Le Grand Mort, tome 1 : Larmes d'abeille

On suit avec plaisir l'histoire de cette jeune étudiante Pauline qui voulait réviser paisiblement ses cours de science-politique au fin fond de la Bretagne. Elle va faire au détour d'une panne de véhicule une rencontre qui sera le point d'une grande aventure dans un pays imaginaire. Nous avons encore droit au duo de personnages que tout oppose : la citadine coincée contre l'autochtone cool et rêveur... Point d'originalité dans la caricature mais c'est amusant.

Ce premier tome s'étale déjà sur 59 pages. Il prend la peine de mettre en valeur les deux principaux personnages avec des dialogues forcément savoureux. Cependant, il ne se passe pas grand chose finalement et on ignore encore tout de cette quête. Ce manque d'information nuit un peu à la compréhension générale et surtout au suspense. Bien sûr, ce n'est qu'un tome d'introduction. Et puis, j'ai pas beaucoup aimé le procédé qui permet le passage d'un monde à l'autre : c'est presque trop facile.

Rien à redire sur le dessin avec son trait fin et élégant : les planches sont magnifiques. J'ai beaucoup aimé cette variation de palette de couleurs chatoyantes qui arrive à refléter les différentes ambiances et surtout différencier les deux mondes. Une belle réussite visuelle !

Il faudra voir si la suite tient toutes ses promesses. Il faudrait sans doute plus d'originalité...

Mauvais plan : alors que Pauline pensait faire ses révisions au calme dans la campagne bretonne, la voiture prêtée par son amie Gaëlle ne démarre pas. Heureusement Erwan se propose de la dépanner et de l'accueillir. Méfiante au départ, Pauline accepte et se trouvera embarquée avec Erwan, grâce à des gouttes de larmes d'abeille versées dans l'oeil, dans un monde parallèle peuplé d'êtres plutôt accueillants. Ayant perdu Erwan, l'un d'eux propose à Pauline d'aller retrouver le jeune homme qui doit participer à un rituel initiatique encadré par les prêtresses de 4 clans.
Erwan est un personnage sympathique, Pauline est un peu exaspérante, C'est la signature de Loisel qui avait attiré mon attention (J'avais adoré "Magasin Général") mais là, l'histoire ne m'a pas plus séduite que ça. Je vais donner une chance au 2ème tome.

Ca n'est pas mon thème préféré. Pourtant, cette BD est bien faite, avec un dessin agréable et un scénario bien construit.
Ce sont surtout les personnages attachants qui apportent une touche supplémentaire à cette série.
A commencer par la parisienne embêtante, qui va venir perturber le voyage dans un autre monde, du breton métissé ! Alors qu'il a une mission importante à assumer, il doit se la coltiner durant son périple. Ça apporte une touche de fraicheur et de sentiments.

Un premier tome qui ne m'a pas convaincue.

D'instinct je ne me serais pas dirigé vers cette BD. Mais on me l'a conseillé en me parlant d'apocalypse et de montres flippants alors...

Le soucis, c'est que ce premier tome ne m'a pas convaincue, avec son rythme lent, avec son personnage féminin irritant, avec cette manière décousue de commencer cette quête qui n'a ni queue ni tête... Clairement ça ne prends pas...

Alors même que je reconnais que les graphismes sont sympas et les couleurs utilisés avec goûts.

En bref, un tome qui me laisse mitigée, mais je poursuivrais la saga... jusqu'à tomber sur cette fichue apocalypse !

Bonne lecture à tous.

Issue de mes déambulations dans les allées d'un salon littéraire et d'une rencontre avec le dessinateur Vincent Mallié, je me suis lancé dans l'aventure.
Ma relation avec Loisel est assez compliquée mais on va dire que la "quête de l'oiseau du temps" en est la quintessence.

Je n'avais pas entendu parlé de cette nouvelle série alors cette rencontre en a été l'occasion.
Pour tout vous dire, la lecture de ce premier tome ne m'a pas transcendé. Je suis resté assez froid devant les personnages assez convenus et presque caricaturaux. Une grosse impression de "déjà-vu". Même les aspects fantastiques ne m'ont pas convaincu.
Concernant le dessin, puisque c'est lui qui m'a amené à la série, rien à signaler. le travail est fait et illustre bien le propos.

Alors, évidemment il ne s'agit que du tome 1 et il est tout à fait possible que la suite soit passionnante mais justement, il aurait été important de dépeindre plus en détail cet univers parallèle pour donner envie au lecteur...
Tant pis.

Ce premier tome plante le décor : Pauline, étudiante, rencontre Erwan lors de sa venue en Bretagne. Il l'entraîne dans un monde parallèle. On plonge trop vite à mon goût dans ce monde et les personnages manquent de profondeur. Il me manque un brin de suspens. Heureusement le caractère bien trempé de Pauline amène un peu de piquant. A suivre.

« Le Grand mort » tome 1 est un projet de Loisel et Mallié. Une jeune femme venue passer quelques jours au calme à la campagne pour réviser ses examens se retrouve, par le hasard d'une rencontre, emportée dans un univers fantastique aux personnages étranges dont elle ne comprend pas les codes. Elle suit un « transporteur » de savoir sans vraiment connaître les enjeux de ce voyage qui va s'avérer essentiel.

Pauline est une jeune étudiante parisienne un tantinet stressée par ses partiels. Il lui reste deux semaines pour réviser, elle a besoin de calme et pour cela, une de ses amies lui prête sa maison de campagne en Bretagne. Pauline prend donc le train et arrive au milieu de la nuit à Val de Troudec. Comme convenu, son amie lui a laissé sa Deuch sur le parking de la gare ainsi que les clés de la maison et une carte de la région dans le coffre de la voiture. Seul problème : la voiture refuse de démarrer. Erwan lui vient en aide.

Ils vont finalement faire un petit bout de route ensemble. Petit seulement ?? Cette rencontre marque un virage important dans la vie de Pauline, elle va vivre une aventure incroyable qui la marquera à tout jamais… et tout commence par quelques gouttes de larmes d'abeille…
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