...du devoir du poète de se déliter afin de filtrer à travers toutes les couches de la société.
Ce n’est pas rare. L’ordre dans la fratrie s’avère souvent déterminant, en matière de dyslexie.
L’homme est le seul animal qui fasse des promesses et mette ses menaces à exécution.
Un intello qui a le sens de l’humour. Ça change.
La politique, ce n’est pas mon truc. Ces gens-là récupèrent la mort des deux petites à leur propre profit. Ils déforment les faits. Ça me rend malade.
Les enfants se comportent mal parce qu’ils veulent qu’on fasse attention à eux.
Les motivations du poète sont les nôtres. La conscience du poète est une conscience collective. Mais c’est le poète – que son âme soit celle d’un saint ou d’un meurtrier – qui perçoit le monde dans l’éclat de la pleine compréhension, là où les autres ne distinguent que le reflet de la lumière.
Le poète – pris dans son acception élargie, le terme se rapporte à celui ou celle qui crée des modes fictionnels au moyen des mots – se trouve être lui-même une création de la société dans laquelle il vit. Il est donc du devoir du poète de se déliter…
Le mal qu’on ne distingue pas s’avère beaucoup plus redoutable que celui qu’on peut toucher du doigt.
Le pire abus de pouvoir dont un enseignant puisse se rendre coupable est de séduire ses étudiantes.