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3,26

sur 727 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
bon pour faire simple, je suis complètement passé à côté et je n'ai absolument rien compris.
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Cela fait longtemps que je n'avais pas autant regretté ma manie de ne pas vouloir abandonner les livres… La lecture de ce premier livre que je lis d'Umberto Eco a été des plus fastidieuses. A aucun moment je ne me suis attachée au protagoniste, ni même aux personnages (pourtant nombreux) qu'il croise sur son chemin. Je me suis perdue dans le dédale d'événements historiques auxquels fait référence l'auteur. A ce titre, l'ouvrage m'a paru des plus élitistes car sauf à posséder une certaine érudition à propos des périodes historiques abordées, il est difficile de s'y retrouver tant dans la chronologie des événements que dans les personnages (réels) qui apparaissent.
Un roman teinté d'orgueil en somme…
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Je n'ai pas du tout accroché à la narration qui me paraissait décousue et anarchique. J'ai donc abandonné.
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J'ai trouvé ce livre dérangeant et négatif. J'ai arrêté sa lecture après une centaine de pages. Dès les premières pages, j'ai détesté le personnage principal, un piémontais qui déteste tout : les femmes, les étrangers, les francs-maçons, les juifs... Les histoires qu'il raconte sont incompréhensibles. Aucun plaisir de lecture - je ferme vite - peut-être pas assez vite - et je passe à autre chose de plus valorisant et moins prise de tête.
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bon, j'ai vraiment pas réussi à rentrer dans ce livre.. j'ai insisté, par trois fois....Impossible
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Ecco Umberto - "Le cimetière de Prague" – Livre de poche, 2012 (ISBN 978-2253162834) – original italien publié en octobre 2010, traduction française publiée en mars 2011

Fâché et en colère, j'ai décidé d'interrompre la lecture de ce roman.
Quelle déception !
Umberto Ecco nous brasse toutes les figures tutélaires du XIXème siècle connu et narré en Italie puis en France, pour insérer la Genèse et la rédaction des "Protocoles des sages de Sion". C'est lourdingue, sans rythme, prévisible à chaque ligne, rempli d'allusions destinées au lecteur de type universitaire bon chic bon genre, mal construit et j'en oublie : le lecteur s'endort à plusieurs reprises. Stoïquement, j'ai persévéré jusqu'à la page 439 (sur 566), mais trop, c'est trop...
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Ecouté en audio et tenu 1h30 ....
J'ai appris avec grand intérêt que les allemands font des gros cacas et que les jésuites sont des francs maçons en soutane.
Par contre, des phrases avec moins d'intérêt du genre 'j'ai les idées confuses' ou bien 'j'aime laisser courir ma plume où l'instinct le veut' pcq ça, je l'avais deviné!
La plus grande frustration c'est que je ne me rappelle plus l'enfoiré qui m'avait conseillé ce livre!
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j'ai pas accroché et j'ai abandonné la lecture bien avant la fin . . .
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Pour bien aborder cet ouvrage, il faut commencer par lire le dernier chapitre intitulé « inutiles précisions érudites ». Il est destiné au « lecteur excessivement intraitable, ou à la peu foudroyante comprenette » (sic), afin de l'aider à entrevoir la réelle portée de l'ouvrage au terme duquel il est parvenu, sans doute à grand peine.
Précaution oratoire destinée à l'esprit terre-à-terre qui se serait perdu dans les méandres des divagations scripturales du Maître. C'est la rançon de la notoriété que pouvoir afficher un tel mépris pour son lecteur.
D'un orateur on dirait qu'il s'écoute parler. D'un écrivain on pourra dire qu'il aime à se lire. Certes Umberto Eco peut se le permettre, mais à trop s'admirer on finit par perdre le fil de sa propre pensée, et son auditoire en corollaire. Sauf s'il s'agit là d'un écrémage naturel destiné à ne retenir que l'élite autour de soi.
A l'instar du peintre que la célébrité autorise à quitter le figuratif pour verser dans l'abstrait, Umberto Eco s'est livré à cette élévation propre à plonger son lecteur dans l'ennui. Cerise sur le gâteau, le héros est victime d'un dédoublement de la personnalité. Au désordre du scenario se superposent de belles plages de névrose. Il y a de quoi dérouter les plus fervents adeptes de puzzle littéraire.
Le résultat global est une juxtaposition de bons mots qui jalonnent la démarche erratique d'un personnage ballotté dans l'aversion de l'anti sémitisme. Théorie nauséabonde qu'il dépeindra si bien au point de faire perdre au lecteur la réalité de son intention qui est de la dénoncer.
Je conseille donc au vulgaire qui serait tenté par la notoriété de l'auteur sur l'étal du libraire, de lire ledit chapitre avant l'acquisition. Il comprendra alors cet ouvrage n'a rien à faire dans sa pauvre bibliothèque.
Il y a quand même quelques citations à extirper du magma incohérent (pour le vulgaire) qui nous font percevoir que la notoriété n'est pas volée.
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J'ai trouvé ce livre très mauvais, j'aime bien lire des romans historiques et je pensais que c'était le cas, mais ce ne l'est pas, beaucoup de dialogues impossibles avec des personnages nés dans différentes époques et qu'en raison de cela, ne se sont jamais croisés.

Quant au suspense, il n'y a pas de fil conducteur, c'est toujours la même répétition ennuyeuse jusqu'au bout.
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