Le jeu du maître, tome 1

Si pour certains le confinement leur a permis de lire plus, ça n'a clairement pas été mon cas puisque mon charmant caractère contradictoire s'est dit que puisque j'avais le temps de vider ma pal, il n'avait pas envie de lire. Ceci dit pour mon Confi-versaire (= anniversaire confiné) je me suis fait un petit cadeau et c'était ce livre que j'ai lu sans attendre.

N'ayant jamais lu la saga le labyrinthe parceque j'aime trop les films (entendez par là j'aime trop Dylan O'Brien) j'avais néanmoins envie de découvrir son auteur et la sortie poche du maître du jeu était une excuse toute trouvée pour enfin me lancer.

Réfractaire aux jeux vidéos, le résumé m'avait pourtant intriguée avec ses notions de réalités virtuelles. Et si j'ai souvent été déconnectée dès qu'il s'agissait du jargon gamer, le thème de l'intelligence artificielle, de ses limites à ses possibilités qui m'a toujours fascinée, m'aura tenue captivée tout au long de ce 1er tome jusqu'au twist final qui remet en cause beaucoup de choses. Je regrette un peu de ne pas m'être attachée plus que ça aux personnages mais l'envie de savoir Si et Comment ils allaient s'en sortir m'aura tout de même fait tourner les pages très vite. J'ai hâte de savoir où la suite va bien pouvoir nous embarquer.

Les débuts ont été difficiles pour moi, les descriptions sont sommaires, ce qui du coup m'a empêché de me plonger pleinement dans cet univers. Je me suis retrouvée perdue dans ce monde virtuel et celui de la réalité, j'avais du mal à comprendre les aboutissants de cette trame, où l'auteur voulait nous emmener ? J'ai donc délaisser la lecture, pour la reprendre, sans que cela soit contraignant. Finalement, au-delà de la moitié de ce premier tome, j'ai réussi à m'intéresser à l'intrigue, les rebondissements s'enchaînent, les révélations aussi, Michael est déterminé dans sa quête à connaître la vérité et cette résolution m'a beaucoup plu.

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Un premier opus dans la lignée de la saga de l'Épreuve, où la technologie prend le pas sur la réalité et où tous deux se confondent…

Après avoir lu et adoré la série de l'Épreuve, avec le fameux premier tome du Labyrinthe, je me suis fait offrir cette nouvelle saga qui promet d'excellents moments ! Forcément, comment oublier le talent de James Dashner et les images qui demeurent en tête alors que ses précédents écrits ont été adaptés au grand écran.
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J'avais fondé de gros espoirs concernant ce petit bouquin. Avant de le commencer j'étais d'ailleurs persuadée que c'était un One-Shot, ou comme j'aime les appeler : « Un petit bouquin qui se digère sans avoir à se soucier de se souvenir trop longtemps des détails et du noms des personnages » haha. Malheureusement c'est au moins une duologie, le tome 2 étant prévu pour Octobre 2016.
Alors verdict… ? Je n'ai pas accroché. Et je suis carrément embêtée parce que j'avais A-DO-RÉ la plume de James Dashner dans la saga de L'épreuve. J'avais aimé sa manière addictive de nous plonger dans le récit, son univers audacieux et qui sortait de l'ordinaire, ses personnages forts et attachants… Et là gros bide, je n'ai rien retrouvé de ce qui me plaisait autant que dans ses précédents bouquins. Je vais tout de même essayer de vous dire en quelques points ce qui ne l'a pas fait, et les points positifs que j'ai tout de même pu relever. Je ne vais pas me tenter à vous faire un résumé à ma sauce car c'est tout de même assez compliqué à narrer.


Parlons positif pour commencer si vous le voulez-bien, je ne suis tout de même pas un tyran.
On commence par l'univers. C'est ce qui m'a tout de suite attiré, comme beaucoup d'entre vous je pense. Après le labyrinthe, je me demandais avec quoi l'auteur ferait son grand retour, et c'est dans l'univers des jeux vidéos que monsieur Dashner a jeté son dévolu. J'ai toujours beaucoup aimé ce monde-là, du gaming et du virtuel, c'est donc sans surprise que j'étais très intriguée. J'ai beaucoup aimé le fait qu'il instaure un vocabulaire spécifique à son univers, mais n'ayez craintes si vous êtes autant familière avec une manette de console qu'avec une tronçonneuse, le lexique est très facile à saisir, vous ne serez donc pas perdue au bout de quelques pages !


