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San Antonio tome 51 sur 175
EAN : 9782266236911
224 pages
Pocket (22/08/2013)
3.68/5   96 notes
Résumé :
Si vous avez des enfants et si vous êtes tatillons sur leur éducation, je ne vous conseille pas de les envoyer à l'école de "Grangognant-au-Mont-d'Or."
Et cela pour deux raisons. La première est que ce paisible village de la région lyonnaise est actuellement le siège d'un drame qui bouleverse toute la France : les "gones" y disparaissent les uns après les autres et l'on assassine les maîtres d'école.
La deuxième raison est que le nouvel instituteur a p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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« San-Antonio chez les Gones », autant dire chez lui… Publié en fin 1962 et cinquantième de la série.
Oui, San-Antonio chez lui ! N'oublions pas l'origine de Frédéric Dard : Bourgoin–Jallieu, et son installation à Lyon, quartier de la Croix-Rousse dans l'immédiat après-guerre…

Un roman qui sent bon le bouchon lyonnais, non seulement parce qu'on y boit du beaujolpif en général, et du Juliénas en particulier (et en quantité pour Béru), mais aussi par des détails de vocabulaire typiquement lyonnais : on parle d'un « pot » de Beaujolais (46 cl), « d'équevilles » (ordures) de « porte d'allée » (porche)…

Mais revenons à nos moutons…
Un San-Antonio bien tourné, malgré une intrigue fastidieuse et un dénouement un peu bâclé. Pas de Pinaud ici, mais un Béru désormais bien campé et très actif ; surtout sur le beaujolpif…

Il y a un drôle de cézigue qui traîne dans les parages de Grangognant-au-Mont d'or. Pensez donc : deux gamins de l'école ont disparu et l'instit a été trucidé… Béru s'y colle : il fera la classe afin de démasquer le coupable, secondé par notre cher commissaire… Je vous laisse imaginer l'appel du matin : « Comment que c'est ton blaze, gamin ? ». Une classe où un litre de marc vaut un 20 en Géographie et un saucisson, un 18 en Histoire…Et puis il y a Rosette, de Lyon… Mais non ! Pas le saucisson ! La jolie institutrice aux taches de rousseur si élégamment disposées…

Un San-Antonio bien tourné, mais malgré tout encore un peu faible : tout n'y est pas dans la recette qui fera le succès de la série à la fin des années 60. Pas de Pinaud, pas (ou peu) d'énumérations fantaisistes, quelques notes en bas de page, mais surtout destinées à illustrer le parler lyonnais, pas de complément Kâma-Sûtra personnel du commissaire, pas de digressions déjantées, etc.

Néanmoins un bon moment de lecture.
Qu'est-ce qu'on peut être exigeant quand on sait ce qui nous attend vers les années 65 !
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Les garçons de l'école élémentaire de Grangognant-au-Mont-d'Or dans le Rhône ont appris à s'attirer les faveurs de leur nouveau maître d'école. Offrez-lui un saucisson ou une bouteille de gnôle et vos résultats en arithmétique ou en géographie grimperont en flèche. Cet instituteur se distingue par sa grasse corpulence et par sa pédagogie assez inédite. Les plus avisés d'entre vous auront reconnu le sublime Bérurier. Il n'a pas changé d'orientation, non, mais il a remplacé au pied levé un maître qui a été retrouvé égorgé dans les sanitaires. Aïe ! Pour noircir le tableau, deux élèves ont disparu. San Antonio interrompt – une nouvelle fois – ses vacances avec sa douce maman pour enquêter sur ces faits tragiques. La mission est épuisante, pleine de mystère et riche en cadavres. Heureusement, nos deux héros peuvent se délecter d'argot lyonnais, de spécialités locales et de verres de beaujolais. L'histoire est trépidante, il faut parfois s'accrocher aux poignées de la Jaguar sport type « E » du commissaire pour suivre. Et si cet épisode est un bon cru, c'est grâce à une employée des P.T.T. acariâtre et à notre Bérurier national qui nous offre des scènes d'anthologie dans sa salle de classe.
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En vérité, ce livre était destiné (il l'est toujours d'ailleurs) à mon Papa qui est Lyonnais de souche (non, pas de Souche...de Lyon !) et qui m'a appris dès mon plus tendre âge à jacter en argot, donc pour le remercier de ce merveilleux héritage, j' m'étais dit que lui offrir une petite ballade dans Lyon en compagnie de San-A et Béru lui ferait plaisir.
Peux pas encore vous dire si c'est le cas, puisse que j'ai réquisitionné le bouquin quelques temps pour mézigue. C'était pas prévu, mais après trois ou quatre chapitres (la curiosité est un vilain défaut), il était impossible de stopper la lecture tellement qu'elle était poilante !
Il faut préciser que je connaissais que tchi de San-A et de Sa Majesté Bérurier... J' vous explique pas le choc frontal auquel j'ai été confronté !
Le topo est basique : San-A et Béru sont appelés par des collègues de la région Lyonnaise afin d'enquêter sur la disparition de quelques marmots et sur l'assassinat d'un prof.
L'enquête est un peu moins basique rassurez-vous...nos deux supers flics vont avoir la splendide, la merveilleuse, l'ingénieuse, l'hilarante idée d'infiltrer l'éducation nationale, histoire de faire jaspiner les mômes. Et qui va s'y coller ? J' vous l' donne en mille Émile.... Bérurier !
Et sérieusement, j' pense que vous devriez l' voir le Gravos en instituteur "studieux", y' a pas à dire Sa Proéminence a le "standinge" !
Pendant ce temps, le San-Antonio dans son petit coin prend des grands risques et met son inébranlable courage (pas sûr que le reste soit aussi inébranlable...) au service des "Gones", pour notre plus grand plaisir évidement.
Que dire de plus qui n'a déjà été dit dans cette inutile bafouille ?
Pas grand chose... Ah si ! Merci Papa, car sans toi j'aurais entravé fifrelin à ce bouquin !

