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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Inégal

Après un tome 3 à la fois mauvais en lui-même et très en-dessous de ses deux prédécesseurs, ce tome 4 relève un peu le niveau, tout en étant critiquable sur bien des points. Appauvrissant paradoxalement l'univers (par rapport au changement de paradigme introduit dans La porte d'Abaddon), Les feux de Cibola montre les luttes entre une corporation et des colons illégaux sur New Terra, avec Holden dans le rôle du médiateur. On est cependant loin de la riche géopolitique des débuts du cycle, sans compter que tout cela (avec les ruines extraterrestres de rigueur et la biologie locale exotique) est du cent fois vu. le roman est toutefois très dichotomique, puisque si la partie se passant à la surface de la planète est plutôt faible, celle se déroulant en parallèle en orbite est nettement plus intéressante, avec quelques scènes à grand spectacle (l'abordage, l'attaque), qu'on a hâte de voir dans la contrepartie télévisée de la saga. Si, très globalement, ce livre reste recommandable, on notera les personnages jetables, comme à chaque fois, les stéréotypes récurrents, des antagonistes bornés jusqu'à l'absurde, certains dialogues faibles, mièvres ou les deux à la fois, ainsi qu'une certaine prévisibilité des rebondissements dans la première partie et leur côté souvent excessif dans la seconde.

Retrouvez l'argumentaire détaillé sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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La Porte est ouverte et une infinité de mondes s'offrent à l'humanité. On pourrait penser que, devant tant d'espace et de planètes à découvrir, la coexistence serait plus facile… Mais c'est sans compter sur l'avarice et la propension de l'homme à convoiter le bien d'autrui… Sur Ilus, les premiers colons se retrouvent en opposition avec une grande compagnie pour l'exploitation de gisements de minerais et voilà James Holden obligé de revêtir un nouvel uniforme : celui de médiateur.
Le quatrième opus de The Expanse prend difficilement le virage de la transition. Les protagonistes doivent trouver une nouvelle place et les auteurs mettre en place une nouvelle narration. La science-fiction est mise de côté au profit d'un récit politico-économique et on ne retrouve pas la verve et l'aventure des précédents tomes.
Comme ses prédécesseurs, Les Feux de Cibola est parsemé de nouveaux personnages, mais moins bien dépeints et moins attachants, même si on retrouve avec plaisir l'équipage du Rossinante.
Un titre un peu poussif donc, à lire pour la continuité, mais en espérant que les auteurs auront redresser la barre dans le prochain…
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Où le professionalisme des deux auteurs commence à s'essouffler.

Que dire sans paraphraser l'excellente et fort juste critique d'Apophis (voir son blog) ? C'est long, c'est très long, c'est trop long, notamment dans -- en gros -- la première moitié du pavé, qui est plus ou moins une mise en place, présentation du contexte et des nouveaux protagonistes. Et juste après, tout s'accélère et explose (au sens propre) en une avalanche d'évènements catastrophiques qui vont mettre à mal l'équipe de Holden et bien d'autres. Une des plus grandes faiblesses de ce tome est probablement dans les personnages, qui en dehors des protagonistes principaux sont très, très caricaturaux, presque simplistes pour certains. le côté "deus ex machina" de proto Miller commence à devenir agaçant, et, sans vouloir spoiler, pardon, divulgâcher, on n'est pas chez George Martin : les héros ne meurent pas (ou pas encore, il me reste 6 tomes à lire...), quoi qu'il arrive et au mépris des probabilités, de la physique, de la biologie et de tout le reste. On espère vivement que le tome 5 nous donnera de bonnes raisons de lire toute la suite, et là tout de suite, je vais faire une pause.
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Un tome que j'ai trouvé un cran en dessous des trois précédents. Cette fois-ci, Holden est envoyé pour jouer les médiateurs entre un groupe de colons qui se sont appropriés une planète, et des scientifiques qui veulent explorer la-dite planète pour le compte d'une firme privée. le début du roman était prometteur, et certains thèmes sont vraiment sympa à suivre… puis il se passe un enchaînement de désastres, et là, j'ai été sortie du roman : l'intrigue était terriblement artificielle, les problèmes s'enchaînent, on en résout un in-extremis et pouf un nouveau se présente, dans une mécanique très peu crédible où les personnages principaux ont une armure scénaristique en béton armé, le tout avec une résolution foireuse qui ne m'a pas du tout convaincue.

Néanmoins, le roman reste agréable à lire, les pages se tournent toutes seules. J'espère que le prochain tome me plaira plus, mais je vais continuer !
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Cibola Burn est le quatrième volume de de la saga de science-fiction The Expanse signée James S.A. Corey, le nom de plume du duo composé des auteurs Daniel Abraham et Ty Franck.