Autre gros point positif, les personnages de ce roman… Et leur humour !
La midinette qui se cache au fond de moi a toujours été sensible aux traits d'humour dans les bouquins et je dois dire qu'ici ce fût également le cas. J'ai beaucoup aimé le trio que formait Michael, Byron et Sarah, on les sent très soudés, très amis. Ils se cherchent constamment et se lance de petites piques, se répondent avec sarcasmes etc… J'aime beaucoup ce genre d'humour piquant et je n'ai absolument pas été déçue sur ce coup-là. Michael, notre héros est un jeune homme courageux qui n'a pas peur d'affronter le danger. Il est déterminé et à la fois sensible. Sérieusement comment ne pas l'aimer ?


Ce qui est également très bien dans ce livre c'est l'action. Il en est bourré. Ce n'est pas le genre de livres où on s'endort sur une description de 2 pages d'un pot de fleur c'est certain. Il y a des rebondissements, des combats, du danger. Nos protagonistes sont sans cesse en mouvement et on a pas le temps de s'ennuyer.


Il est l'heure de passer aux choses qui fâchent, et je vais aborder les points qui sont (à mon sens) négatifs. Tout d'abord, j'ai trouvé que l'auteur se perdait parfois dans son récit, j'ai eu l'impression qu'à plusieurs moments cela ne rimait pas à grand chose, on savait pas vraiment, en tant que lecteurs, où l'auteur désirait nous mener. C'est également assez prévisible, à part les dernières pages, qui m'ont vraiment surprise et beaucoup plu.
J'ai pas non plus accroché à l'histoire en elle-même. L'intrigue ne m'a pas emballée, j'ai pas ressenti le besoin de m'y replonger très vite, cela m'a même fait l'effet inverse… le livre ne fait même pas 300 pages et pourtant j'ai pris pas mal de temps à en venir à bout, ce qui est assez rare chez moi je dois dire. Je pensais frôler le coup de coeur avec cette lecture et le côté virtuel, jeux vidéos mais c'est une déception. Je dois dire que cela ressemble également beaucoup à la quête de Thomas et des autres jeunes, ils doivent passer des épreuves plus dures les unes que les autres pour s'en sortir. Cela dit ça ne m'a pas vraiment dérangé. le côté sanglant en revanche m'a un peu refroidi. Pourquoi tant de violence sous prétexte que la mort n'existe pas ? Je pense que certains passages auraient pu être évités.


Autre point qui m'a déçue : tout ce mystère autour de ce dangereux et énigmatique joueur : Kaine. Oui tout gravite autour de lui mais je suis vraiment déçue qu'on doive attendre la fin du livre pour que mon intérêt soit titillé. C'est peut-être un peu trop long à se mettre à place.


Pour résumer cette longue chronique, vous excuserez ma langue trop bien pendue. Félicitations si vous êtes arrivés jusque là haha.
Je voudrais tout de même vous conseiller cette nouvelle trilogie, car c'est du James Dashner et que ce bouquin a eu tout de même énormément d'avis positifs, peut-être que vous accrocherez plus que moi, je ne peux que vous conseiller de le tenter, on ne sait jamais !
« le jeu du maître » vous plonge dans un univers virtuel très bien retranscrit, avec beaucoup d'actions et d'humour. Petit bémol pour l'excès de violence et l'intrigue qui ne m'a pas du tout emballé à mon grand regret

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Le jeu du maître est un genre de Ready player one mais version jeunesse vraiment très sympa !
On est plongé dans un univers robotiser ou nous pouvons nous immergés dans un jeu virtuel comme si c'était la vrai vie. On peut jouer à des jeu en y étant immergé, on peut vivre une vie virtuel en allant au resto, dans des parcs… mais tout ne va pas se passer comme prévu !
En effet une personé dans Virt net prends le contrôle et amène beaucoup de personne à l'état de légumes dans la vrai vie.
Qui est cette personne ? que veut-elle ? c'est que va découvrir Michael et ses amis.
C'est un vraiment un bon roman jeunesse super sympa qui se lit très rapidement !
L'intrigue est vraiment super bien tournée et très bien construire ainsi que le worldbuilding qui est vraiment passionnant !
Les personnages sont assez bien développés pour un jeunesse et on n'a pas de mal à s(attacher à eux.
Ils sont drôles et très courageux et pas du tout ennuyant pour un jeunesse !
Ce fut donc une très bonne relecture pour moi !

