De pierre et d'os

François BUSNEL qui a reçu l'autrice a t'il réellement lu ce livre ? Je ne le pense pas. Ce livre a bien marché. Apparemment plus de 100 000 ventes. Ce qui est très bon. Pour moi, c 'est incroyable. Comment ce "Club des cinq" sur la banquise, cette sélection de bibliothèque verte truffée d'incohérences et sans style peut-elle faire naitre autant d'enchantements sur Babelio ?
Mes cleps ont failli me dévorer, mais je les envoie chasser page suivante et je veille à marcher devant. .
Hou là là, un cadavre d'ours ! je vais mettre quelques os dans ma poche, ca peut servir. Hé Bérangère, j 'espère que tu n'as pas mis un fémur dans ta poche. C 'est grand comme ça Bérangère, une poche de parka " Inuits ". :)
J'ai bien aimé... la couverture.

Lorsque j'ai commencé à lire je me suis rendu compte que l'écriture était très poétique et par conséquent je n'ai pas trouvé ça très fluide au niveau de ma lecture.
Je ne suis pas habituée à lire ce genre de roman et forcément je n'ai pas réussi à rentrer correctement dans l'histoire.

Je trouve ça bien qu'on apprennent comment les Inuits vivaient, comment ils réussissaient à survivre dans de tel conditions mais je ne m'attendais vraiment pas à ça avant de commencer ce livre. de plus le fait que ça soit poétique, tout n'est pas écrit très distinctement et par moment j'ai eu du mal à savoir ce que voulais dire l'autrice.

Si vous n'aimez pas tout ce qui se rapporte au sang, au cannibalisme, à manger des animaux de compagnie, je ne vous conseille pas du tout ce roman, il y en a un peu partout au fil de la lecture.

J'ai essayé de m'intéresser à la vie du personnage principal mais je ne m'attachais pas vraiment à elle, ni à sa famille ou quelqu'un de son entourage. Elle a vécu des choses horribles mais je n'ai pas vraiment eu d'empathie pour elle dans ce roman.

Bref, vous avez du comprendre que ça n'a pas vraiment été un coup de cœur voir même une bonne lecture.

Très très déçu
L'auteur est fasciné par le chamanisme et oublie la vie des lapons
Je vous recommande très très vivement le livre « Anta » traduit du suédois par le 1er écrivain lapon (langue orale)
Olivier