Une bonne idée que voilà. Un récit à la « what if », que ce serait-il passé si…, ou si on veut, une vision d'un univers parallèle.
Et donc, que ce serait-il passé si les Kent avaient crevé un pneu et loupé la rencontre avec bébé Kal-El ?
Ben donc, pas de Superman chez les héros, et une Justice League qui en bave un peu plus pour vaincre les méchants.
Bon pas de spoils, mais j'ai l'impression que ces histoires ont une tendance à converger, pas vers un point fixe, mais vers un « attracteur étrange ». Bref, les choses sont différentes, mais assez proches tout de même.
L'identité du vilain de la première partie est étonnante. La deuxième, écrite des années plus tard, nous entraîne dans une gigantesque gigue spatio-temporelle plutôt enivrante.
Un récit maitrisé et bien sympathique de Alan Davis.
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interview d'Alan Davis au Lille comics festival