Il vaut mieux être un homme ordinaire vivant qu’un héros mort !
Perdre la guerre n’était pas qu’un désastre militaire !
La gourmandise, quand elle est partagée, a l’influence la plus marquée sur le bonheur qu’on peut trouver dans l’union conjugale.
Les nègres sont souvent idiots, parfois vicieux et toujours paresseux. Beaucoup ne nous aiment pas et certains même nous haïssent…, mais cela n’a rien à voir avec les besoins vitaux d’un type. Idiot ou malin, travailleur ou fainéant, gentil ou détestable, il faut qu’il mange, qu’il boive et qu’il dorme, tout comme il faut qu’il aille « au petit jardin », et que de temps en temps une femme accepte de faire l’amour avec lui…
Les voilà bien, ces vaillants héros de la Ligue blanche. Ils coursent les nègres, mais que de vrais soldats débarquent et aussitôt ils se calment, rendent ce qu’ils ont pris et s’apprêtent à supporter à nouveau l’affreux Kellogg et ses amis.
Les mauvaises langues soutenaient que, s’il aimait peindre les femmes, c’était parce qu’il ne pouvait leur procurer d’autres plaisirs.
Quelles passions contenues, quelles turpitudes inavouables, quelles idylles mystérieuses, quels crimes impunis, ces murs austères, ces lourdes portes de chêne aux heurtoirs de bronze, ces façades de pierre taillées et strictement jointoyées, ces lourds rideaux de velours avaient-ils, au cours des siècles, dissimulés à la curiosité du vulgaire et de l’étranger !
Les grands amants ne font que des filles.
C’est un amour où les choses devraient aller d’elles-mêmes, qui permet au cœur de s’épanouir tout naturellement.
Nous ne prenons pas les ivrognes et les paresseux pour des philosophes, ni les dépravés pour des génies égarés. Nous ne sommes pas plus prudes qu’ailleurs, mais, chez nous, une fille non mariée est vierge… et inversement !