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Citations sur La passe-miroir, tome 1 : Les fiancés de l'hiver (544)

Ophélie décida qu’elle n’aimait pas ce rêve et rouvrit les yeux.
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Ses lointains ancêtres avaient assisté à la dislocation de leur univers. S'étaient-ils laissés mourir pour autant ? Non, ils s'étaient inventé une autre vie.
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Les dés étaient aléatoires, pleins de surprises ; ils n'étaient pas immanquablement décevants comme les êtres humains
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Ophélie sentit sa gorge se nouer pendant que sa tante pestait contre ses nœuds. Elle savait que c’était très égoïste de sa part, mais la pensée que cette femme partirait un jour lui était intolérable. Si sèche et rude fût-elle, c’était la seule personne qui l’empêchait de devenir toute froide à l’intérieur depuis leur arrivée ici.
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Le charme est la meilleure arme offerte aux femmes, il faut t'en servir sans scrupule. Il suffit d'un rien, une œillade inspirée, un sourire bien appuyé, pour mettre un homme à ses pieds.

(dixit la sœur d'Ophélie).
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- La cour ! souffla Roseline en grattant le papier de sa plume. Un bien joli mot pour désigner une grotesque scène de théâtre où les coups de poignard se distribuent dans les coulisses.
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Sa mère avait une personnalité envahissante qui ne laissait de place à rien d'autre qu'elle-même ; elle parlait, elle exigeait, elle gesticulait, elle n'écoutait pas. Quant à son père, il n'était que l'écho faiblard de sa femme, toujours à l'approuver du bout de ses lèvres sans lever le nez de ses souliers.
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Il n'existait rien de plus sinistre qu’une chambre d’enfant sans enfant.
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Dans la glace, les mâchoires de Thorn s’étaient contractées. Lui qui n’accordait jamais d’importance à l’opinion des autres, il semblait humilié.
- J’avais prédit que vous ne tiendriez pas l’hiver et vous m’avez détrompé. Vous me jugez inapte à vous offrir un jour une vie décente : me permettrez-vous de faire à mon tour mes preuves ?
Il parlait haché menu, les dents serrées, à croire que cette question exigeait de lui un effort prodigieux. Ophélie, elle, ne se sentait pas bien du tout. Elle n’avait aucune envie de lui répondre.
Il n’avait pas le droit.
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- Vous aviez l'intention de forcer ma cousine dans les hautes herbes de ce jardin ?
Archibald secoua la tête d'un air exaspéré, presque offensé.
- Me prenez-vous pour une brute épaisse ? Tuer un homme ne me fait ni chaud ni froid, mais jamais je ne lèverai la main sur une femme. Je l'aurais séduite, pardi !
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    Ses gants
    Son écharpe
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    Thème : La passe-miroir, tome 1 : Les fiancés de l'hiver de Christelle DabosCréer un quiz sur ce livre

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