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51ème roman de San-Antonio publié en 1962 (dépôt légal 4ème trimestre 1962).

L'histoire se déroule à Lyon et sa région en 1962, un mois après le roman précédent "Le loup habillé en grand-mère".

Histoire : Alors que San-Antonio profite de ses congés, Bérurier lui demande de l'aide sur une enquête qu'il doit élucider : deux enfants ont disparu dans la région lyonnaise. Pour la circonstance, Bérurier devient instituteur ...

Nous retrouvons San-Antonio et Bérurier dans la région de Lyon qui enquêtent sur la disparition de deux enfants sur fond d'événements déroulés pendant la seconde guerre mondiale (expliqué vers la fin du roman). A noter que Frédéric Dard n'a plus fait allusion à la seconde guerre mondiale depuis "San-Antonio renvoie la balle".

Un bon San-Antonio avec des passages très drôles : les cours de Bérurier face à ses élèves ou l'inspecteur académique. Dans ce roman, Frédéric Dard utilise même des expressions lyonnaises.

De plus, l'histoire n'est pas extravagante et peut même passer pour un fait divers.

A recommander.

Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :
- a une nouvelle voiture : une Jaguar sport, type E

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San-Antonio – Tome 51 : San-Antonio chez les gones de Frédéric Dard (Genre : Policier)

Editions : Pocket
Prix : 6,10€
Année de parution originale : 2013

.Résumé : Si vous avec des enfants et si vous êtes taillons sur leur éducation, je ne vous conseille pas de les envoyer à l'école de « Grangognant-au-Mont-d'Or ». Et cela pour deux raisons : la première est que ce paisible village de la région lyonnaise est actuellement le siège d'un drame qui bouleverse toute la France : les « gones » y disparaissent les uns après les autres et l'on assassine les maîtres d'école. La deuxième raison est que le nouvel instituteur a pour nom Bérurier ! Je ne vous en dis pas plus !

.Mon avis : Les « San-Antonio », je n'en avais jamais entendu parler jusqu'à ce qu'un ami m'en achète un parce qu'il appréciait. Vous savez que maintenant plus rien de me fait peur et je diversifie mes lectures. Et puis un livre policier, en lisant des thrillers, je me suis dit que c'était abordable. Franchement même si la couverture n'est pas des plus belles, elle reflète parfaitement l'ambiance du bouquin et les personnages un peu foldingues de l'histoire. Mais je ressors agréablement surpris de ma lecture, j'ai passé un agréable moment.

.Tout de suite plongé dans l'ambiance de l'histoire, on nous met en scène ce qui ne va pas dans la région Lyonnaise. Deux enfants ont été enlevés et un maître d'école qui a été assassiné franchement ça démarre bien. On est de suite plongé dans l'enquête avec San-Antonio et son fidèle acolyte Bérurier. Ils ont leurs méthodes à eux pour enquêter même si elles ne sont pas toujours des plus légales. Un début qui m'aura aussi un peu dérouté quant au style de l'auteur et à sa façon de parler au lecteur.

