L'énigme de la chambre 622

Un peu déçu par ce roman, pas désagréable au demeurant, mais trop dilué. C'est long long long cette histoire qui n'en finie pas de continuer.
Je vous avoue que j'ai failli (par deux fois ! ) laisser tomber ce roman, car lassé de cette narration ! Et puis la construction du roman ( un écrivain narrateur/ un personnage binôme / un meurtre) ressemble beaucoup, de mon point de vue, à l'Affaire Quebert (*****).
Je me suis déjà posé la question suivante: est-ce qu'un éditeur exige un nombre défini de page ?
Malgré cette déception, j'espère que Joël Dicker nous réenchantera prochainement en se renouvelant.

Et voila, je rempli cette case pour dire à Joel Dicker, qu'il me désole de faire tous ces retours en arrière qui sont fatiguant pour mon petit cerveau.
C'est vrai quoi, j'aime bien la chronologie des événements, je suis cartésien.
Mais alors là ! c'est à tout bout de champ, ch26, ch29, ch32, ch35, ch39, ch45, ch59, ça n'arrête pas, on revient 15 ans en arrière...
Donc, je suspends ma lecture, et je reviendrai plus tard

Cette semaine, je vais vous présenter mes impressions sur le roman policier de Joël Dicker, "L'Énigme de la chambre 622". L'auteur est né en Suisse et vit à Genève, bien que ses livres soient édités en France.

Il cumule les best-sellers... pour vous donner une idée : 5 romans, traduits en 40 langues, 10 millions d'exemplaires vendus. En général, lorsque je vois ce genre de phénomène, je passe mon chemin, par principe, car j'ai toujours peur d'être déçue. Petite remarque supplémentaire pour comprendre aussi cette réaction : je lis très peu de romans policiers. Je préfère les polars en films.. ou bien en téléfilm avec une intrigue bien ficelée ou encore une très bonne série.

En commençant le livre j'ai été plutôt agréablement surprise : bien écrit, lecture fluide, intrigue intéressante. L'auteur et l'écrivain sont la même personne et une partie du livre est un roman donc une fiction remontant à plus de 10 ans, l'autre étant un récit ancré dans le réel actuelle de l'écrivain. La fiction repose sur l'histoire du fils d'un banquier qui vient de décéder et à qui la présidence de la banque familiale doit revenir. On plonge en plein dans le domaine de la finance, des pièges mais aussi des jalousies et de l'adultère qui vont s'accumuler et former des rebondissements.

L'écrivain, Joël, se rend en vacances à Verbier dans un grand Hôtel où il rencontre, par hasard, une jeune femme, Scarlett, qui est dans la chambre voisine. Ils constatent alors que la chambre 622 n'existe plus et ils vont décider de mener l'enquête ensemble. Ils ne tarderont pas à découvrir qu'un crime a eu lieu dans cette pièce ! Tous les ingrédients semblent réunis pour un bon roman policier.

Arrivée à la moitié du livre (de 600 pages), j'ai commencé à fatiguer avec les allers-retours entre présent et passé et parfois même, dans certains chapitres, des retours vers différentes dates ! J'ai tout de même continuer ma lecture jusqu'au bout pour découvrir la victime et l'assassin... mais j'avais perdu une part de mon enthousiasme du début. J'ai trouvé dans ce livre beaucoup de longueurs qui cassent le rythme de l'intrigue et le lecteur se perd dans les différentes périodes ! Dommage. Les personnes qui aiment les intrigues policières y trouver à coup sûr leur compte. Pour ma part, j'ai vraiment beaucoup de mal avec les romans policiers...
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Pour moi c'est une rendez-vous manqué !
Je n'ai pas trouvé l'intrigue très pertinente. La plupart des personnages manquent de profondeur et cela m'a gênée dans le déroulement de l'histoire. Certaines situations sont à peine survolées et laissent une impression d'inachevé par moment.
Des longueurs et un crime trop long à élucider ont alourdi ma lecture. Je suis frustrée par cette lecture car j'avais beaucoup apprécié La vérité sur l'affaire Harry Quebert et La Disparition de Stéphanie Mailer.

Je viens de terminer ce gros polar sans avoir eu le sentiment d'avoir pris le plaisir attendu à sa lecture
Dès le début du roman, une personne est assassinée dans la chambre 622 d'un palace suisse.

ais de qui s'agit-il ? Qui est l'assassin ? L'enquête s'avère complexe.
Un romancier accompagné d'une cliente du palace où a eu lieu le crime vont mener leur enquête.
L'intrigue est écrite avec de très nombreux flashbacks, des flashbacks entre plusieurs époques, plusieurs histoires. Les séquences sont courtes, trop courtes, trop rapides : le lecteur part à Genève en 2018 avec le romancier et après quelques lignes revient au moment du meurtre puis quelques lignes plus tard repart encore 15 années plus tôt et revient au moment du meurtre. Cette écriture voulait certainement donner du rythme au roman, à l'intrigue mais pour moi, au final, le résultat ne m'a pas emballée. Cela donne un rendu un peu confus ou trop léger. Les quelques passages« romances » m'ont paru inutile.

