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C'est très jeune, sur un vieil atlas, que Géraldine Dunbar découvre la Russie et la surface de son territoire qui couvre 1/3 de l'hémisphère Nord. Dès lors, plusieurs signes avant-coureurs vont déterminer son futur départ : la première édition du Routard consacré à Moscou, l'achat d'un guide sur le Transsibérien, des rencontres avec des russes qui lui disent de partir, la vision nouleversante de Soljenitsyne de retour dans son pays, une exposition qui propose un wagon du transsibérien,... Tout concourt à ce que cette jeune femme parte au bout de ses rêves.
Parlant couramment russe et séjournant régulièrement à Moscou, en 2004, elle décide de partir seule à bord du train mythique : le Transsibérien. Ce parcours de 20 000 kilomètres aller-retour à travers la Russie et 7 fuseaux horaires (!) durera 4 mois et sera l'occasion de découvrir de multiples régions différentes et d'aller à la rencontre des russes.
Géraldine Dunbar nous offre ici un récit passionnant de son voyage. Au lieu de faire le trajet en une semaine, elle va effectuer plusieurs arrêts qui seront l'occasion de découvrir plus profondément le quotidien des russes. Traversant un pays aux paysages divers, elle découvrira la steppe, l'Oural, le fleuve Amour, le lac Baikal, des villages perdus sans électricité et des villes communistes tristes et abandonnés.

La vie à bord du train n'est pas exempt "d'exotisme". Pas de salle de bain où se laver, il faut se contenter d'une toilette de chat à l'aide de lingettes. La rare douche est plus que périlleuse par les soubresauts du train. Des samovars trônent dans les couloirs, offrant aux voyageurs la possiblité de se faire du thé ou autres repas instantannés. Il faut apprendre à dormir au son occidental des années 80, venant des cabines adjacentes. Les arrêts sont l'occasion d'acheter des provisions aux vendeurs à la sauvette.
Bref, le voyage n'est pas de tout repos mais offre une chaleur humaine incomparable, pour peu que vous puissiez communiquer en russe.

Faisant connaissance avec ses compagnons de train, Géraldine va découvrir toute la générosité de l'âme russe. Partageant le peu qu'ils possèdent avec la jeune femme, les repas sont pris en commun et offrent l'occasion de mieux se connaitre. Les questionnant sur leurs vies, leur travail, leur opinion sur l'état du pays, elle découvrira alors les dessous de la Russie et pénétrera l'intimité de ces habitants.

La vie se révèle difficile au sein de la Grand Russie et, à part Moscou et ces nouveaux riches, point de salut pour le peuple. Les salaires sont bas ou parfois non payés depuis plusieurs mois, les habitants doivent cultiver leurs légumes, les voyages se font rares et même les anciens cheminots perdent l'avantage de pouvoir voyager à bas prix.
Désabusés, ils ne se font aucune illusion sur l'Etat et l'aide qu'elle n'a jamais su lui apporter. Condamnés à se débrouiller seuls, l'entraide et le partage est leur seul espoir.

Plus qu'un voyage à la découverte des paysages russes, celui-ci se révélèra une véritable rencontre avec ses habitants qui se révèleront attentionnés et charmants et donneront lieu à d'émouvants et déchirants adieux.

Je recommande chaudement ce récit de voyage qui offre un regard différent à bord d'un moyen de transport différent, qui en fait rêver plus d'un !
Personnellement, la Russie ne m'attire pas spécialement mais ce voyage en train m'a beaucoup plu !
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Le voyage avait tout pour me plaire. le train, La Russie d'Ouest en Est, la vodka, le lac Baïkal... Rien que le titre titillait déjà ma fibre aventureuse. J'ai donc embarqué avec l'envie d'aimer ce voyage.
Au début, tout se passait bien, vie à l'intérieur du train, rencontres et paysages, je me disais, on m'en donne pour mon argent. Et puis, au fur et à mesure, tel la princesse au petit pois, je me suis mis à me trémousser sur mon siège, gêné aux entournures. Pourtant impossible de mettre le doigt sur ce qui commençait à me lasser.
Quand, au détour d'une phrase a priori anodine, la vérité m'est apparue: j'avais un goût douceâtre de niaiserie dans la bouche. Ma guide, Miss Dunbar, commençait sérieusement à m'agacer. Peut-être suis-je un méchant esprit ironique qui a du mal à digérer le premier degré à tous crins. Mais les : "ooooooh les belles fleurs de la taïga" "hihihihi la controleuse rude mais affectueuse" "héééééé les jolis rideaux de la cabine" "raaaaaaaaaaahhhh les jeunes militaires chauffés à la vodka mais gentiment dragueurs" et j'en passe, tout ça a eu raison de mon enthousiasme initial. D'autant plus que la vérité de la Russie, la vérité des êtres, restait hors d'atteinte, (comme quoi, même dans un train, on peut superficiellement survoler tout un pays).
Aux 3/4 du chemin, j'ai craqué en sautant du train en marche, tant pis je ne verrai jamais Vladivostok. Hop, un vol direct pour le retour dans ma chambre douillette. Et une vocation d'aventurier tuée dans l'oeuf par Miss Dunbar (et puis c'est vrai que je suis un peu frileux).
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Ce récit, c'est celui de près de 10.000 km parcourus, quasi la distance de la moitié de la planète (!!), trajet généralement réalisé en 7 jours/6 nuits grâce au mythique Transsibérien, et que l'auteure aura pris le temps de faire en 4 mois en 2004, s'arrêtant ici et là.

