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4,55

sur 2095 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Quelle lecture ! 1600 pages à observer la vengeance mise au point par Edmond Dantès.
À part son nombre de pages, rien ne devrait vous rebuter à lire ce classique. Il se lit vraiment très bien ! Il a le côté addictif des best-sellers contemporains avec les belles tournures de phrases d'un classique : j'ai été complètement charmée et je le recommande.

Un rapide résumé : Edmond est un jeune homme à qui la vie sourit, sur le point de se marier et de devenir capitaine de navire. Mais un marin jaloux et un amoureux éconduit, par une dénonciation calomnieuse, l'envoient chez le procureur du Roi. Pas de chance, Edmond est mêlé malgré lui à un complot auquel participe activement le père de ce procureur ! Ni une, ni deux, pour protéger sa carrière, il envoie le pauvre Edmond en prison, en tant que dangereux espion. Il y restera 14 ans. À la fin du 1er volume, il s'évade et met la main sur un fabuleux trésor. Il a tout entre les mains pour ourdir une magnifique vengeance sur les trois hommes qui ont détruit sa vie...

Des émotions. de l'humour. Des déguisements. Des rebondissements. Des trahisons. Monte-Cristo manigance et orchestre d'une main de maître, sans que rien ne soit expliqué clairement au lecteur, qui doit réfléchir et se laisse surprendre par les coups qui frappent les traîtres.
A de nombreuses reprises, on se demande quelle est la part de hasard et quelle est la part provoquée par Monte-Cristo dans les évènements.

Monte-Cristo, la justice de Dieu sur Terre, est un héros splendide, avec ses failles, bien cachées.
Il est accompagné d'une pléthore de personnages, jeunes et vieux, riches et pauvres, vicieux ou naïfs. Car Monte-Cristo n'est pas le seul héros - d'ailleurs l'histoire est de moins en moins de son point de vue, ce qui le rend très mystérieux, même pour le lecteur qui connaît son passé et son objectif.

La fin m'a peut-être un peu déçue, je l'imaginais plus flamboyante, plus tranchée.

À part dans le 2ème volume, jamais je ne me suis ennuyée, au contraire : j'ai souvent tourné les pages avec fièvre ! La plume est fluide, les actions se succèdent, la psychologie de chaque personnage est finement travaillée... Un vrai plaisir de lecture ! le principal défaut est sa longueur, c'est vrai. Mais il faut autant de pages pour raconter une histoire aussi complexe et foisonnante !

