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Marwan, prof agrégé d'histoire-géo, vient de quitter Capucine, sa copine, lorsqu'il apprend le décès subite de son père. Tout d'abord la culpabilité le ronge car sa mère l'avait appeler la veille au soir pour lui dire que son père n'allait pas bien puisqu'il n'avait pas manger sa merveilleuse tajine aux olives...
Puis c'est l'étonnement. Tarek, garagiste à Clichy, veut être enterré au Maroc, certes son pays d'origine, mais il a quitté Casablanca il y a plus de trente ans... Les trois frères Mansouri, Marwan, Ali et Foued ne comprennent pas ce retour posthume alors que leur père, bien que lui même ait gardé sa nationalité, a tout mis en oeuvre pour que eux s'intègrent, fassent des études, soient français.
Pourtant les rituels d'inhumation musulmane devront être respectés... La compagnie d'assurance s'occupe de tout... Marwan a été désigné pour accompagner le cercueil par avion, alors que le reste de la famille fera le voyage dans le 4x4 d'Ali...
Ce voyage va être pour lui une révélation sur sa famille, ses origines. Et petit à petit des voiles vont se lever pour laisser apparaitre la véritable histoire. Grâce aux rencontres et conversations avec sa grand mère notamment, Marwan va entrevoir la complexité de cet homme qu'il croyait connaitre, s'interroger, pardonner et ainsi commencer son travail de deuil.

Ce roman aborde le sujet brulant de l'immigration, évoque le problème du déracinement et du respect des traditions mais surtout la complexité de vivre à l'étranger. En effet, pour la terre d'accueil on reste étranger et dans son pays d'origine, on y revient touriste, enviés par ceux qui n'ont pas passé le pas et vous croient libres et riches.

Un premier roman surprenant, très bien écrit, riche en découverte, plein d'émotions, de respect, d'enseignement sur le sacrifice, la responsabilité qu'un choix peut engager.
Le style est fluide, teinté d'humour, le récit est justement dosé ainsi le lecteur ressent une douceur de vivre et de la tendresse pour ses personnages bien campés. Cela sonne juste et sans pathos malgré la trame plutôt sordide.
Un beau premier roman intimiste et prometteur. A lire



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A la faveur d'un week-end pluvieux, je me suis plongée dans ce joli livre d'Olivier DORCHAMPS, sans rien en attendre et sans avoir entendu ni lu tout le bien que certains en pensait.
C'est donc vierge de toute empreinte médiatique ou autre que j'ai commencé ma lecture…sans pouvoir l'arrêter.
Parce qu'Olivier DORCHAMPS a écrit un magnifique livre sur le deuil, le déracinement, les secrets de famille et l'immigration, il faut absolument que je vous en parle….
Fin d'été en région parisienne, Marwan ,29 ans prof d'histoire-géo en banlieue, revient de vacances au Portugal et apprend que sa petite amie depuis 4 ans a décidé de le larguer. Alors quand sa mère , un soir, lui téléphone pour l'informer que son père se sent mal,que lui qui ne se plaint jamais, a une douleur au thorax ,Marwan n'est pas très réceptif et raccroche en rassurant sa mère d'un « ça ira mieux demain après une bonne nuit de sommeil , papa travaille trop ». Car oui, Tarek, son père est garagiste et a toujours travaillé comme un forcené pour offrir le meilleur à ses 3 fils, à sa femme, pour envoyer de l'argent à sa famille restée au pays, au MAROC.
Sauf qu'après une bonne nuit de sommeil, Tarek ne se réveille pas, foudroyé par un arrêt cardiaque. Effondré, Marwan culpabilise, ses frères aussi, notamment Ali,son jumeau, à qui sa mère a aussi téléphoné la veille au soir. La mère, Khadija, est dévastée, elle est perdue sans son pilier, que va-t-elle devenir ? Mais heureusement, Tarek avait déjà tout prévu pour ses funérailles, il voulait se faire inhumer au pays, terre de ces ancêtres et a souscrit une assurance obsèques.
Les garçons ne comprennent pas, s'énervent, ils sont français, le MAROC c'est loin, ils n'y vont jamais, leur vie est en FRANCE et leurs parents les ont toujours incités à s'intégrer, à devenir de bons petits français, à réussir....et ils ont réussi ! Pourquoi vouloir se faire enterrer au MAROC ?
Malgré l'agacement et l'incompréhension, Marwan accompagnera le cercueil de son père en avion selon ses dernières volontés et les autres membres de la famille traverseront le SUD de l'EUROPE en voiture pour rejoindre CASABLANCA.
Marwan, qui subit ce voyage, va vite comprendre que ce retour aux sources est aussi pour lui une manière de redécouvrir ce père tutélaire et aimant, cet homme dont il ne sait finalement rien ou seulement ce qu'il a bien voulu dire à ses fils. Ce jeune homme va apprendre à mieux se connaître à travers la tragédie qui le frappe et comprendre l'attachement de ses parents pour leur terre natale.