Impressionnant, mais ce qui m'aura encore plus impressionnée, c'est qu'elle sait voyager léger, elle :
"Mon sac est léger, 6 kilos et demi. Il contient le minimum pour une promenade prolongée - une chemisette, un pantalon de rechange, un chandail, trois culottes, une paire de chaussettes, une carte du monde, deux cahiers et un jeu d'échec."
(perso, j'aurais rajouté un livre quand même - ou ma liseuse maintenant)


Un voyage fascinant, ceci dit, ce qui m'aura le plus marquée et que je retiendrai de son récit, ce sont ses rencontres avec les habitants du pays, chaleureux, généreux, joyeux, incarnant l'âme russe dans toute sa splendeur, mais aussi, une chaleur terrible l'été, des paysages à couper le souffle, la taïga, le lac Baïkal, des bruits, des odeurs, la vodka, bref, un foisonnement d'images et d'émotions.
J'ai aimé les rires et les partages autour de la nourriture au cours de ces rencontres, les cadeaux qui viennent du coeur, et cette réflexion d'un Russe pour définir ses compatriotes:
"Le peuple russe est un peuple simple, bon dans l'ensemble."


C'est vraiment ce que j'ai aimé dans ce livre, les gens, le facteur humain. C'est le genre de voyage qui me parle. Une obsession pour un pays, sans raison claire, un rêve de longue date qu'on réalise enfin, une aventure personnelle, des rencontres authentiques (voyage en 3è classe), le besoin de rencontrer l'autre, de l'échange, du contact avec cet autre qu'on ne reverra probablement plus, mais qui bouleverse toute une vie.
Le sentiment de faire partie de la même aventure humaine pour le bref espace de temps que l'on passe sur Terre, le sentiment de toucher à l'essentiel.
Pour le lecteur, la sensation d'avoir partagé aussi la vie de ces gens l'espace d'une lecture, d'avoir vécu ce voyage par procuration, une très belle expérience de lecture, l'envie de la concrétiser.


J'ai aimé la façon dont Géraldine Dunbar rendait compte de son voyage et de son expérience, dans un style simple, claire, qui traduit bien ses émotions, et duquel pointait l'humour par moment. J'ai été touchée à plusieurs reprises par ses rencontres (je crois que je me répète un peu à ce sujet, non? ), la curiosité et l'étonnement des gens du fin fond de la Sibérie qui rencontrent une vraie Française, leur ravissement car eux-mêmes ne peuvent se déplacer aussi "facilement" pour nous rendre visite.
J'ai aimé la sincérité et la simplicité de sa démarche, la clarté de ses descriptions, des lieux, des gens, et cette question qui la taraude: quel est pour eux le plus important dans la vie?
J'ai été particulièrement frappée par cette expression récurrente chez ces gens qui ont visiblement des difficultés financières au quotidien et qui, au lieu de se lamenter, disent simplement: "Nous vivons." Un peu façon "C'est la vie."


Ce que j'ai trouvé intéressant aussi, c'est ses impressions de la Russie dix ans après son premier séjour, ses réflexions et ses observations sur l'évolution sociale et économique du pays, le développement de nombreuses villes devenues de grands centres industriels en Sibérie, la modernisation et l'occidentalisation de Moscou avec ses galeries commerciales et ses entreprises, l'émergence des nouveaux riches moscovites qui préfèrent oublier le passé, tandis qu'en Sibérie, la population est majoritairement pauvre et nostalgique du passé.
Un témoignage vraiment instructif sur ce point.
Lien : http://lecture-sans-frontier..
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Livre magique pour moi ....
Traverser l'Europe d'ouest en est, est actuellement mon rêve.
J'ai donc avec grand plaisir accompagnée Géraldine dans ce périple.
J'ai aimé son parcours,
Découvrir ses différentes étapes avec un minimum de précision à la fois géographiques et historiques sur les territoires traversés,
Découvrir les différents personnages que sa connaissance du russe lui a permis de côtoyer.
Bien sûr les relations développées et présentées comme des amis à la vie à la mort m'ont un peu agacée et surtout m'ont semblée complètement surfaites mais je n'étais pas là pour ça !
Je voulais juste trouver la magie de cette expédition et des raisons complémentaires pour accomplir mon rêve.

