche sur son cas.
Quelle belle découverte que ce polar ! une intrigue qui prend aux tripes dès le prologue, et qui vous emmène de Saint-Gaudens à Besançon dans les valises des enquêteurs.
La suite de la chronique de Dany ci-dessous.
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
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Le premier roman d'une trilogie qui se passe à St-Gaudens dans le piémont pyrénéens. L'histoire est bien montée, avec un flic sympathique et le suspense est présent jusqu'à la fin. le livre se lit très facilement et plutôt vite. Mais comme c'est une trilogie et bien il faut attendre la suite... Je la lirais avec plaisir.
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En France, un majeur peut disparaître et la police la plupart du temps, classe l'affaire sans suite, sans investigation.
Premier tome d'une trilogie, premier roman publié pour l'auteur Guillaume Coquery… jusque-là c'est tout bon. L'auteur fait partie de mes rencontres inclassables : il est le co-fondateur du salon des T(h)ermes noirs et à ce titre j'avais pu noter qu'avec un ratio de 2 auteurs de polars pour 600 habitants, le microcosme encaussais méritait qu'on se penche sur son cas.
Quelle belle découverte que ce polar ! une intrigue qui prend aux tripes dès le prologue, et qui vous emmène de Saint-Gaudens à Besançon dans les valises des enquêteurs.
Oui un majeur, même jeune, est en droit de disparaître et nul n'aura de ses nouvelles à moins que son entourage ne décèle la preuve inquiétante de sa mise en danger. le monde du cirque a lui aussi ses règles, ses usages, ses secrets. C'est ce que va apprendre Damien et son groupe d'enquêteurs, dont un particulièrement affecté par son drame familial qui va s'inviter dans notre histoire. L'empathie est de mise, l'antipathie aussi avec des jeunes, irresponsables ou pas … tout est affaire de maturité relative.
J'ai beaucoup aimé cette montée en puissance au long de ces 432 pages, même si le twist final m'est apparu précipité, condensé voire abrupte, dans la veine des romans de Michel Bussi où rien n'est jamais définitif avant le mot fin. L'humour n'est pas absent et les vannes détendent bien à propos quand leur ton ressemble tellement à celui de l'auteur que s'en est jubilatoire, même lorsqu'il égratigne le système. Un premier tome prometteur, au ton et au style efficaces … à suivre sans aucune modération.
Oskal c'est peur et sourire à la fois …
Je remercie les éditions M+ pour leur confiance

Lien : https://collectifpolar.fr/20..
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La disparition d'une joggeuse à Besançon en 2010, une danseuse de cirque découverte décédée en 2018, une équipe de flics, une mafia russe, le monde du cirque.. 3 univers différents mais qui vont vite se rejoindre au fil des ans.
L'enquête est rudement bien menée, on ne s'y perd pas, même si on passe d'une année à l'autre, d'un lieu à l'autre. Et habitant pas si loin de Besançon et y étant allée quelques fois, je me voyais bien au milieu de tout cela !
Une écriture comme je les aime, fluide, directe, une intrigue incroyablement bien ficelée, vous dévorerez vous aussi cette merveille de thriller !!
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