Au final, même si l'intrigue était intéressante et l'idée d'intégrer le romancier dans son roman astucieuse, tous ces sauts d'une période à l'autre ne m'ont pas procuré un immense plaisir. le roman ne restera pas un roman marquant.

J'ai eu l'idée de lire les critiques avant de me plonger dans le livre, et je n'étais donc pas très rassurée, ayant pourtant jusqu'ici aimé les romans de l'auteur. Je n'ai pas détesté celui-ci, ce n'est pas un coup de foudre non plus. Il est vrai que les dialogues sont assez simplet et le dénouement de l'histoire paraît sans fin, je ne m'attendais pas vraiment à cette issue d'ailleurs qui est quelque peu tirée par les cheveux. C'est donc un roman différent de ceux que j'ai pu lire de Joël Dicker, notamment sa trilogie de Québert à Alaska Sanders. Mais je l'ai quand même terminé et ce n'était pas une corvée.

Alors qu'il se remet d'une déception amoureuse et du décès de son éditeur, Joël, l'écrivain (Joël Dicker himself) part au palace de Verbier dans la montagne suisse. Il y rencontre Scarlett qui, pour le distraire, l'entraîne dans une enquête sur un meurtre survenu dans ce même palace 15 ans plus tôt, meurtre à ce jour irrésolu.
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⭐️Fidèle lectrice de @joeldicker j'attendais impatiemment la sortie de ce livre, mais hélas il n'a pas complètement répondu à mes attentes. L'intrigue est bien menée et s'avère surprenante, mais je n'ai pas retrouvé le souffle des précédents. Qu'on est loin du suspense de Harry Quebert ou des personnages inoubliables des Baltimore! Sûrement que la Suisse et ses banquiers sont proches de l'univers de l'auteur mais ils font hélas moins rêver que les paysages de la côte Est auxquels il nous avait habitués. Enfin, j'ai été lassée par ses louanges interminables sur son éditeur et pour moi ils auraient eu toute leur place plutôt dans une préface.
Un moment de lecture plaisant, mais sans plus. C'est dommage...
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A la mort de son ami et éditeur, un jeune écrivain se plonge dans l'écriture, au point de négliger son entourage. Pour se reposer, il part en vacances dans un palace suisse, un hôtel où il n'y a pas de chambre 622. Pourquoi ? L'explication renvoie à un crime commis il y a des années de ça. L'auteur va être encouragé à découvrir la clé de cette terrible histoire.
On retrouve la construction habituelle de Joël Dicker, avec une alternance de narration entre passé et présent, mais en dehors de ça, je trouve ce roman différent des autres.
La partie présente m'a plu, les personnages sont attachants, c'est un très bel hommage à Bernard de Fallois et j'ai aimé en découvrir davantage sur le monde de l'édition.
Malheureusement, la partie "passé" m'a moins plu, trop alambiquée. Les personnages ne m'ont pas émue et j'ai trouvé toutes ces manigances et manipulations trop nombreuses, peu crédibles... Et plus ma lecture avançait, plus ce manque de crédibilité s'est intensifié, j'ai ressenti des longueurs dans le texte. Même si certaines scènes qui paraissaient accessoires se sont ensuite révélées importantes, c'est trop tirés par les cheveux pour moi.
Bref, j'ai beaucoup aimé le début de ce roman, mais la suite m'a déçue.

Fervente adepte de «la vérité sur l'affaire Harry Quebert », c'est le 3ème roman de Joël Dicker que je lis. Déçue par le deuxième, j'ai réitéré avec « L'énigme de la chambre 622 suite aux critiques journalistiques dithyrambiques. Et décidément, je ne m'y retrouve pas.
Déçue donc par ce roman dans lequel je me suis perdue au rythme des flash-back incessants, « 16 ans plus tôt », « 3 jours avant le meurtre », 20 ans plus tôt » etc. etc. Beaucoup trop à mon goût et cela a fini par me lasser. Honnêtement seul le désir d'en débattre avec un ami m'a permis de terminer ce roman, et peut-être un peu aussi, de connaître le dénouement. Mais j'avoue que j'aurais bien sauté quelques pages !!! J'ai cru tout d'abord que je m'y noyais un peu parce que je n'avais pas un timing de lecture régulier, mais au vu des autres critiques, je me dis que peut-être pas !!! L'intrigue est intéressante à la base et aurait pu m'emporter si les rebondissements abracadabrants avaient été moins nombreux. L'excès tue l'agréable.

Un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses l'enquête n'aboutit pas.
quelques années plus tard un écrivain installe dans l'hôtel et voit que la chambre 622 n'existe pas remplacé par la 621 bis intrigant non ? il démarre son enquête.
Un livre prenant qui est assez addictif pendant un bon moment puis il lasse trop de l'histoire personnel de l'écrivain avec son éditeur décédé des allez retour passé présent peut utile (il y a un nombre de page à atteindre ?).
et le final personne n'y crois trop arnaquer des banquier avec des double personnages déguisés
j'ai été content qu'il donne le coupable car c'est vraiment long