Je vous le conseille mille fois, si vous avez du temps devant vous ;)
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Nous voilà face à une oeuvre majeure du XIXème siècle. Plus puissamment incrusté dans son temps que Les Trois Mousquetaires, le Comte est l'occasion pour Dumas de faire une réflexion sur son temps, à travers quelques figures typiques ( Danglars, Fernand, Villefort… ). Avec couleur et talent, le cher Alexandre nous offre ce qui est sans aucun doute le plus beau pour un écrivain : allier le fond et la forme dans un ouvrage, où la forme ( l'on peut comprendre l'intrigue dans la forme ) porte en elle-même le fond, c'est-à-dire une vision du monde.
Je continuerai en disant qu'Alexandre Dumas Père, s'il s'est puissamment incrusté dans son temps, ce n'est pas seulement parce qu'il le montre, c'est aussi parce qu'ils 'inspire des mouvements littéraires de son temps. Personne ne comprend le Comte de Monte-Cristo s'il ne comprend pas que cette oeuvre a été faite sous l'impulsion de deux mouvements : le romantisme et l'orientalisme.
Je ferais remarquer que malgré ce côté agréable et distrayant du livre, cet ouvrage est caractérisé par un message pessimiste : que sont les puissants, dans cet ouvrage ? D'infâmes êtres. L'espoir est chez les gens des classes sociales modestes : Maximilien Morrel en est un exemple. D'ailleurs, Danglars, le lâche et froid fomentateur est le seul à ne pas subir son châtiment. J'ai dit lâche et froid ? A partir du moment où ils sont méchants ils sont lâches, selon Dumas ; car pour lui, le mal trouve son origine dans la lâcheté.
Je conclurai en disant que le Comte de Monte-Cristo est le portrait d'une modernité, qui ne va pas sans son lot de cadavres.
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Le château d'If et l'abbé Faria, premiers héros du Comte de Monte-Cristo participent d'emblée à l'aventure d'abord malheureuse d'Edmond Dantès dont il est possible encore aujourd'hui de voir la cellule au château d'If. L'arrestation du jeune Dantès et la construction de sa relation avec l'abbé constituent des temps très forts de l'oeuvre dans lesquels on sent se dessiner la perspective d'une évasion et une aide à la vengeance par la fortune. L'argent finit effectivement par tout permettre et le trésor caché de Faria ouvrira des perspectives infinies à Dantès, lui permettant de devenir le Comte de Monte-Cristo et d'orchestrer sa vengeance dont la lecture ne m'a pas paru spécialement passionnante. Je préfère de loin les scènes au château d'If et la montée en puissance d'Edmond vers sa stature de Comte.
Un très beau roman d'aventures de Dumas et aussi une leçon sur le pouvoir, l'argent et celles qui gravitent autour de ces deux planètes. L'écriture est très riche, les longues phrases ne rebutent pas et ce livre ne s'oublie jamais.
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« Bonjour et bienvenue dans cette probablement unique édition de Questions pour un Babélion ! Aujourd'hui, littérature classique. Attention, il y a un piège. Un petit indice pour ceux qui jouent de chez eux : « Vous avez cliqué sur le titre. » Vous êtes prêts ? C'est parti :

Tel l'hiver de Game of Thrones je viens, mais personne ne me voit venir* et je frappe sans pitié. Je suis isolé de longues années, meurtri par la mort de mon père…

-Arya Stark !

-Non. Arya Stark, c'est non.

Meurtri par la mort de mon père et séparé de la femme que j'aimais, j'ai été lâchement trahi par des proches et un magistrat, puis jeté dans la prison du château d'If. Je parviens à m'évader et me sers de ma nouvelle fortune pour machiner une Terrible Vengeance, je suis, je suis, je suis ?

-Le… le comte de Monte-Cristo !

-Et c'est gagnéééééé ! Bravo !

-C'était pas facile, mais j'ai reconnu à partir de « Terrible Vengeance ». Je pensais que vous parleriez des mechas** et des vaisseaux spatiaux de la série animée.

-Les mé… quoi ?

-Bah les robots géants, quoi ! On s'y introduit à l'aide d'ingénieuses et spectaculaires machineries et on les pilote, comme dans Goldorak.

-Bon… on va reprendre un ou deux trucs, je crois, espèce de génération pourrie par la télévision.

Or donc, aujourd'hui nous allons parler du Comte de Monte-Cristo, un célèbre roman d'Alexandre Dumas père, je vous fais grâce d'un deuxième résumé. Mettons tout de suite les choses au clair : ce roman ne contient aucun robot géant. Point de voyages dans l'espace non plus.

-Ah bon ?

-Non.

-C'est nul, alors !

-Absolument pas.

-En plus, c'est publié au XIXe siècle ! A tous les coups c'est écrit dans un français incompréhensible !

-Non, pas du tout. Nous trouvons de belles tournures classiques, mais le style et la langue restent parfaitement accessibles : l'émotion passe facilement. le récit de l'emprisonnement et de l'évasion est splendide, la souffrance d'Edmond est littéralement palpable. J'ai admiré les ressources de l'abbé Faria, l'ingénieux érudit, il y a là comme un récit de Robinson, qui exploite ce qu'il a sous la main pour construire et aménager ce dont il a besoin.

