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Ça fait plus de 50 aventures maintenant que je suis les enquêtes du Commissaire San-Antonio et je suis surpris moi-même de voir que j'arrive toujours autant à accrocher sans me lasser alors même que les ingrédients restent toujours identiques dans l'ensemble.

Avec "Le coup du Père François", j'ai même pris beaucoup de plaisir à suivre cette enquête diplomatique qui m'a captivé du début jusqu'à la fin. le final est toujours abracadabrantesque mais il fonctionne bien. Il fait même partie je trouve des opus où le twist est le mieux amené. de l'exubérance, de la surenchère mais ça passe.

Le dosage policier, humour grivois et jeux avec la langue française est bon, Frédéric Dard joue toujours avec les mots pour le plus grand plaisir des lecteurs qui savent à quoi s'attendre et qui en ont pour leur argent. Très divertissant comme lecture, c'est du tout bon pour moi dans sa légèreté.
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Un petit San-A, le 54ème de la série, paru en 1963. L'histoire est tellement simple que l'énoncer serait la raconter. Donc, silence. A lire quand même si on est vraiment fan.
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Et hop, un petit San-Antonio, ça faisait longtemps…
« le coup du père François », publié au deuxième trimestre de 1963 et dernier de la forme B1 (classification des parutions).

« En peignant la girafe », fut pour moi le premier vraiment bon San-Antonio, même si Pinaud en est absent : la recette qui fera miracle dans l'avenir est ici bien installée et on pense qu'elle perdurera…
Petite erreur, « le coup du père François, même s'il respecte peu ou prou la recette, est tout de même plus faible : une intrigue légère, mais légère… Très légère… Pinaud prend de la consistance, Béru égal à lui-même, quoiqu'un peu « aseptisé ». On retrouve Félicie, la brave femme de mère, le Boss et même, sa fille, Claire. Bref ! Un épisode un peu bâclé, mais le meilleur est à venir, et ça ne va pas tarder.

Mais revenons à nos moutons : Morpion, le vieux prof de français de San-Antonio le contacte. Il sort d'un séjour de deux mois l'hosto. Rentré chez lui, il constate que sa pendule, qui doit être remontée toutes les semaines, fonctionne. Mieux, elle est à l'heure… de là à supposer que quelqu'un s'est introduit chez lui en son absence, il n'y a qu'un pas que le vieux professeur franchit allègrement.
Et s'il avait raison, le vieux prof ! Il habite juste en face du consulat d'Alabanie ; un consulat qui, si on regarde bien, présente une fenêtre rafistolée avec du carton. Et cet appartement qui sent la poudre ?!
Malgré tout, un bon bouquin de vacances…
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54ème roman de San-Antonio publié en 1963 (dépôt légal 2ème trimestre 1963).
L'histoire se déroule probablement en hiver 1962-1963 à Paris.

Histoire : San-Antonio est contacté par un de ses anciens professeurs de français car ce dernier a constaté qu'une personne a occupé son appartement pensant son séjour à l'hôpital...

Nous retrouvons de nouveau le trio pour une nouvelle enquête. Bien que Pinaud a un petit rôle : il est blessé et se retrouve à l'hôpital.

Excellent roman sur fond d'attentat fomenter par un groupe alabanien (encore un pays inventé par F. Dard). Avec des scènes très drôles : Pinaud à l'hôpital et la dispute entre Bérurier et sa femme.

Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :
- a étudié dans un lycée de Saint-Germain-en-Laye



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Pinaud simple flic.
L'Alabanie vous connaissez, vous ?
Quand un ancien prof de Sana, le Professeur Morpion le contact par téléphone pour lui faire part d'une singulière remarque, notre commissaire adoré ne peut que se dépêcher sur place.
Cette singulière remarque, c'est que pendant l'absence du Professeur Morpion de son domicile pendat deux mois, son horloge à balancier ne s'est pas arrêtée. Louche n'est ce pas, et de quoi dilligenter une enquête.
Il se trouve qu'en face de l'immeuble de Morpion se trouve le consulat d'Alabanie et qu'une vitre est brisée. Une raison de plus pour enquêter, vous ne trouvez pas ?
Sana envoie son cher Pinaud, avec son air de constipé résigné, aux devants d'une enquête pleine de rebondissements, surtout pour Pinaud.
Et dire que les Alabanais voulait attenter à la vie de notre président, c'était sans compter sur le fabuleux commissaire San-Antonio.
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