.Ce qui m'a au début dérangé mais qui m'a après fait rire et plu c'est le style de l'auteur. Il utilise des mots patois dont on ne comprend pas forcément tout. Mais c'est ce qui fait, en y réfléchissant, tout le charme du livre. On sent que l'auteur s'inspire de son expérience pour nous transmettre un petit peu son savoir. Et puis c'est ce qui rend les personnages aussi plus sympas dans l'histoire.

.En ce qui concerne les personnages, Antoine est un commissaire très sympa à suivre qui nous fait interagir avec lui. Je m'explique… Il y a des fois où il s'adresse directement à nous. Alors au début j'ai trouvé cela bizarre parce qu'il nous prend un peu pour des ignares. Mais en fait, cela permet de se prendre encore plus au jeu de l'intrigue principale pour découvrir le ou les meurtriers. M Bérurier est aussi très sympa à suivre parce qu'il est hilarant ! Bref, même si ces deux personnages sont sympathiques à suivre, ils ne sont pas pour autant attachant comme dans une bonne histoire avec des sentiments forts. Et les personnages secondaires sont là pour faire l'histoire mais ils ne m'ont pas plus touché.

.Même si l'intrigue est très bien rythmée, je me suis laissé porter parce que je ne comprenais pas tout. J'ai trouvé que la manière d'aborder l'enquête était brouillonne et mal mis en place pour identifier parfaitement les personnages. Peut être qu'au final il y en a trop, je ne sais pas mais je me suis senti parfois perdu. du coup quand, j'essayais de faire des pronostiques je n'y arrivais pas parce que je ne voyais pas qui pouvait être le suspect.

.Pour finir, je dirai que le style d'écriture, même s'il lui est caractéristique et parfois loufoque, se lit parfaitement bien. Et même si on n'a pas lu les tomes précédents, on n'est pas perdu parce que chaque histoire est différente. Ce qui m'a cependant déplu c'est la fin qui m'a paru achevé trop tôt. Je m'attendais à voir d'autres scènes en plus, mais elles ne sont pas arrivées du coup petite frustration. Mais je saurai à quoi m'attendre la prochaine fois. Je vous recommande quand même cette petite histoire sympathique qui vous fera passer un bon moment.
Lien : http://enjoybooksaddict.blog..
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critiques presse (1)
BoDoi
17 septembre 2018
Très drôle, foutraque et prenant, l’album rappelle dans le rythme les envolées survitaminées de Lastman, à l’image du dessin, ultra-dynamique, expressif et cartoonesque, jouant l’excès de proportions pour mieux faire rire, avec des cadrages culottés. Et réservant quelques scènes d’anthologie (DSK à poil, en position kung-fu).
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
- On va faire l'appel,dit-il.
Il ouvrit son registre sur lequel se succédaient les noms des élèves.

A l'appel de vos blazes,vous répondez présent si que vous êtes présents,et vous répondez rien si que vous êtes absents.

Il attaqua,d'une voix aussi épaisse que du miel:
-Andrivon?
-'sent!glapit une voix juvénile.
-Barbarin!
Et le dénommé Barbarin fit claquer ses doigts en appelant,comme un naufragé lance un SOS:

M'sieur,M'sieur!

Ah! non! explosa l'instituteur,ça va pas commencer,le défilé des gogues!Vous aviez qu'à prendre vos précautions.On vient juste de rentrer!

-C'est pas ça,m'sieur.Y a mon papa qui m'a donné un litre de marc pour vous!

Le maître d'école sourit de plaisir.Son visage prit l'expression d'une infinie tendresse,et une humidité due à l'émotion emplit ses yeux cléments.

- Montre un peu,dit-il.
C'est.du chouette.Comment que c'est,ton blaze,déjà,gamin?

Lucien Barbarin,m'sieur.
-Je vais te foutre un 20 en géographie,décida l'instituteur.

--Merci,m'sieur.