Cependant, ce que l'histoire contient de plus spectaculaire se situe plus tard dans l'histoire, lorsque le comte de Monte-Cristo a terminé de construire sa machine infernale et frappe ses ennemis ou leurs proches, et sa stratégie répond à une autre machine, celle qui l'a plongé en enfer. Plein de choses sont fascinantes dans ce texte, et l'une d'entre elles se trouve dans la précision d'une tragédie grecque.

-Le comte de Monte-Cristo, une tragédie grecque ? Et ben, on aura tout lu.

-Mais non, « tragédie » pas au sens de tragédie, quoi. Evidemment qu'il n'est pas un noble prince détruit par les intentions divines.

-Et dans quel sens, alors ?

-Dans celui-ci : peux-tu échapper à ton destin quand tu es le héros d'une tragédie ? Non, tu ne peux pas. Dantès, quand il se trouve chez Villefort, ne le sait pas encore, mais il est déjà mort : le jeu de circonstances est tel que le jeune homme ne peut se sauver. Broyé par la machine impitoyable du destin et de l'ambition du jeune procureur, te dis-je.

Et lorsque Dantès va comprendre qu'il est devenu la victime d'une suite de circonstances malheureuses et de perversions humaines, que va-t-il faire ?
Il va apprendre à dominer, à provoquer ces circonstances en sa faveur, à jouer avec l'histoire et les caractères pour obtenir ce qu'il veut, à plier son corps à la force de sa volonté pour demeurer parfaitement (ou presque) impassible en n'importe quelle situation.

Et c'est là, je crois, que se trouve l'une des plus grandes forces de ce texte : il raconte l'histoire d'un homme qui dépasse son humanité pour devenir un « presque Dieu ». Ce n'est plus lui, la victime de la machine à broyer les existences. Il s'occupe désormais de la construire et de la faire fonctionner en se donnant l'accomplissement de la volonté divine pour confortable justification. Mais est-ce justifiable ?

Et à ce propos, sur la légitimité du comte, le roman prend hélas une direction qui me déplaît sur la fin. Mais peut-être que le doute prouve qu'il reste une étincelle d'humanité en lui ? Je ne sais pas. Quoi qu'il en soit, les scrupules sur les desseins de Dieu m'ont laissée froide, contrairement à la condition de Dantès qui m'a rendue enthousiaste.

Je regrette également que les dialogues soient excessivement dumasiens. Ils alourdissent et ralentissent le texte, on sent la paie au feuillet…

-Quoi ?

-Hein ?

-J'ai mal entendu, tu disais quoi ?

-Je disais que je trouvais les dialogues souvent relous.

-Comment ça, relous ?

-Ben, relous comme lourdingues ! Les personnages répètent les choses, font semblant de poser des questions sur des évidences…

-Vraiment, ils font ça ?

-Assurément.

-Mais quel intérêt pour l'histoire ?

-Pour l'histoire ? Aucun.

-Et pour le lecteur ?

-Non plus.

-Mais quelle raison alors ?

-Je soupçonne la raison des sousous dans la popoche.

-Ciel ! La cupidité et/ou le besoin désespéré d'argent serait-il cause de faute de goût littéraire ?

-Ce ne serait pas la première fois, si ?

-Non, en effet. Mais dis-moi, tu es en train de faire la même chose, non ?

-Si.

-Et tu n'as pas peur d'ennuyer ton lectorat ?

-Si, c'est pourquoi nous arrêtons maintenant.

J'ai regretté également le dénouement, trop long, et la fin de certains personnages comme Haydée et Mercedès : leurs conclusions ne me semblent plus du tout au goût du jour.

Ces menus reproches demeurent cependant sans grande conséquence sur un texte extraordinairement beau. »

*Allusion à la BO de Gankutsuou, l'adaptation animée japonaise, « You won't see me coming… ‘til I strike ».