je suis tombé sur cette trilogie en regardant ce que l'auteur avais écrit d'autre que labyrinthe . Quel magnifique surprise sa à était , je ne mi attendais pas du ! je suis un grand fan d'histoire sur la réalité virtuelle et celle si ne ma vraiment pas déçu ! je l'ai dévoré , il est facile à lire et a comprendre , l'intrigue nous donne envie de lire chapitre apres chapitre sans pouvoir s'arete . je l'ai tous simplement adoré !!!!!

D'abord, on a beaucoup de mal à s'attacher aux protagonistes. Peu décrits, peu développés, leurs émotions, tout comme leurs actions, paraissent factices, peu ou pas réfléchies. Ils sont trop visiblement reliés aux ficelles que tirent l'auteur, impossibles à ignorer. En bref : tout se fait aux forceps, et le suspense ne prend pas. Pas plus que ne se développe l'empathie, en même temps que l'intérêt du début de l'histoire se dilue rapidement à mesure que le trio de jeunes hackers franchit les « niveaux » pour atteindre la « Ravine Sacrée ».

A cet égard, on pressent que l'action apparaît clairement dans l'esprit de son créateur, qui dissémine ça et là des références appuyées à certains gameplay… mais sans finesse. Dashner nous laisse fréquemment au bord de la route, tour à tour englué dans certains passages rédigés quasi mécaniquement, sans feu, sans passion, ou parti trop loin dans un chapitre en mode Delirium Tremens. C'est soit too much, soit (et souvent) pas assez. Tout manque de dosage, les réalités décrites ne permettent pas l'immersion requise, et les personnages progressent trop laborieusement pour nous donner envie de s'accrocher à leur quête.
[...]
A bien y regarder, on relève à peu près tout ce qui fait un roman bankable aux USA, dont l'on ne retiendra hélas, après l'épilogue, pas grand-chose. Il y traîne cette sorte de superficialité qui tient le lecteur à distance de ses propres émotions, à défaut de l'empêcher de continuer à tourner les pages.

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J'ai trouvé le livre bien, je l'ai même préféré au labyrinthe, livre auquel j'avais eu du mal a me mettre dedans. Celui là au contraire, été facile a lire et très entraînent. Pressé de lire la suite

L'idée est bonne mais les actions sont longuées.
Les personnages ne sont pas attachants et le déroulé semble sans relief bien qu'il se passe des choses.

J'en suis très déçu, c'est dommage.

Dans la vie de Michael, jeune adolescent du futur, le monde virtuel est omniprésent. Il lui suffit de s'allonger dans un cercueil électrique pour plonger dans le VirtNet, une réalité virtuelle où l'on peut vivre toutes sortes d'aventures. Comme nombre de gens, le jeune homme rêve d'atteindre le Lifeblood Deep, un niveau supérieur où tout est encore plus réaliste.
Mais une terrible menace rôde sur le « Sommeil » : un cyber terroriste nommé Kaine est en train d'effacer certains niveaux du jeu, provoquant des dommages cérébraux irréversibles aux personnes qui s'y trouvaient. Mais il y a pire encore : des jeunes gens, traqués par le terroriste, décident d'abîmer leur processeur avant de se suicider, causant leur mort dans la vraie vie.
Après avoir vu une jeune fille se tuer de cette façon, Michael est recruté par la VNS, service chargé de la sécurité du VirtNet, avec ses deux meilleurs amis, Sarah et Bryson. Il semblerait que l'entreprise recherche les meilleurs codeurs pour pirater le jeu et retrouver la trace de Kaine avant qu'il ne soit trop tard. Mais qui est réellement ce terroriste ? Quelles sont ses motivations ? Un groupe de joueurs se cacherait-il derrière son identité ? Ou bien pire ?