Olivier DORCHAMPS distille subtilement le récit de la vie de Tarek, ce père adoré, figure charismatique qui a su transmettre à ses fils les valeurs qui lui étaient chers : le travail, le respect, la tradition et l'amour. Tarek a tout fait pour que ses fils deviennent de bons français au risque de renier leurs origines. Evidemment, la nouvelle des obsèques marocaines déstabilise la fratrie et obligent Foued , Ali et Marwan à se questionner sur leur attachement au MAROC et a tenté de comprendre la volonté de leur père.
A travers l'histoire de ses trois frères, Olivier DORCHAMPS interroge et tente de comprendre cet écartèlement entre deux cultures, deux continents, il met en évidence les problèmes d'intégration tout en ne cédant pas à la facilité. Rien n'est écrit, rien n'est tout noir ni tout blanc. Marwan va apprendre qui était vraiment son père, va s'approprier son histoire familiale à travers les paroles de sa grand-mère pour mieux appréhender son futur et tenter de trouver sa place entre la FRANCE qui l'a vu naître et le MAROC qui est la patrie de ses aïeuls.
CEUX QUE JE SUIS est un très beau premier roman qui m'a touchée par son intensité et sa vérité. . Sa trame dramatique gagne en profondeur au fil des pages tout en restant juste et délicate. le style fluide et authentique de l'auteur m'a beaucoup plu.
A travers ce beau récit, Olivier DORCHAMPS rend hommage avec sensibilité à la famille, à ses valeurs, il construit des ponts entre la FRANCE et le MAROC pour nous parler avec finesse et pertinence d'exil, de recherche d'identité, d'intégration et de transmission au-delà des frontières.
Une vraie belle découverte que je vous conseille vivement !
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Rien qu'avec la couverture, nous sommes déjà dans l'ambiance. Un peu là-bas tout en étant ici. C'est comme ça que Marwan et ses frères ont été élevés ; entre deux cultures. Leurs parents sont marocains, mais eux sont nés en France. Alors bien sûr, il y a les cousins, la grand-mère, il y a eu les vacances chez eux, mais rien qui puisse donner corps à la jeunesse de leurs parents. Quand leur père meurt et qu'ils apprennent son désir d'être enterré au Maroc, c'est l'incompréhension.

— On vit ici, on meurt chez nous, murmure Maman.
Dans l'esprit de Marwan, des questions se posent. Quelle a été la vie de ses parents et ses grands-parents avant lui ? C'est comment, d'être marocain ? Il se lance sur les traces de son père, fait parler les aïeuls et à mesure qu'il découvre les secrets de sa famille, il se construit une identité nouvelle. Double.