Il s'agit du roman qui sert de base à la quatrième saison, annoncée pour le 13 décembre prochain, de la série TV tirée de cette saga. J'ai donc découvert ce roman sans en connaitre à l'avance l'essentiel de l'intrigue, contrairement aux trois premiers tomes que j'ai lus en ayant déjà vu leur adaptation pour le petit écran.

L'intrigue tourne autour de la colonisation de New Terra, la première planète habitable découverte suite à l'ouverture des anneaux interstellaires à la fin du précédent roman. Une première vague de colons, des réfugiés de Ganymède qui ont erré de longs mois dans le système solaire pour être accueilli, en vain, afin de décider de s'installer sur New Terra quand l'existence de cette planète habitable a été installée. Depuis, une corporation a obtenu une concession des Nations Unies pour coloniser la planète et exploiter ses ressources naturelles.

Comme d'habitude avec The Expanse, ce roman se compose d'une cinquantaine de chapitres d'une dizaine de pages chacun, avec des personnages différents offrant autant de points de vue sur le récit :

- Basia Merton est un réfugié de Ganymède, membre du groupe des premiers colons sur sur New Terra, ou Ilus comme ils l'appellent ; avec son groupe d'amis, il refuse l'arrivée imminente de la corporation

- Elvi Okoye est une scientifique faisant partie de l'équipe envoyée par la corporation sur New Terra pour étudier la faune et la flore locale en vue de coloniser la planète

- Dmitri Havelock est le chef adjoint de la sécurité à bord du vaisseau de la corporation qui arrive en orbite de New Terra

- Evidemment, on retrouve une fois de plus James Holden, cette fois mandaté conjointement par les Nations Unies et l'OPA pour une mission de médiation afin d'éviter que la situation ne dégénère sur New Terra entre les premiers colons et les nouveaux arrivants

- Enfin, quelques chapitres, plus courts, donnent la parole à Joe Miller, ou plutôt l'avatar du défunt détective, tel qu'il a été recréé par la proto-molécule pour dialoguer avec Holden

Ce qui m'a d'abord plu dans ce roman, en plus de son thème qui me semblait prometteur, c'est que certains protagonistes ont des liens avec des personnages rencontrés dans les tomes précédents. Ainsi, Basia était un ami de Prax dans le deuxième tome, nous avions alors eu l'occasion de le rencontrer brièvement, avec la mort de son fils dans la laboratoire secret où était également détenu la fille de Prax. Havelock était quant à lui le partenaire de Joe Miller quand celui-ci travaillait encore pour Star Helix sur Ceres. Ce sont des rappels qui font plaisir quand on suit une saga comme The Expanse avec une multitude de personnages qu'on suit le temps d'un roman mais qu'on abandonne parfois sans les revoir.

Malgré ce point plutôt sympathique, je dois dire que j'ai eu un peu de mal à entrer dans le roman. Alors que j'en étais à la moitié, je me disais que c'était plaisant à lire mais que ça trainait un peu en longueur. J'espérais que la deuxième moitié serait à la hauteur des promesses à la fin du tome précédent.

Malheureusement, la suite ne m'a pas plus enchanté, et le roman m'a globalement déçu.

J'ai notamment trouvé que l'antagoniste principal, dont on devine d'ailleurs très vite qu'il le sera quand on le rencontre, est stéréotypé. C'est le chef de la sécurité de l'expédition lancée par la corporation, il représente le symbole de l'avidité sans fin des multinationales qui négligent volontairement l'impact humain de leurs choix, mais c'est fait sans nuance, le personnage ne semble être présent que pour sa fonction et n'existe pas vraiment en tant qu'être humain.

J'ai également eu l'impression que les auteurs ne savaient pas trop quoi faire de certains personnages secondaires. C'est particulièrement le cas de l'équipage du Roccinante, le vaisseau de James Holden. Si Naomi a droit à une certaine place dans le récit, avec un peu d'action, Amos et surtout Alex, le pilote, font plutôt de la figuration et leur présence n'apporte pas grand chose au récit. Ils m'ont semblé être comme des bagages que les auteurs étaient contraints de faire apparaître sans savoir comment les utiliser.

J'ai tout de même admiré la capacité des auteurs à disperser les personnages à plusieurs endroits pour nous faire vivre l'action depuis différents points de vue, en faisant rebondir le récit d'un chapitre à l'autre et en limitant les angles morts. La gestion du rythme et du suspense est toujours aussi bonne, même si j'imagine que cette construction très américaine du roman peut gêner certains tant elle semble artificielle.