Ce roman m'a interpelé car il parle d'un sujet très moderne, très intrigant, le monde virtuel. Pourtant, si la science-fiction permet de laisser libre cours à son imagination, ce livre-ci en manque clairement. En effet, si l'on peut vivre dans une autre réalité, pourquoi se créer un corps semblable à celui que l'on possède vraiment, comme le font tous les personnages de ce roman ? Pourquoi ne pas se créer un corps plus âgé, ou changer de sexe, ou encore se créer une identité à l'effigie d'un héros de la pop culture ? Pourquoi ne pas tout simplement se créer un avatar non-humain, robotique, ou encore se choisir des cheveux roses ou une peau bleue ? Puisque la vie réelle semble sans intérêt, pourquoi ne pas laisser libre cours à son imagination et devenir ce que l'on souhaite réellement dans un monde plein de paillettes ? Pourquoi garder son véritable prénom quand on peut se choisir un pseudo farfelu ? N'est-ce pas ce que font les gens sur Internet ?

Le deuxième point qui m'a troublé, est le fait que le décor du VirtNet est semblable à celui du monde réel. Pourquoi créer une ville pleine de bâtiments gris et impersonnels, typiquement américains, quand on peut créer des structures bizarres, des palais féeriques, des bars semblant sortir tout droit de Star Wars ?

J'ai beaucoup et inconsciemment comparé ce roman à Ready Player One, d'Ernest Cline, dont l'adaptation est sortie en 2018 au cinéma, par Spielberg. Eh bien, James Dashner est loin d'atteindre le niveau de Cline ! Ce dernier nous présente un monde virtuel nommé l'OASIS, où tout est vraiment coloré, fabuleux, mystique, créé pour oublier la monotonie de l'existence ! Les personnages forment leurs avatars à partir de ce qu'ils souhaitent montrer de leur véritable personnalité, prenant des traits aliens, futuristes ou encore robotiques, et il doivent à tout prix cacher leur véritable identité, prenant des noms sortant tout droit de la fantasy. Pour sortir de l'OASIS, il suffit de retirer leurs lunettes de réalité virtuelle, tandis que Michael et ses amis doivent trouver des portails, ce qu'il fait qu'ils pouvaient se retrouver bloquer dans le VirtNet. Qui accepterait cela ?
En résumé, James Dashner a laissé passer une belle occasion de faire parler sa créativité.

Du côté de l'intrigue, si le résumé attire l'oeil, le livre est plus décevant. Il se lit vite, mais certains passages sont ennuyeux à mourir, et les personnages manquent de développement. On déplore que leur histoire n'est pas plus creusée, que les événements traumatisants vécus dans le VirtNet ne les marquent pas vraiment (pourtant certains morts vécues par les personnages ont de quoi causer de véritables troubles psychologiques). Les conséquences de leurs actes et leurs erreurs ne semblent pas les marquer plus que cela.

On se demande pourquoi la VirtNet appelle Michael à l'aide, qui, je le rappelle, n'est qu'un adolescent, alors qu'ils ont les meilleurs informaticiens du pays. On croirait voir un enfant dans la cour des grands, jouant avec des forces qu'il ne comprend pas. le personnage principal semble par moment idiot, irréfléchi (ou insouciant ?) car il se jette dans la recherche de Kaine sans se poser de questions, sans douter de lui ou faire preuve de lâcheté, alors qu'il pourrait causer sa mort ou celles de ses amis.

Néanmoins, il est important de noter que ce livre est bourré de suspens, on souhaite à tout prix poursuivre sa lecture pour comprendre ce qu'il se passe. Et la fin... ou devrais-je dire la chute... elle rattrape drastiquement le niveau du roman ! Alors que l'on s'attendait à une fin sans histoires, les révélations de Kaine s'avèrent fracassantes, époustouflantes, aussi bien pour le lecteur que pour Michael.
Voilà qui prédit une suite intéressante !

En conclusion, si ce roman manque de créativité, si les personnages sont plats et fades, le suspense est à son comble et la fin promet de nombreuses surprises. A suivre pour voir si les prochains tomes relèvent le niveau...


A tenter si l'on veut passer un bon moment sans se trop poser de questions...