**Mechas : prononcez « méka ».
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Un de mes romans préférés d'Alexandre Dumas. Je l'ai lu quand j'étais ado ( à l'époque j'avais traversé une crise "romantique" pendant laquelle j'avais lu nombre de chefs-d'oeuvre du 19e siècle) et je me souviens combien j'avais vibré en lisant les mésaventures rocambolesques du pauvre Edmond Dantès.
Les thèmes de la trahison, des amours contrariés et de l'injustice m'avaient profondément marquée.
Indéniablement, Alexandre Dumas est le maître incontesté du roman d'aventure tant la tension dramatique est portée à son paroxysmes, tant le réalisme des descriptions et la psychologie des personnages y sont particulièrement fouillés, dans une mise en scène très soignée.
Roman qui n'a rien à envier aux romans modernes et qui devrait être remis au goût du jour.
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Dumas était un homme de théâtre : il met en scène des personnages inoubliables et aime les rebondissements. L'empoisonneuse, l'ancien révolutionnaire devenu muet, le traître et le fils maudit, Benedetto au destin rocambolesque. Mon arrière-grand-père adorait cette histoire, l'histoire d'un juste qui perd tout, avant de se venger de ses ennemis devenus riches et puissants dans le Paris de la Restauration. L'art de conteur de Dumas se déploie dans ses histoires dans l'histoire : les bandits romains, les aventures orientales et le crime de Caderousse raconté par un témoin caché dans son auberge, par une nuit d'orage...Et au dessus de tout ces personnages, l'agent de le Providence, le comte et ses doubles, l'abbé italien et le lord anglais qui fait de ce classique un vrai plaisir de lecture !
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Inspiré d'une histoire vraie et paru en 1844, le comte de Monte-Cristo a d'abord été publié sous forme de feuilleton comme c'était souvent le cas à l'époque. Dumas était payé à la ligne donc le texte comporte son lot de répétitions et de longueurs inutiles, sans compter qu'il fallait également rafraîchir la mémoire des lecteurs qui auraient pu oublier un épisode d'une semaine (voire plus) à l'autre. En élaguant un peu, ce pavé de plus de mille pages aurait pu être réduit d'un tiers ! Mais que ceux que l'épaisseur du roman rebute ne se découragent pas pour autant : le Comte de Monte Cristo reste une formidable histoire de vengeance qui se lit d'une traite ou presque ! On prend un immense plaisir à assister aux tourments tarabiscotés qu'inflige l'impitoyable Monte-Cristo à ceux qui l'ont envoyé en prison et le moment où Dantès leur révèle enfin son identité (« Qui êtes-vous? Mais qui êtes vous donc mon dieu ? ») donne à chaque fois lieu à une scène jubilatoire. On se laisse donc prendre au jeu malgré le style parfois maladroit, les digressions inutiles et les passages historiques un peu longuets, j'avoue pour ma part avoir zappé quelques pages pour retrouver plus rapidement le ténébreux Comte. D'ailleurs on constate à la lecture du roman que les adaptations, cinéma ou télévisées, ont souvent affadi ce personnage mégalomane, assoiffé de puissance et souvent cruel. Raison de plus pour lire (ou relire) ce classique de la littérature populaire, le long voyage en compagnie du Comte vaut toujours le détour.
Lien : https://www.takalirsa.fr/le-..
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Le comte de Monte-Cristo est enterré depuis tellement longtemps dans ma pile à lire que l'en sortir était presque un acte archéologique. D'une part, ses 1600 pages ont de quoi impressionner, et comme en plus je connais très mal les classiques (ce qui est très bien au final, ça me permet de les découvrir exactement comme les sorties de l'année), je m'en étais fait une fausse image. Je n'avais en effet retenu qu'un long emprisonnement, et le désespoir d'un homme enfermé pendant un millier de pages, ça pourrait être intéressant, mais ça demande quand même une bonne dose de courage pour se lancer dans cette lecture. Mais dès les premières pages, j'ai réalisé qu'on est bien loin de cette sombre introspection. J'ai retrouvé tout de suite le ton typique du roman d'aventure qui m'avait tant plus dans Les trois mousquetaires.