J'ai aussi apprécié les thèmes abordés par les auteurs, même s'ils sont si nombreux qu'on a parfois du mal à comprendre de quoi ils veulent vraiment nous parler. Cela commence comme un roman sur la colonisation, la nouvelle frontière, l'impérialisme, le terrorisme, puis on bascule dans le thriller médical avec des organismes locaux qui menacent les colons, avant de revenir au coeur de la saga : la découverte de la technologie dont la proto-molécule est issue, et ses effets le destin de l'espèce humaine. Tout est plutôt bon, mais l'ensemble manque un peu de cohérence.

Enfin, j'ai beaucoup aimé l'épilogue, qui reprend un peu de recul par rapport au récit sur Ilus / New Terra et permet d'espérer une suite plus palpitante.

Mon impression après avoir refermé ce livre est donc mitigée : cela reste bon, mais à mes yeux ce n'est clairement pas du même niveau que les précédents volumes. Pour moi, c'est sans hésitation le moins bon des quatre premiers tomes de The Expanse. J'espère que le prochain, le cinquième de la série, saura m'émerveiller à nouveau.
Lien : https://zerojanvier.fr/2019/..
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Comme à chaque début de lecture de cette saga, je me retrouve à piocher misérablement avec les différents nouveaux personnages. C'est-à-dire qu'il me faut un temps d'adaptation. Surtout dans l'attente de retrouver Holden et pourquoi pas… Miller. Ben quoi, il a beau être mort, sa présence et toujours bonne à prendre. Même si là… ce n'est point le cas. Et pourtant, tout avait si bien commencé par un prologue avec Bobby « Gunner » Drapper ! Bon prologue simpliste mais quelque peu intéressant sur la vie sur Mars.
Bon alors on se retrouve rapidement avec quatre nouveaux personnages. Et comme je l'ai déjà écrit, il m'a fallu un temps pour les apprécier ou au moins vouloir les lire. Et franchement, j'étais quasi réticent lors de la lecture de deux des nouveaux personnages. Et Holden reste toujours le même capitaine, tout en ayant mûri. Et Amos ! Ah, Amos ! Quel bon gars ! Pince-sans-rire et toujours aussi patibulaire !

Bon tout va mieux dès que l'action et le récit se mettent en branle ! Normal, non ?! On découvre un nouveau monde (ça ne peut pas être un spoil vu le tome précédent). de nouveaux colons s'installent sur une planète anciennement habitée par les E-T ayant envoyé la proto-molécule mais qui ont étrangement disparu. Une multimondiale souhaite récupérer les plein-droits de propriété de cette planète. Des scientifiques y sont dépêchés pour étudier tout ce qui peut paraître de nouveau et ils sont accompagnés d'une équipe de sécurité assez bien équipée mais quelque peu sous tension. Et tout bascule. Sans l'aide de Holden, pour le moment… Alors des colons font exploser un vaisseau des scientifiques. Pas terrible comme accueil, surtout après près de deux ans de voyage. La sécurité reste vigilante tout en faisant s'implanter une partie des scientifiques. Mais les relations entre tout ce monde sont tendues. Comme quoi l'Histoire reste toujours un éternel recommencement. Les Humains doivent faire place nette pour se sentir à l'aise (auparavant c'étaient les Européens face aux Amérindiens, par exemple). Et ils se battent pour une planète, alors que maintenant, ils en ont des milliers à disposition dont au moins plusieurs avec une atmosphère. Donc des milliers à terraformer ou au pire à vider des différentes ressources…
Holden et son équipe doivent jouer les médiateurs. Sauf que, tout ne déroule pas aussi bien que prévu. Surtout quand la planète passe en mode : bouclier planétaire, plus rien ne peut se poser sur la surface ou alors en miette. Et puis des survivances d'anciennes entités E-T mettent en danger et Holden et tous les colons et scientifiques.

Sinon, l'histoire est un peu standard. Deux groupes s'affrontent dans une « guerre froide ». Chacun attend le bon moment pour mettre à genoux l'autre. Et puis quand ça se corse, les groupes se réunissent pour survivre. Malgré un électron libre, plutôt étroit d'esprit, mais qui incarne un bon vilain. Il défend totalement ce pour quoi il a été engagé : s'approprier la planète contre toute menace (humaine ou alien). Même s'il doit mourir en martyr.
J'ai bien aimé le récit à partir de la moitié du roman. Avant, cela reste toujours une présentation un peu lourde la situation, quelque peu répétitive aussi. Puis tout s'améliore avec une tension grandissante. Il y a aussi des petits interludes, placés en quelque sorte entre chaque nouvelle situation, est qui sont vraiment des passages moyens. Mais sinon, il y a de super phases de combats et aussi de sauvetages spatiaux, et c'est vraiment bon à suivre.