Vous l'aurez compris, c'est un roman des origines. Et s'il déterre bien quelque secrets de famille, moi qui n'aime pourtant pas ce genre (oui, je considère ce topos comme un genre), je n'ai pas ressenti le malaise pesant du secret. Non, c'était simple, limpide. C'est un roman émouvant qui donne à voir un pays, une culture, ses moeurs et traditions. Ce qu'il y a de plus impressionnant, c'est que l'auteur n'est pas marocain. Non, pas du tout. Et pourtant, on s'y croirait ! Cependant, la double culture, il connaît. Il est franco-britannique. Et s'il nous transporte plus au Sud, loin de la brume anglaise, il nous entraine dans un récit profondément humain. le deuil est bien universel, de même que le désir de savoir d'où l'on vient.
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« Ca l'attristait que mes frères et moi soyons dénués de toute fibre patriotique, envers le Maroc comme envers la France d'ailleurs ; paradoxe d'une intégration réussie sans doute. »
Marwan, professeur d'histoire en région parisienne, français d'origine marocaine, est le narrateur et le personnage principal de ce premier roman. « Français d'origine marocaine », expression devenue courante, banale et dont on n'entend plus cette pernicieuse nécessité de le signifier, de le préciser, dont on ne relève plus la complexité de l'identité à forger quand on s'échine à vous rappeler les deux nationalités, semble-t-il conditionnées l'une à l'autre. Alors qu'elles pourraient s'ajouter et doubler leur richesse, ces deux sont annexées l'une par l'autre et s'entravent, s'amoindrissent jusqu'à s'annuler : ni tout à fait français en France, ni tout à fait Marocain au Maroc. « Et pourtant, où que je sois, en France ou au Maroc, je n'ai pas le choix de ma propre identité. Je ne suis jamais ce que je suis, je suis ce que les autres décident que je sois. »
Le décès subit du père va accentuer les questions que se posent Marwan, et ses frères, autour de leurs origines surtout quand ils découvrent les dernières volontés du patriarche d'être enterré à Casablanca. Dans ce retour aux sources, aux sources de l'histoire jamais dévoilée, Marwan, attaché à la réalité, interroge, recueille les témoignages, accueille les émotions et libère la parole. Et dans cette quête, on l'accompagne dans la reconstitution du puzzle laquelle l'aidera à mieux pointer ses hontes, ses manques, à poser du sens et dessiner des contours moins flous de ce et ceux qui le composent.
Ce premier roman bénéficie d'une écriture claire et douce. Ce qualificatif détonne pour dire un style mais c'est pourtant celui qui me taraude depuis le début. C'est bien dans une lecture douce que nous embarque l'auteur car si cette histoire soulève, sans les traiter plus avant, la problématique toute paradoxale de l'intégration des enfants d'immigrés, les coutumes anciennes et toujours actuelles d'un Maroc souvent méconnu, cette histoire nous parle surtout d'amour. L'amour de couples et l'amitié, l'amour filial, fraternel, l'amour pour une terre, un pays, celui de l'enfance.
Les scènes à l'annonce de la mort et des heures qui la suivent, où les fils accourent et se retrouvent auprès de leur mère et du corps sans vie de leur père, sont sincèrement poignantes. L'émotion est belle dans cet ouvrage car elle n'est entachée d'aucun plan de séduction : elle jaillit simplement dans la description des regards, des coutumes, de la langue, du décor. J'ai éprouvé cette douce sensation tout au long de ce premier : être auprès d'un feu ou confortablement lovée dans un salon de coussins, reconnaissante de la générosité d'un homme qui nous conte un parcours, des vies, un secret, nous fait voyager au-delà de la méditerranée, et nous confie avec naturel et franchise ces autres qu'il est…aussi.
« Maintenant que mon père est mort, lui qui voulait tellement nous parler de son pays, j'ai un regret immense de ne jamais l'avoir laissé, parce qu'au fond, en voulant nous faire aimer le Maroc, il voulait surtout que nous l'aimions lui, et que nous sachions qu'il nous aimait. »
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Ce livre retrace l'épreuve de Marwan qui vient de perdre son père et qui a été choisi pour ramener celui-ci au Maroc afin qu'il soit enterré. Outre la surprise (ses parents, pourtant encore jeunes, avaient tout prévu, notamment avec l'assurance, sans jamais en parler), l'incompréhension (son père n'a jamais été un fervent musulman, n'a jamais montré son attachement profond pour sa terre natale...), la colère (comment pourrait-il se recueillir sur la pierre de son père si celle-ci se trouve si loin?), s'ajoutent pléthore d'autres sentiments, très justement décrits. Si justement d'ailleurs que j'ai refermé le livre pour relire le nom de l'auteur: j'avais tellement l'impression que c'était le récit d'un vécu!!!

Mon mari, d'origine tunisienne, est parti en mars dernier pour enterrer son père: voyage avec le cercueil, mise en terre selon la coutume, quarantième jour... Tout y est. Mais surtout, ce que j'ai aimé, c'est assimiler une des phrases de mon mari qui me disait ne pas se sentir à sa place, ne pas se sentir légitime... Je ne comprenais pas, alors qu'il est le fils, qui pouvait être plus légitime que lui!!! Ce qu'il avait certainement du mal à me faire percevoir, c'est la difficulté de devoir assurer des rites qui ne font pas partie de lui ayant grandi en France, c'est la complexité de devoir parler la langue avec ce fameux accent qui est méprisé par les autochtones...

