Et bien quoi, Emile?
Le déguisement de tomate géante était très bien l'an passé!
Oui, très bien, comme tu le dis si bien "l'an passé? Et pourquoi pas l'année d'avant?".
Innovons donc.
Farfouillons, farfouillons, trouvons l'inspiration.
Que nous réserve la malle à malice?
Un déguisement de Batman? de chevalier? D'agent secret?
Non! Bien mieux! Emile a une idée géniale!
Emile se déguisera cette année en Monsieur Ferber!!!!
C'est le fin du fin du déguisement. Il va vous le prouver.
:
: Que dire de plus? La chronique précédente avec l'épisode de la chauve-souris résumait assez bien toute la fantaisie et l'humour qui rythme les petites aventures de ce petit garçon imaginatif, turbulent et délicieusement boudeur.
A chaque histoire, notre Emile se surpasse dans l'animation du quotidien, y mettant des couleurs et en général, on le comprend, les parents voient rouge.
Le texte de
Vincent Cuvellier rivalise d'humour avec l'image offerte par Ronan Badel de cette imagination folle et sauvage de l'enfance. C'est fin, un brin absurde et bien vu.
Ces multiples interrogations, tribulations soumises à une voix off forte de raison qui est au bord de l'impatience par tant d'absurdité nous rappelle la belle époque de la Noiraude, grande inquiète des séries animées des années 80.