Ah la nostalgie !
Où est le Paris de mon enfance ?
Ses marchandes de quatre saisons, les commerces de bouche divers et variés allant de l'épicier, au cours des Halles, au Boucher, au charcutier, au tripier, au Boucher chevalin, au crémier, au fromager, au marchand de couleur .... je ne m'y reconnais pas non plus en voyant juste un simple supermarché !
La nostalgie de Géraldine découvrant un autre visage à son Moscou me laisse songeuse, les villes changent, nous, nous prenons des rides et du poids et les villes se modernisent s'étirent, grandissent en hauteur et en largeur !
Je m'attends moi aussi à un choc, quand je retrouverai le Moscou que j'ai connu dans les années 70, Brejnev régnait ..... un voyage avec de jeunes communistes prêts à tout admirer .... le pire comme le meilleur, une longue file devant le tombeau de Lénine sur la place rouge où je m'étais fait rappeler à l'ordre par un soldat en arme .... je n'étais pas restée du bon côté de la ligne qu'il fallait suivre, .... les statues de Lénine bien sûr mais aussi celles de Staline omniprésentes dans la ville et ses mariés qui venaient avec tant de confiance déposer leur bouquet de mariage en hommage au petit père des peuples...
Mais pour l'instant en compagnie de Géraldine, je m'embarque dans le train n°2 .... monstre habillé aux couleurs de la nouvelle Russie bleu, blanc et rouge .... Rossiya...
C'est parti pour le long voyage, étape après étape ....
Lekaterinbourg ou Ekaterinbourg, ou Svetdlovsk, comme ils disent, (la ville porte aussi le nom du responsable du massacre de la famille impériale), ville ouverte aux étrangers depuis 1990, Boris Eltsine a été l'ancien secrétaire général du parti communiste de la ville et de la région.
Si tout comme moi vous découvrez Krasnoïarsk, rappelez vous que c'est la dernière ville traversée par tous les trains quelque soit leur destination finale, après ils deviennent sibérien ou Mandchourien ou mongolien.
Puis l'île d'Olkhon, la plus grande île du lac Baïkal, Khoujir, village qui possède un petit port de pêche encore actif, près du pittoresque rocher au chaman.
Penser à goûter à l'omoul, poisson abondant, considéré comme le "pain du Baïkal".
Ne pas oublier lors de l'arrêt à Oulan-Oudé, de faire une photo de l'énorme bulle de chewing-gum, inscrite dans le livre des records... la tête géante de Lénine !
Il n'y aura pas et c'est dommage d'arrêt à Khabarovsk, capitale administrative de la région, la plus grande ville de l'extrême orient russe devant Vladivostok. Cette ville n'a jamais été fermée aux visiteurs étrangers et a conservé sa saveur internationale. Une minorité asiatique de plus en plus nombreuse y est présente.
En face, sur la rive gauche de l'Amour, se trouve l'oblast autonome juif, fondé à l'initiative de Staline en 1934, avec le yiddish comme langue officielle. Il a attiré peu de juifs à sa création et d'autant moins à la création de l'état d'Israël.
(Pour ceux que cela intéresse voir l'*).
C'est aussi dans cette province que l'on pourrait croiser le tigre de l'amour, le léopard des neiges, l'ours noir de l'Himalaya, l'immense hibou pêcheur le kétoupa de Blakiston.... tous plus ou moins en voie de disparition.
Rappelons nous aussi que Jules Verne, fait dire au tsar de toutes les russies : "moi vivant, la Sibérie est et sera un pays dont on revient."

Il y a tout ce qu'il me faut dans ce livre, une pré découverte de ce voyage que je rêve de réaliser.
Un grand trajet avec des rencontres inattendues d'individus qui utilisent ce train comme un simple moyen de transport.
Pour une fois, je savoure le luxe de prendre le temps de m'habituer petit à petit et découvrir, s'immerger dans un autre pays, dans une autre culture, dans un autre univers.
Aller de Moscou à Vlad est vraiment une traversée hors du commun.
J'ai pris des notes, j'ai essayé de retenir l'esprit de ce train ..... et j'avoue que le retour beaucoup plus direct me semble être aussi une drôle d'expérience .... revivre ses souvenirs et les mesurer à l'épreuve du temps sept jours et six nuits avec juste de courtes pauses pour se ravitailler.
Et il faudra envisager le retour à une triste vérité, en Russie ou ailleurs, on peut lire sur une banderole près de la place rouge : "le monde change, le big mac reste."

