L'exemple type du livre de salonnard parisien.
Un auteur qui se regarde écrire, qui s'écoute parler et qui parasite les grands auteurs et la vie littéraire française.
Un livre qui n'apporte strictement rien.
Un auteur qui a de plus en plus de difficultés à masquer ses manques et qui n'a rien à dire dans ce livre.
Et qui, de surcroit, le dis mal.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.