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L'instituteur était un gros homme sanguin dont la blouse grise s’ornait de multiples taches d’encre. A cause de sa bedaine, il ne pouvait boutonner le vêtement. Les pans de celui-ci l’encadraient, comme un rideau de théâtre, ouvert, encadre la scène.
− On va faire l’appel, dit-il.
Il ouvrit le registre sur lequel se succédaient les noms de ses élèves.
− A l’appel de vos blazes, vous répondrez présent si que vous êtes présents, dit l’instituteur, et vous répondez rien si que vous êtes absents.
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Par les larges portes-fenêtres béantes, j'aperçois une faune assez clitoresque. Il y a là sept personnes : quatre frangines et trois matous. Trois des quatre souris sont jeunes, saoules et décolletées, la quatrième est vachement vioque et fardée à la truelle. Ça fait au moins cinquante ans qu'elle a remplacé son maquilleur par un maçon. Les trois hommes réussissent l'exploit délicat d'être aussi antipathiques les uns que les autres. On devrait désigner la plus sale bouille qu'il faudrait au moins quatorze tours de scrutin pour y parvenir.
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C’est vrai qu’avec votre cervelet pareil à une morille déshydratée, rien ne vous surprend. On vous raconterait n’importe quelle couennerie que vous ne sourcilleriez pas. De véritables entonnoirs, mes fils, voilà ce que vous êtes. Et c’est pour ça dans le fond que je vous aime bien. Avec vous, y a qu’à verser !
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− M’sieur l’instituteur, puisque je vous tiens, est-ce qu’on doit dire des chacals ou des chacaux ?
Le Gros hausse les épaules.
− C’est marrant le nombre de personnes qui me posent la colle, fait-il avec une noblesse de manière qui en dit long comme le lit du Général sur son savoir.
Puis, levant un index sentencieux :
− On dit toujours un chacal ! affirme-t-il.
− Mais quand y’en a plusieurs ? insiste la bistrote assoiffée de science.
− Justement ! C’est là que vous l’avez dans le pétrousquin, madame Lenfoiret, jubile l’instituteur (sorti en droite ligne d’Anormale) y a jamais deux chacals à la fois. De ce fait le pluriel on en a rien à foutre, comprenez-vous ? Le chacal est un oiseau qui vit seul, voilà la verdure !
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« Cette compilation qui se voudrait anthologie complète […] a pour but de proposer aux lecteurs de revisiter l'oeuvre de l'auteur par la lorgnette des aphorismes, des fragments, des éblouissantes et percutantes réflexions qui ont traversé son esprit entre 1943 et 1987 […]. » (Préalable & remerciements)
« […] La meilleure histoire belge, je vais te la dire, c'est la plus terrifiante de toutes : « Il est une fois Scutenaire et les Belges n'en savent rien ». Et les Français non plus. (...) Il dit tout, mais par brèves giclées, Scut. Il sait la vie, la mort, l'avant, l'après (...), l'amère patrie, le surréalisme, les frites, les cons, les moeurs, les larmes et la façon dont, chez lui, il doit éteindre au rez-de-chaussée avant d'éclairer au premier pour ne pas faire sauter le compteur électrique. » (Frédéric Dard)
« le texte lapidaire est une spécialité belge. […] […] cet orpailleur de l'apophtegme reste merveilleusement méconnu […]. « J'écris, dit Scutenaire, pour des raisons qui poussent les autres à dévaliser un bureau de poste, abattre un gendarme ou son maître, détruire un ordre social. Parce que me gêne quelque chose : un dégoût ou un désir. » […] Scut le météorite a tout lu, tout vu, tout englouti et tout restitué dans un habit neuf. « J'ai quelque chose à dire et c'est très court. » Maximes en percussions et sentences en saccades sont étrillées, débarbouillés au gant de crin. Sa façon de dire merde alentour est à nulle autre pareille. […] […] Réfractaire, récalcitrant, insoumis sous toutes les latitudes, Scutenaire n'est point de ceux qu'on puisse congédier en ambassade. Dans les poussées d'angoisse, il usait, comme d'un remède à toute épreuve, des aspirines de l'humour. Elles ne le guérissaient pas mais l'apaisaient. […] » (Patrice Delbourg, les désemparés, Éditions le Castor Astral, 1996)
« Mes inscriptions sont une rivière de Californie, il faut tamiser des tonnes de sable et de gravier pour trouver quelques pépites, voire des paillettes. Remarquez, sable et gravier ne sont pas matières inutiles. » (Louis Scutenaire)
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Référence bibliographique : Louis Scutenaire, J'ai quelque chose à dire. Et c'est très court., Collection d'Inscriptions, évocations et autres textes rassemblés par Jean-Philippe Querton, Cactus Inébranlable éditions, 2021. https://cactusinebranlableeditions.com/produit/jai-quelque-chose-a-dire-et-cest-tres-court/
Image d'illustration : https://www.kobo.com/us/en/ebook/louis-scutenaire-1
Bande sonore originale : Crowander - Don't You Leave Don't You Leave by Crowander is licensed under an Attribution-NonCommercial 4.0 International License.
Site : https://freemusicarchive.org/music/crowander/from-the-piano-solo-piano/dont-you-leave
#LouisScutenaire #JAiQuelqueChoseÀDireEtCEstTrèsCourt #LittératureBelge
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