*
Les raisons de la création de l'oblast autonome juif, sont multiples, et ont été exposées notamment par l'historien Nikolaï Bougaï dans ses nombreux articles et ouvrages sur les déplacements et la déportation des peuples d'URSS :
La volonté de permettre aux Juifs soviétiques de disposer d'un territoire pour pouvoir s'y exprimer en tant que nationalité soviétique, alternative au sionisme jugé « nationaliste-bourgeois ».
La volonté de « renforcer » la zone autour du fleuve Amour, dans l'Extrême-Orient soviétique, historiquement contestée par la Chine.
La volonté d'« éloigner en douceur » les intellectuels juifs du centre de la Russie, communistes ou ralliés, mais jugés peu fiables et « cosmopolites ».
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Les descriptions des lieux et des personnes rencontrées foisonnent dans ce gros récit de voyage moderne accompagné d'un cahier photo.
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Géraldine Dunbar est passionnée par la Russie depuis plusieurs années quand elle décide, motivée par le récit de Lesley Blanch, de voyager d'un bout à l'autre de ce pays-continent, à bord du Transsibérien.
Elle fait donc, jour après jour, parfois heure après heure, le récit de ce fabuleux voyage, ponctué par de belles rencontres et souvent (trop souvent...) des mots, des phrases, des expressions en russe dont on se demande si elles sont là uniquement pour "prouver" au lecteur que oui, l'auteur parle très bien la langue. Il faut bien garder à l'esprit que c'est un journal, et que parfois le style un peu naïf, un peu simplet, peut surprendre.
La lecture nous donne envie de voyager, incontestablement, nous donne envie d'aimer ce pays, ces cultures, tous les individus que Géraldine Dunbar rencontre au fur et à mesure des villes traversées. J'ai également beaucoup aimé l'épilogue où l'auteure raconte, brièvement mais avec beaucoup de simplicité et de pudeur, sa rencontre avec Mme Blanch et l'amitié qui a suivi.
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Un bien grand titre, pour une bien pauvre expérience de voyage. ED 2006 L'auteure présente ce moment comme le moment de sa vie....la pauvre. Elle parle russe en plus.....Comme personnellement je l'ai prit ce train ( en 2005) qui reste mythique, sans parler russe...vous comprendrez ma déception. Pas du train, mais du livre.
aujourd'hui on peut prendre simplement son billet par internet.
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Née à Londres, Géraldine Dunbar vit en France. En 2004, cette jeune femme fascinée par la Russie choisit de passer plusieurs mois à voyager seule à travers le pays, en suivant le parcours du mythique Transsibérien, de Moscou à Vladivostok.

Plusieurs trains empruntent les voies du Transsibérien, ce qui permet à l'intrépide voyageuse d'explorer quelques villes et régions situées le long du parcours, qu'elle réalise en un certain nombre d'étapes à l'aller et d'une traite au retour. Dans les compartiments du train et dans les rues des villes où elle se promène, elle fait de nombreuses rencontres qui défient les clichés. Mais le style de l'auteure est un peu plat, ce qui rend le voyage longuet à suivre, d'autant que quiconque suivant un peu l'actualité n'apprendra pas grand-chose dans ce livre. du coup, on a l'impression de suivre les aventures de la jeune femme derrière une barrière, sans se passionner pour ses histoires.

Un récit de voyage à la découverte d'un trajet mythique, sur les traces de l'aventurière Lesley Blanch, autre amoureuse de la Russie que Géraldine Dunbar rencontre quelque temps après être rentrée en France.
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Un très beau rêve de voyage. le Transsibérien avec des arrêts aussi Moscou, Perm, Ekaterinbourg, Omsk, Irkoutsk, Vladivostok. Et de très belles rencontres, jeunes, vieux, militaires, travailleurs, étrangers qui leur font part de comment ils vivent en Russie, comment ils vivent leur Russie et leur culture. Dans ce récit, le mot qui me vient est partage et envie de partager. D'abord leurs victuailles dans le train, puis leur culture, leurs vies en Europe, en France et en Russie. Un très beau récit et une envie de voyage. Une envie de Sibérie. Elle a parcouru ce voyage seule et avec audace, sans rien qu'une envie de rejoindre Irkoutsk et Vladivostok dans ce train mythique qu'est le transsibérien. Un récit qui détaille bien les villes, les paysages traversés et aussi qui témoigne de la réalité d'une Russie des années 2000-2010 où tout a changé, quelque chose s'est effondré, où la vie est plus dure pour les habitants. Un témoignage de cette Sibérie aux multiples facettes et paradoxes. En fermant ce livre, je n'ai eu qu'une envie : prendre un jour moi aussi ce train et voyage au gré du Tat...Tat...le bruit de ce train. A emprunter à la médiathèque de Pernes.
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Formidable aventure humaine à bord du mythique Transsibérien et découverte de la Russie d'aujourd'hui
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