Blacksad, tome 5 : Amarillo

Peut mieux faire.

Au sortir de l'affaire menée à la Nouvelle-Orléans, John Blacksad souhaite un peu de repos, et va le trouver de manière inattendue, en tant que convoyeur de voiture à ramener jusque Tulsa.

Petit problème, sur la route il se fait piquer la voiture.
Second problème, la voiture est retrouvée par les flics... avec un corps dans le coffre. Et ses affaires, dont son portefeuille...

Un "Blacksad" est toujours un album plaisant, mais on a la fâcheuse impression que celui-ci est un brin bâclé.
J'espère une suite pour faire disparaître ce sentiment. Vu l'ensemble de la série, çà me semble dans les cordes des auteurs.
(plus d'avis sur PP)

Même si le dessin est superbe comme d'habitude, il ne suffit pas à rendre passionnante cette non-enquête de notre ami le chat. Les évènements s'enchaînent souvent un peu trop artificiellement et l'intérêt que j'y ai trouvé était assez faible. Il nous reste la belle ambiance des années 50, Blacksad et sa classe ultime et toujours ses personnages magnifiquement croqués mais on est loin du superbe Artic-Nation qui reste pour moi le meilleur de la série. Légère déception.

Presque trois ans après la sortie du quatrième volet, Juan Diaz Canales et Juanjo Guarnido proposent enfin la suite des aventures de John Blacksad.

Le célèbre détective quitte l'ambiance jazzy de la Nouvelle-Orléans pour emprunter la célèbre Route 66 à bord d'une Cadillac Eldorado aussi jaune que la ville où il se rend. En lançant son personnage à la poursuite d'un écrivain paumé, Juan Diaz Canales propose une intrigue beaucoup plus linéaire, mais tout de même riche en rebondissements. Abandonnant le monde de la musique, il invite à croiser celui des écrivains, des motards et du cirque. Si le scénario repose sur quelques transitions un peu faciles et que notre héros, un peu dépassé par les événements, se fait voler la vedette par le jeune écrivain, Chad, l'ensemble demeure très agréable à lire et très fluide.

Visuellement, le dessin de Juanjo Guarnido et sa mise en couleurs demeurent impressionnants. Si le talentueux dessinateurs recycle deux agents du FBI entrecroisés dans « Ame Rouge », il propose à nouveau une galerie de personnages animaliers dont les traits accentuent brillamment le caractère.

Bref, un album toujours aussi divertissant, mais légèrement moins bon, qui délaisse l'ambiance polar au profit d'une course-poursuite riche en péripéties.
Lien : http://brusselsboy.wordpress..

Dans cette histoire, il y a les immensités du Texas, des motards, un cirque tenu d'une main de fer par un koala, un train panoramique, et tant d'autres choses.Le scénario m'a semblé cette fois-ci un peu moins sombre, et la présence des beatniks un peu trop forte, mais ces légers défauts ont été largement compensés par une visite d'un cirque Sunflower qui, elle, valait le détour. Dans cette ménagerie à visage pas humain, chaque personnage prend vie, sort de sa case et vient nous raconter son histoire. C'est sacrément chouette.
9782359104042"

Tout comme le tome 4, je n'ai pas été transporté malgré un univers que j'aime beaucoup. le fait de transposer les personnages principaux dans des animaux et les faire évoluer dans des lieux et situations pouvant parler à tout le monde est géniale.

Toutefois, mon engouement initial s'est un peu étouffé, dommage.

Une bonne lecture, même si ce n'est pas mon tome préféré parmi ceux de la série.

Dernier tome que j'ai lu de la saga. le tome 6 n‘est pas encore sortis, donc je suis à jour au niveau des tomes.

Ici, John se retrouve dans une situation non voulu. Un homme lui propose de ramener sa voiture (chose qu'il ne peut pas faire, puisqu'il s'en va en avion), lui faisant entièrement confiance, sauf que tout ne va pas se passer comme il l'aurait désiré.

Un vol, un meurtre, une fuite va emmener John dans une histoire. Tout est réuni ici pour faire une bonne enquête.

Sauf que, ce tome est une petite déception pour moi. J'ai quand même aimé lire ce tome 5, mais il n'arrive toujours pas à la hauteur des précédents.

Un bon point tout de même pour chaque tome, les couvertures sont toutes magnifiques, tout comme les dessins qui restent toujours aussi beau et agréable à regarder.

J'attends beaucoup du prochain tome et j'ai peur d'être une nouvelle fois un peu déçus. Pas déçus dans le sens "je n'ai pas aimé", mais déçue par l'histoire.

En attendant, je conseille tout de même cette bonne saga. Vous tomberez très vite sous le charme de notre enquêteur.
Lien : http://lightsbook.wordpress...

déception, si je ne devais retenir qu'une émotion suite à la lecture de ce livre c'est ce sentiment.......
il faut dire que je l'attendais ce 4 ème tome....

fan de la première heure avant la reconnaissance médiatique,
Blacksad étant pour moi , une BD associant un maximum de qualités, graphiques et scénaristes....

ici le scénario de Canales ne pêche pas , c'est Guarnido qui semble avoir perdu la foi, ou alors s'être fourvoyé, ou avoir été pris par le temps...enfin ! ;-(...
les illustrations sont loin d'être aussi bonnes qu'à l'accoutumé, personnages souvent moins bien dessinés , pas/ ou très peu de plans cinématographiques comme il sait le faire et dont je me plaisais de démontrer les qualités à mes élèves en arts appliqués.....

bon un conseil relisez les premiers tomes...... je m'y colle également ... en attendant de meilleurs jours pour ces créateurs, ça arrive aux meilleurs !

Amarillo vient conclure la série Blacksad sur une note mitigée. L'intrigue et les personnages sont moins intéressants et moins travaillés que dans les tomes précédents. Cela n'empêche pas la série d'être très réussie et d'être une bonne expérience de lecture.

Pas surpris DUTOUT je m'attendai à un peu mieux...de la part du dessinateur...bien sur c'est du dessin de haut niveau mais conparé au précédant tomes je suis un petit peu déçu...