Lena est le genre de fille qui ne laisse personne indifférent, avec son gros caractère et sa beauté presque innocente tout le monde sait quand elle arrive dans une pièce. Le fait qu'elle ait vécu dans une grande ville lui donne cette assurance que je lui envie. Elle ne se prend pour autant pas la tête et est étrangement très gentille avec moi et me conseille sur les endroits où sortir et les lieux cools du campus. C'est vrai que j'ai la chance de l'avoir avec moi, je me sens moins perdue face à cette effervescence de la vie universitaire. Elle est de toutes les fêtes et ça fait deux semaines qu'elle ne dort presque pas. Quand elle rentre sur les coups de cinq heures du matin, elle fait toujours attention à ne pas me réveiller, sauf que je ne peux pas dormir en sachant qu'elle n'est pas dans son lit. Une vraie mère poule !
Avec ses yeux revolver, il me fait fondre. Malgré le fait que je ne suis pas du genre à embrasser des garçons comme ça, j'ai envie qu'il m'embrasse moi. Il se lève et enjambe les bouteilles au milieu du cercle. Puis il s'accroupit devant moi, se met à genoux et me saisit le visage de ses deux mains. J'ai des frissons rien que de savoir qu'il touche ma peau. Ses lèvres se posent sur les miennes et mon souffle se coupe. Il introduit sa langue entre mes lèvres et je ne sais pas ce qui me prend mais je mets mes mains autour de son cou. Je ressens une forte chaleur dans le bas de mon ventre.
L'alcool n'aide pas à refroidir mon corps. Mais il me désinhibe plus que d'habitude.
Avant d'atterrir à la fac, je n'étais pas vraiment une fêtarde. Bon il faut dire que je ne le suis pas devenu en deux semaines, mais j'apprécie cette sensation que m'offre le whisky. J'ai l'impression que je peux faire absolument tout ce que je veux et que j'ai le pouvoir. Je n'ai jamais eu cette sensation auparavant.
Elle s’observa longuement dans le miroir, espérant au fond d’elle que cela plaise à John et ce soir, elle n’allait pas se laisser avoir facilement, mais plutôt jouer le jeu de la tentation et ne pourquoi pas faire exprès de se rapprocher d’un de ses collègues pour le rendre jaloux.
Il me retourne et me fait asseoir à nouveau sur le rebord. Puis il me pénètre brutalement. Nous gémissons en même temps, tellement le plaisir est fort. Il prend ma poitrine à pleines mains et je peux sentir mes tétons se durcir sous ses paumes.