J'ai aimé également ce que ce roman peut apprendre: il n'y a pas un Maroc mais des Maroc. Chacun en retient ce qu'il veut, ce qu'il aime. Et cela rejoint le titre, "Ceux que je suis": nous ne sommes pas un, nous sommes la somme de nos ancêtres, de nos rencontres, de nos erreurs en même temps que celles d'autres personnes ayant croisé notre chemin ou celui de nos parents.
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Plonger dans cette fresque familiale, alternant entre Maroc et France, entre rire et nostalgie, entre famille et solitude, c'est du bonheur en vrac. Nous suivons l'histoire d'une famille marocaine venue en France à Clichy, ouvrir un garage et offrir une éducation française à leurs enfants.
Marwan, est le personnage principal, l'enfant de ce couple marocain, celui qui a le plus de responsabilités, au grand dam de son jumeau Ali. le père de cette famille vient à mourir subitement, et Marwan est obligé de retourner au Maroc pour l'enterrement afin de suivre la volonté de son père d'y être enterré. Il se heurte à plusieurs incompréhensions : pourquoi ce retour si soudain ? qui était réellement son père et toute sa famille ? pourquoi tant d'hostilité entre son jumeau et lui ?
Grâce à Kabic, un vieil homme qu'il considère comme son grand-père, il va tout comprendre lors de son périple marocain et pouvoir, enfin, faire la paix avec cette colère qu'il porte en lui.
Un beau roman de résilience, très joliment écrit !
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Marwan est français, un point c'est tout. Alors, comme ses deux frères, il ne comprend pas pourquoi leur père, garagiste à Clichy, a souhaité être enterré à Casablanca. Comme si le chagrin ne suffisait pas. Pourquoi leur imposer ça ?
C'est Marwan qui ira. C'est lui qui accompagnera le cercueil dans l'avion, tandis que le reste de la famille ­arrivera par la route. Et c'est à lui que sa grand-mère, dernier lien avec ce pays qu'il connaît mal, racontera toute l'histoire. L'incroyable histoire.(source : finitude.fr)
Magnifique histoire et hommage aux racines du père et aux racines du coeur. Quand l'arbre prend racine dans un pays et que ses branches atteignent une autre terre, quelle partie de l'arbre choisir pour se mettre à l'ombre et se protéger du soleil ?
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Marwan est français. Professeur agrégé d'histoire géo, il est né en France et a grandi à Clichy avec ses deux frères dans une famille modeste, mais soucieuse de leur réussite. Ses parents, marocains, se sont parfaitement intégrés au prix de nombreux sacrifices: lui, mécanicien propriétaire de son garage, elle, travaillant au supermarché du quartier, tenant farouchement à ce que seul le français soit parlé à la maison, attachés à leurs traditions, à leurs racines mais refusant tout communautarisme. Aussi, quand au décès brutal de leur père les frères apprennent qu'il veut se faire enterrer au Maroc, à l'ombre des orangers, c'est l'incompréhension et presque de la colère pour ce qu'ils vivent comme une trahison. Alors que ses frères et sa mère feront la route en voiture, c'est Marwan qui est désigné pour accompagner le cercueil de son père. Ce voyage sera l'occasion d'un retour à ses origines, d'une réflexion sur son identité et la mise en lumière de secrets de famille.
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⭐️⭐️⭐️ Ce roman est extrêmement délicat et profondément touchant. D'une plume lumineuse et avec beaucoup de simplicité, il aborde la question du deuil, de l'amitié, du sentiment d'exil, de la nostalgie de la terre natale. Mais c'est aussi une magnifique réflexion sur l'identité:« je ne me sens pas marocain. Et pourtant, où que je sois, en France ou au Maroc, je n'ai pas le choix de ma propre identité. Je ne suis jamais ce que je suis, je suis ce que les autres décident que je sois ».
Ce roman est également un bel hommage à la famille et aux valeurs qu'elle nous transmet, famille que l'on ne connaît pas toujours vraiment, avec ses secrets, parfois lourds à porter.
Un beau regard, enfin, sur le Maroc, chaleureux, coloré, mais rude aussi, bien loin des clichés.
Un livre d'une grande délicatesse, teinté de tendresse et de nostalgie.
Une lecture émouvante
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J'ai beaucoup apprécié ce livre. Il touche à des sujets sensibles : le deuil, la filiation, le destin, la famille, l'identité.
A travers un voyage qu'on pourrait appeler initiatique, un fils va faire connaissance avec la vie et le passé de son père décédé soudainement et trop tôt à Paris.
C'est lui, le fils aîné de la fratrie qui a été choisi par son père pour l'accompagner dans son voyage ultime, au Maroc. D'abord, révolté à l'idée que son père ait souhaité être inhumé au Maroc et non en France où vivront tous ses descendants, ce fils va dénouer, à force de conversations et d'échanges avec les personnes ayant connu son père, les fils d'une vie qu'il n'avait pas vraiment comprise.
Après la douleur, les interrogations, un chemin vers l'acceptation et la compréhension se dessine.
J'ai trouvé l'écriture particulièrement subtile, lumineuse et vivante. Elle éveille les cinq sens. A travers le ressenti du narrateur, le lecteur voyage lui aussi dans un Maroc redécouvert, ses senteurs, ses saveurs, son atmosphère.
Elle éveille aussi l'intériorité et le passé d'une famille ordinaire, où des non-dits et des événements hors du commun sont restés secrets.
Au fil des pages, le narrateur en vient à mieux connaitre ses origines, sa propre identité, à mieux comprendre d'où il vient, ce qu'il est et ce qu'il a envie de devenir.
Ce livre sur la perte d'un être cher est un concentré de vie, d'amour et de lumière.
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Récit bien écrit et bien construit qui se lit avec plaisir. Les personnages sont presque réels et familiers, on partage leurs sentiments et réactions. L'auteur est si proche de ses personnages que J'ai été étonné qu'il soit franco-britannique et non franco-marocain !
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