Mon avis est donc mitigé sur ce tome 4 de la saga. Cependant, dès que je pourrai, je lirai le tome 5 car j'adore suivre Holden, Amos, et compagnie. Tout en espérant revoir bien plus souvent Bobby (et Avasarala, bien qu'elle soit un meilleur personnage dans la série TV que dans le livre).
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Il y a un bon moment je m'étais arrêtée au tome trois en me disant que je n'irais pas plus loin car trop répétitif. Mais quelqu'un sur le site m'a soufflé que le tome quatre n'était pas pareil. Je me suis donc laissée tenter.
Effectivement même si les héros et le style ne changent pas, l'histoire est différente. Même si parfois c'était un peu trop science fiction et technique, j'ai finalement pris plaisir à retrouver Holden, Amos et Naomi aux prises avec les méchants et qui cherchent à faire régner la paix dans l'univers.
A voir pour la suite...
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Le tome 4 de la série de livres The Expanse n'a jamais mieux porté son nom. L'humanité, après avoir colonisé la ceinture, Mars et quelques satellites joviens, quitte le système solaire et part à la découverte de planètes inconnues.

La première élue se nomme Ilus, ou New Terra tout dépend de quel monde vous venez. Atmosphère respirable, continents et océans, biome extraterrestre non hostile enfin à part les limaces, tout pour s'installer et prospérer. D'ailleurs, dès sa découverte connue de tous, un groupe de ceinturiens s'embarque pour un voyage illégal et sans retour de plus d'un an pour s'installer sur Ilus.

Sauf que, et c'est l'histoire de bien des peuplades, la RCE a reçu une autorisation d'exploitation de la planète par les Nations Unies, et la RCE voit d'un très mauvais oeil la présence des premiers colons en place.

Mais au fait, The Expanse, ce n'est pas l'histoire de James Holden, sauveur de l'humanité avec sa petite équipe à bord du Rossinante ? Si, si. Alors quel rapport avec notre histoire ?

Abracadabra ! Holden est proposé comme médiateur dans la crise qui oppose colons et RCE sur Ilus, crise qui s'envenime d'heures en heures. Holden en médiateur ? Sérieusement…

Vers la moitié du roman, alors qu'Holden fait de son mieux, traduisez aggrave la situation, l'histoire bascule brutalement et revient au sujet premier du livre, à savoir la proto molécule. Une grosse explosion et plus rien n'est pareil ensuite. Les factions restent sur leurs positions mais la survie l'emporte sur les rivalités, encore que.

Cette seconde partie du livre, plus dans l'action, qui sent la pluie, la boue et l'odeur confinée des scaphandres spatiaux, n'est pas forcément celle qui m'a le plus enthousiasmée mais il fallait bien que l'histoire bouge un peu pour les lecteurs avides d'adrénaline et de rebondissements.

Les feux de Cibola poursuit les aventures de Holden et cie honnêtement, sans m'emballer plus que ça. Par chance, le dernier chapitre laisse espérer une suite prometteuse, un peu plus politique. Jusqu'où vont-ils nous amener ? Vous le saurez en lisant le tome 5.
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Ce tome m'a clairement déçu.
Je m'attendais à ce que le cycle reparte en fanfare et on se retrouve sur une planète nouvellement colonisée, avec nos héros au milieu d'une baston entre colons "non autorisés"" et l'entreprise qui a obtenu les droits d'exploitation de la planète.
Le conflit aura lieu sur terre et dans l'espace, même si la partie sur terre va vite se transformer en jeu de survie tant la planète peut se montrer inhospitalière (c'est un GROS euphémisme).
Du déjà vu, sans vraiment rien qui sorte de l'ordinaire.
Les personnages sont moins entiers que d'habitude, ce qui est positif pour les suites.
On est loin du niveau des 3 premiers tomes.

Je suis très inquiet pour la suite du cycle et je n'ai d'ailleurs toujours pas réussi à lire le tome 5 (la 4ème de couv ne m'a pas motivé pour l'attaquer...).
La sortie du tome 6 vient de me motiver, vous pourrez lire ma critique du tome 5 prochainement.
En attendant, ce tome 4 est totalement dispensable selon moi...
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Loin d'être mauvais, ce tome m'a néanmoins laissé un sentiment plus mitigé.

Si l'intrigue de ce tome a un bon potentiel, j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs dans son développement. Ça alourdissait le rythme de lecture et m'a parfois lassée.

Le fil rouge lié là protomolécule aurait pu être davantage exploité et ça m'a laissé sur ma faim de ce point de vue.

La tournure de l'ensemble et notamment la fin du livre m'amène à conclure qu'il s'agit d'un tome de transition dans l'approche de cet univers et de ses enjeux.

Une lecture sympa mais moins prenante que les précédents tomes.
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