Le roman raconte l'histoire d'Edmond Dantès qui, malgré une vie simple, est sur le point de toucher au bonheur : un poste de capitaine sur un navire où tout le monde l'aime, ce qui lui permettra de sauver son père de la misère, et d'épouser sa fiancée. Mais cet embryon de bonheur sera détruit par l'association bien redoutable d'un amoureux éconduit, d'un collègue jaloux et aigri, et d'un ambitieux politique. À quelques jours de son mariage, Dantès sera envoyé en prison, où il croupira plusieurs années, avec une seule idée en tête : la vengeance.

On comprend sans peine le succès de cette histoire qui, malgré son volume impressionnant, est passionnant du début à la fin. Le thème de la vengeance, tout d'abord, est déjà quelque chose de fascinant, d'autant que Dantès met en place des plans machiavéliques qui provoqueront la ruine ou le déshonneur public de ses ennemis au moment où ils s'y attendent le moins. Dumas fait également voyager ses lecteurs, en Italie, durant le carnaval, en Afrique du Nord et lui fait miroiter les charmes de l'Orient. Les destins de ses personnages s'entremêlent étroitement, des amitiés et des amours imprévues naissent, ce qui contrarie grandement les plans de Dantès. Parfois d'ailleurs, certains retournements de situation m'ont paru cousus de fil blanc, mais enfin on n'y prête peu attention, le genre de l'aventure en fait presque des passages obligés.

Un seul comportement récurrent m'a laissé sceptique. De temps en temps, un ami de Dantès se trouve dans une situation désespérée, et Dantès a la solution, disponible immédiatement. Plutôt que de la lui fournir, il attend le dernier moment, quand son ami a la corde autour du cou ou le revolver sur la tempe, pour se précipiter dans la pièce et lui dire que ses problèmes peuvent s'arranger. Il y a parfois des justifications à cette attente, mais souvent non, et ce comportement me paraît particulièrement cruel, sans générer, pour moins du moins, la moindre tension ni la moindre compassion pour les victimes.

Encore un classique que je regrette de ne pas avoir eu le courage de lire plus tôt ! Mais malgré les bonnes expériences qui s'enchaînent, il n'y a pas à dire, un nom célèbre ça impressionne…
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J'ai lu ce livre pour un devoir de français , ce n'ai donc pas le genre de livre que j'ai l'habitude de lire .Cependant je l'ai assez bien apprécié je pensai après avoir lu le résumé lire un livre parlant uniquement de vengeance mais je me suis trompé car il y a aussi le pardon qui est important dans ce livre . J'ai eu un peu de mal a lire ce livre car il est long et un peu compliqué et j'ai faillis décrocher plusieurs fois malgré ça c'est un très bon livre qui vaut la peine d'être lu .
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Edmond Dantès est un jeune marin Marseillais de 19 ans. Ses rivaux, poussés par la volonté de briser la carrière brillante du jeune homme pour prendre sa place, accusent faussement Edmond de haute trahison. Il est emprisonné dans la forteresse du chateau d'If, où il rencontre un personnage étrange qui lui révèle l'emplacement d'un fabuleux trésor. Quand Dantès s'échappe de prison 14 ans plus tard, il se jure de se venger des hommes qui ont causé sont malheur. Et sa vengeance sera terrible...
Un roman passionnant, reflétant la colère d'un homme inconsolable. Dans ce livre, on sent que Dantès ne pardonnera jamais à ceux qui lui ont ôté son bonheur et sa fiancée. L'histoire de sa vengeance est pleine de péripéties, et l'on ne s'ennuie pas un instant en suivant les aventures de Dantès.
Lien : http://conseilsdelecture.blo..
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