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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Ce que ce bouquin m'inspire ?

"Ça fout la frousse, mon truc t'étouffe comme le couscous, c'est la grosse secousse dans la brousse, pourvu qu'elle soit douce, et sincère, jamais faux-cul comme le MEDEF, et ceux "born to lose" comme les responsables d'AZF.
C'est Mururoa, toxique comme la mort aux rats, tu murmuras, ça te rend doux comme un koala, t'es ze-na, mon truc t'attaque comme un zona, repense à tous ces "zou", dans ta chambres du zonas.
Reste zen. Arrête de t'en foutre dans l'zen, Stup, c'est d'la drogue, va l'écrire dans ton magazine, c'est comme Materazzi et Zinedine : et j'te shoote dans la tête, envoit ton crâne jusqu'aux Philippines.

The krou, the krou is just another way of thinking, I don't know if you realize.

Quel charivari, ça balance grave à Paris, 894 membres parfois ça varie, me pompe pas ma façon d'crier, ou c'est tribunal, le gang des motards saura rester original.
Quelle gabegie, ça se castagne au CIDJ, noire est ma magie mais jamais ça s'est assagi, profil bas, j'suis pas très "peace" ni "Ambalaba", il restera entier, ce mystère au chocolat.
Soumets-toi, rencard à 4h sur le toit, amène tes arguments, j'amènerai mon nunchaka, ma colère gronde, j'te ferai cuire au micro-onde, j'irai pisser sur ta tombe ce s'ra immonde, comme la fin du monde

Nik, nak, padiwak, c'est Rascar Capac, ma technique te snack, mon meilleur pote c'est mon mac, mec, j'aime mon hamac mais ma technique te nique, j'suis trop esthétique quand j'ai bu 2 Gin-Tonic. Pop en toc, que le grand cric me croque. Blah blah blah, fuck le rock et l'baroque. Dans peu d'temps, je serai la coqueluche Y'a trop d'cons qui lèchent rien qu'pour me serrer la paluche.
Ma stup-zik fout des hématomes. Et y'a pas d'mal, vu l'état d'la zik dans l'hexagone, ça fait "poum poum tchack" mon truc te déstresse la nuque mec. Accroche toi aux rideaux, quand je déboule ça fout la frousse".

Stupeflip (Apocalypse 894)

PS : où quand Dantec a basculé dans le n'importe quoi...
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J'avais entendu parler en bien de Dantec sans jamais en lire.
A la sortie de celui-ci, je l'ai donc rapidement pris en bibliothèque.
La première partie commençait comme un roman noir, un tueur en série, on suivait des personnages. Très tôt, le roman me bousculait, me donnait une impression de malaise et de colère.
C'était le propos politique de l'auteur qui ne me convenait pas, que ce soit dans la complaisance avec la vision raciste et violente du policier de la BAC ou les conclusions à propos de la guerre en Yougoslavie, tout celà sentait la guerre de civilisation, l'envie d'en découdre, le désir de violence.
Soit, lire c'est aussi pour écouter l'autre penser, c'est aussi se décentrer.
J'ai adoré American Psycho ou le Voyage au bout de la nuit. Je n'ai aucune empathie pour le tueur-trader de l'un ou pour la vision de Céline.
Puis le roman a commencé à se déliter, se déstructurer, le propos est devenu incohérent et mystique. le plaisir de l'auteur à perdre le lecteur que j'étais, transpirait à chaque page. le mépris suintait à chaque ligne. J'ai apprécié le pendule de Foucault, je sais faire la différence entre un livre érudit qui te tire vers le haut et un livre pédant qui t'écrase. Villa Vortex c'est un livre de pédant.
Dantec n'est ni Eco, ni Brat Easton Ellis, ni Céline.
De ce livre je retiens le point de vue réactionnaire et fascisant de l'auteur, les délires mystiques et pédant de celui qui se voit en gourou. L'écriture qui pourrit sur pied et l'histoire qui n'a plus envie d'exister.
Par la suite j'ai suivi de temps à autres ses dérives, ses outrances, ses appels à la violence de plus en plus pathétiques, son mysticisme chrétien et son idéologie de croisades.
Pour reprendre une formule cruelle à propos de René Girard, "Dantec c'est un illuminé qui se prend pour un phare"
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Villa Vortex entre la très, très courte liste de bouquins que je n'ai pas lu jusqu'au bout. Il m'est tombé des mains à la fin du 1er chapitre....
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Des le d"but ça s'embourbe et au fil des pages ça devient de plus en plus pédant et prétentieux; un discours pseudo philosophique ultra rebattu, à mes yeux sans interêt.
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Quel pensum ! Pas du genre à lâcher l'affaire, j'ai lu plus de 600 pages sans discontinuer puis j'ai survolé les 200 dernières. Mais qu'est-ce qui est passé dans la tête de Dantec ? Une trame intéressante mais polluée par des considérations métaphysiques censées mettre en valeur les réflexions de l'auteur. L'enquêteur Georges Kernal suit une descente aux enfers et moi avec, désespéré que l'auteur organise ses démonstrations rhétoriques quand je ne souhaitais qu'une histoire...
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Pas du tout aimé. Dantec a craqué.
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Dantec a écrit l'un de mes bouquins préférés : « les racines du mal ». « La sirène rouge », dans un ton plus beaucoup plus classique est aussi un bon polar. «Babylone babies » commençait à montrer que le gars Dantec avait trop de marc dans la cafetière. Avec « Villa Vortex », le gars Dantec a basculé dans le trou…..On connaît la suite de l'histoire, pas très rose ! Néanmoins je recommencerai la lecture de ce pavé. Pourquoi ? Pour voir où mène la drogue quand elle agit sur un intello chahuté. Pour, aussi, comprendre le cheminement d'un auteur, qui à mon avis reste un génie.
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