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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dans ce quatrième tome qui m'a semblé un ton en dessous, on navigue entre le présent et l'Allemagne nazie, et on comprend que les menaces dont fait l'objet Jay Sherman sont probablement liées à son comportement pendant la guerre, mais au final on n'en apprend pas beaucoup plus et l'intrigue n'avance pas significativement. Vite le tome suivant !
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Ce quatrième tome de SHERMAN se concentre tout particulièrement sur la montée du nazisme et l'implication forcée de Jay Sherman dans le financement du parti national-socialiste qui a fait main basse sur les usines financées par la banque américaine. L'intrigue perd un peu de rythme au dépend des magouilles politico-financières et de la romance de la fille de Jay avec un chanteur d'opéra d'origine juive. D'autant qu'elle était promise à un mariage arrangé afin de lier le réseau bancaire de Sherman au régime nazi.
De retour dans le présent, après l'assassinat de son fils, Sherman court toujours après celui qui le menace maintenant de révéler ses accords avec le régime nazi dans les années 30 afin de le ruiner. le sort s'acharne sur Jay alors que l'on ignore qui, parmi ses nombreux ennemis, a monté ce stratagème machiavélique.
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Dans ce quatrième tome, nous voyons poindre les prémisses de la seconde guerre mondiale avec la montée en puissance du parti national socialiste et tout ce qui en découle.
C'est le moment que choisit Jay Sherman pour entamer une collaboration avec une entreprise allemande qui pourrait être à l'origine de ses déboires quelques années plus tard.
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Ce quatrième tome est mieux construit et plus intéressant que le précédent mais n'est pas exempt de clichés et de ficelles relativement grosses.
Le suspense est cependant bien mené et le rythme, efficace, s'accélère.
Côté dessin, j'ai l'impression que plus on avance dans les tomes plus Griffo en fait moins. le trait est inégal et les visages, surtout, sont souvent bâclés, pour ne pas dire grotesques.
Malgré les nombreux points qui m'énervent un peu, j'avoue avoir très envie d'ouvrir immédiatement le tome souvent pour enfin connaitre le fin mot de l'histoire.
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Jay Sherman cherche toujours dans ses souvenirs qui pourrait lui en vouloir au point de tuer son fils, de réduire sa fortune à néant et de menacer sa fille.
Ce 4e tome relate la montée en puissance du nazisme qui rend les affaires allemandes de Jay compliquées.
Ces différents aller retours entre le passé et le présent donne une bonne dynamique tout en restant bien clair. le suspense est encore maintenu, bien qu'on en sache de plus en plus sur les Sherman on ne devine pas la machination monté contre l'homme d'affaire.
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"Deux années à peine s'étaient écoulées depuis que mon ami Karl Jurgen m'avait assuré qu'il saurait contrôler la partition. Ma fille était tombée amoureuse d'un chanteur. Mais la musique s'en était allée. Il ne restait plus que les paroles, scandées, éructées, sur le bruit des bottes !".
Le régime nazi est désormais au pouvoir en Allemagne, la traque des Juifs a commencé, les industries doivent se rallier au IIIème Reich, l'affaire de Jay Sherman et Karl Jurgen intéressant fortement le régime pour la production de caoutchouc synthétique et de produits chimiques : "L'Allemagne devient un endroit dangereux. J'espère que tu le comprends.".
C'est dans le cadre du festival de musique de Bayreuth que le chemin de Jeannie croise celui de Ludwig Melchior, un talentueux chanteur d'opéra en Allemagne et chanteur de jazz à New-York : "La religion de Wagner est simple, finalement. Les hommes y cherchent la liberté; les dieux la puissance ! A la fin, tous échouent. Les hommes trouvent la puissance. Les dieux finissent avec la liberté.".
Jeannie a réussi à percer la carapace de cet homme et est, sans doute pour la première fois, tombée amoureuse de lui : "Les femmes détestent les séducteurs, mais elles adorent être séduites.".
Mais voilà, Ludwig Melchior est Juif, et même s'il a payé très cher pour effacer toute trace dans son passé de cette religion, il finit par être rattrapé par le régime nazi.

Je me demande pourquoi j'ai laissé passer autant de mois avant de poursuivre ma lecture de cette série.
Dans ce quatrième tome, l'histoire se déroule majoritairement en Allemagne, à Berlin, et permet de montrer l'avènement du régime nazi en Allemagne et les conséquences sur la vie quotidienne des allemands ainsi que dans l'industrie qui doit désormais produire pour le Reich.
Le scénario de Stephen Desberg est ficelé de façon intelligente, il laisse planer le mystère et ne dévoile aucune clé, c'est prenant à lire même si ce tome ne fait pas à proprement parler avancer l'intrigue.
Il met plutôt en avant un personnage jusqu'alors secondaire : Jeannie, la fille de Jay Sherman, absente depuis le début de l'histoire et uniquement présentée lors de flashbacks.
C'est un personnage intéressant à plus d'un titre, déjà parce que c'est la seule représentation féminine qui n'est pas assimilée à une femme servant de faire-valoir à son mari, elle n'est pas potiche mais au contraire maître de sa vie et de ses choix, elle incarne une forme de liberté que Jay Sherman doit d'un certain côté envier, ensuite elle n'a pas grand chose à voir avec les autres personnages car elle ne se laisse dicter sa vie par personne, et puis étant absente depuis le début de la série elle finit par titiller la curiosité du lecteur.
C'est à mon sens le personnage qui incarne la liberté, et je pense que son rôle va prendre de l'ampleur par la suite.
Les dessins de Griffo sont très beaux, c'est d'ailleurs l'un des aspects qui m'a attirée vers cette série, avec une mise en couleurs par Roberto Burgazzoli et Bautista que je trouve réussie.
L'histoire est assez classique d'aspect mais l'apparence de cette bande dessinée est soignée et attire le regard sur un présentoir.

"Le piège, Bayreuth" est dans la continuité des tomes précédents, avec une intrigue qui ne s'éclaircit pas et des personnages charismatiques.
Je ne recommence pas la même erreur, je termine cette fois-ci la série sans interruption, de toute façon je n'ai qu'une envie : connaître qui est derrière cette machination et cherche à atteindre Jay Sherman dans sa chair.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Jay Sherman met le doigt dans l'engrenage, en aidant son ami allemand à développer ses affaires.....
Et sa fille tombe amoureuse d'un juif, qui va disparaître....Les histoires s'emmêlent et le filet se referme sur le passé de Jay Sherman....
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Tout doucement la solution de l'énigme se dévoile.... mais je crois que je suis encore loin de tout savoir.
J'ai tout de même un peu de mal avec les repères chronologiques, heureusement les événements en Allemagne permettent de savoir en gros à quelle époque certains évènements se passent, mais pour la partie présente du récit, je ne sais pas si ça se passe sur 1 jours, 1 semaine ou 1 mois.
Et pour le début de l'histoire de Sherman c'est tout aussi flou.
Les relations entre les personnages se dessinent tout doucement.
A suivre donc, parce que c'est clairement addictif
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