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3,8

sur 692 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Comment peut-on haïr à ce point ses parents pour une raison de place sociale ? L'auteur doit avoir un sérieux problème avec ça ! J'avais lu « la place » il y a quelques temps et le problème était à peu de choses près le même.
Lu pour un challenge, je pense vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé cette histoire, ni le style. C'est le deuxième livre de cette auteure que je lis et je pense que ce sera le dernier. Je laisse le soin à d'autres lecteurs (qui auront l'esprit plus ouvert que moi sur certains sujets) d'apprécier les romans de cette auteure qui, finalement, ne m'intéresse pas.
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Je referme "Les armoires vides" … Ce récit "auto-socio-biographique" m'a soûlée ! 180 pages d'un débit intense, fatiguant, aigre, vulgaire, perturbant… un monologue brutal, parfois choquant et répétitif avec une litanie de mots et d'images qui s'entrechoquent. Pas un chapitre, très peu de paragraphes et d'alinéas. Comme si Annie Ernaux avait littéralement – et littérairement - vomi son enfance, son milieu modeste, ses parents et finalement son avortement clandestin. "J'ai exploré la déchirure avec les Armoires vides (…) Je voulais creuser l'injustice que j'avais vécue par mes origines", dixit Annie Ernaux dans une interview à l'Huma en 2016. Enfin, je ne résumerai pas mieux que Jacqueline Piatier du Monde qui écrit à la sortie du livre : "Un diable de bouquin ! … Un monologue intérieur vif, dru, véhément, dévide les images poétiques et sordides d'une enfance, d'une adolescence aboutissant à un déracinement". Moi j'avais hâte de refermer Les armoires vides pour passer à autre chose.
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Une fois de plus et je pense que ce sera la dernière, la prose d'Annie Ernaux m'indispose. Son style d'écriture ne me séduit vraiment pas. Des mots juxtaposés. Des listes d'idées jetées dans des phrases non construites. Mais c'est surtout le contenu que je ne parviens pas à apprécier. Ses récits autobiographiques mettent en lumière la fracture sociale qu'elle a vécu, les difficultés à naviguer entre le milieu rustre de ses parents et celui bourgeois qu'elle va peu à peu découvrir en réussissant très bien à l'école. le sujet est sociologiquement intéressant. Mais, étant moi même, issue d'un milieu modeste, avec des parents n'ayant pas pu faire d'études, ayant moi aussi connu cette fracture intellectuelle entre mon milieu d'origine et les connaissances que j'acquérais, je ne puis adhérer au mépris que cette autrice distille à l'égard de ses parents à longueur de pages! Car enfin, ils sont certes rudes, grossier dans le premier sens du terme, mais ce sont des gens besogneux, qui travaillent dur et qui lui permettent à elle, pauvre petite fille unique, pourrie, gâtée, d'avoir tout ce qu'elle veut: des friandises à profusion, tous les vêtements qui lui font envie. Si elle avait dû, comme moi, porter les vêtements des aînées par économie, partager ses parents avec plusieurs frères et soeurs, être privée de multiples chose parce mes parents n'en avaient pas les moyen, qu'aurait-elle donc écrit? le personnage de Denise m'est insupportable. Elle est méchante, hargneuse. Personne ne trouve grâce à ses yeux. Elle étouffe d'orgueil et d'égocentrisme. Je n'apprécie pas du tout.
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Refermer un livre à la 45è page parce qu'il nous crispe.
Je n'ai pas du tout adhéré au style littéraire de l'auteure : des bouts de phrases qui s'enchaînent où j'ai eu peine à y voir un sens parfois. Des mots posés là, on ne sait pourquoi, une syntaxe quasiment absente... Des chapitres, mais où sont les chapitres ?? Quoi !? Tout s'enchaîne comme ça !? Je me suis ennuyée, tellement.

Est-ce que l'oeuvre de Annie Ernaux est entièrement cousue de cette manière ?
Si non, alors j'aimerais bien en découvrir quelques-uns. Merci pour vos suggestions 😊
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L'ouvrage commence par une scène écoeurante. Il continue dans un style pour moi illisible. Il plaira peut être à des féministes qui semblent ne pas admettre que de tels textes rebutent les garçons. Sous prétexte que 2 lecteurs sur trois sont des lectrices, les éditeurs privilégient abusivement ce genre de récit lesquels font fuir la gent masculine. Heureusement, il y a J.K. Rowling au R.U., et Amélie Nothomb en Belgique.
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une horreur à lire.

Denise Lesur me fait pitié. je suis écoeurée du personnage dont le seul but est l'ascension sociale.
je n'ai pas non plus apprécié le style d'écriture.. difficile de comprendre de quoi elle parle parfois.

j'ai voulu essayer de lire du Annie Ernaux, j'ai réussi à ne pas abandonner. 🥲
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Triste constat d'un triste sort répété phrase après phrase. Pas un mot pour évoquer autre chose. OK, Annie Ernaud s'est faite toute seule, OK, elle a été élevée par des parents dont le milieu social très simple ne correspond pas à celui qu'elle a fréquenté à force de vouloir en sortir. Mais étaient-ils des monstres pour autant? Madame Arnaud tourne en rond et nous avec.
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