Stephanie Plum, tome 6 : Six appeal

Quand je commence une aventure de Stephanie Plum, je suis certaine de passer un bon moment de détente, le sourire aux lèvres .
Alors oui, me direz-vous, c'est le 6e tome, et le schéma littéraire est toujours le même, mais ça fonctionne plutôt bien et je ne m'en lasse pas pour le moment.
Cette fois –ci, notre chasseuse de prime va aider son mentor, le ténébreux et si mystérieux Ranger, recherché pour meurtre, à mettre à jour un trafic foireux. Evidemment, Joe Morelli est sur le coup, la voiture de Stephanie a des (gros) soucis, sans compter qu'elle risque sa vie, qu'elle est suivie par un duo improbable de méchants, que sa mamie joue la rebelle et qu'on lui met un gros toutou dans les pattes.
C'est drôle, rythmé, sans prise de tête. Suite au prochain numéro.

On ne s'ennuie jamais avec Stéphanie Plum, l'improbable chasseuse de primes à la vie mouvementée au cube. Cet épisode de la série ne fait pas exception puisqu'elle doit héberger sa mamie Masur et un chien glouton tout en tentant d'échapper aux malfrats qui la poursuivent, retrouver l'énigmatique Ranger et répondre aux avances du beau Morelli. Toute cette faune, qu'on connait de mieux en mieux au fil du temps, reste hilarante, les situations loufoques et rien n'est sérieux dans tout cela pour notre plus grand plaisir! Un pur divertissement!

Le meilleur moyen de me sortir d'une panne de lecture c'est de lire un tome de Stéphanie Plum! Et ce sixième tome ne fait pas exception. de l'humour, une enquête qui part en cacahuète, et des personnages plus déjantés les uns que les autres. Que demander de plus!

On dit avec raison que les romans de Janet Evanovitch se ressemblent. D'où vient alors que je trouve celui-ci sensiblement différent ?

Certes, il s'agit encore d'un policier sympa, plutôt à l'usage des dames, d'ailleurs, avec dilemmes sentimentaux de l'héroïne en toile de fond. Mais tout cela se fait plus mûr - enfin, c'est l'impression que j'en ai retirée. Ne me demandez pas pourquoi : je ne sais pas !

Côté intrigue policière, une mère de famille divorcée disparaît avec sa petite fille. le père, qui a des rapports de joueur de poker avec la pègre locale, s'inquiète et réclame le montant de la caution que son ex-épouse avait versée pour obtenir la garde de l'enfant. (Il paraît que ce procédé existe aux USA.) Comme ladite ex-épouse, Evelyn, n'avait pas suffisamment de ressources, sa mère s'était portée garante pour elle. Bien sûr, la fille et la petite-fille évanouies dans la nature, c'est à la pauvre grand-mère et mère qu'il appartient de régler l'ardoise.

Comme la malheureuse n'est autre que la voisine immédiate de Mr et Mrs Plum, les parents de Stéphanie, elle se précipite chez eux pour leur demander si, par hasard justement, Stéphanie ne pourrait lui donner un coup de main.

A partir de là, les événements s'enchaînent avec une habileté et une vraisemblance qui n'ont rien de la routine gentillette que l'on trouve dans certaines aventures précédentes de Miss Plum. On rit, bien sûr car l'humour, un humour toujours naturel, est bien présent. Mais on se laisse prendre aussi à cette histoire aimable qui donnerait une très agréable comédie à l'américaine dans le style d'un Capra ou d'un Lubitsch même - s'il y avait encore un Capra ou un Lubitsch pour la porter à l'écran.

Pour les habitués qui me lisent et qui voudraient savoir comment Stéphanie a résolu son dilemme Ranger-Joe, je répondrais que, là encore, l'auteur s'est faite très subtile ... et je leur recommanderais d'acheter ce "Grand Huit" (qui n'ai pas encore en poche, apparemment) pour apprécier par eux-mêmes tout le sel de cette huitième aventure de Stéphanie Plum. ;o)

Comme dans les Opus précédent, Stéphanie me fait toujours beaucoup rire particulièrement dans sa gestion de ses relations avec Ranger et Morelli. J'accroche moins avec le personnage de Lula que je trouve un peu trop envahissant. J'aime beaucoup aussi les descriptions de ses rapports avec ses parents.

Encore un volet bien déjanté des aventures de Stéphanie Plum. Sa relation avec Morelli avance, Mamie Mazur occupe une grande place dans l'histoire, et Rex n'est plus le seul 4 pattes poilus dans la vie de l'héroïne. Toujours autant d'humour, et de situations surréalistes pour un sixième volet aussi réussi que les précédents.

Sixième roman des aventures de Stéphanie Plum. L'avantage, c'est qu'avec la numérotation, on ne risque pas de se perdre dans l'ordre des romans, même si les livres peuvent se lire en dehors de tout ordre chronologique. L'inconvénient, c'est que les traductions s'arrêtent au neuvième, alors que la série en est au numéro 20, le 21 étant annoncé pour cet été. Si quelqu'un peut m'expliquer, je suis preneur, bien que je pense qu'il s'agit uniquement de questions financières.

Ce sixième, donc, voit Stéphanie partir à la recherche de Ranger, son mentor, comme il est dit en 4ème de couverture, mais surtout, quelqu'un qui ne laisse pas indifférente.

Ah, cette Stéphanie, toujours incapable de choisir en Morelli et Ranger... Cela dit, si elle choisissait, la série s'arrêterait peut-être !

Toujours la même galerie de personnages, dans la famille et en dehors, toujours aussi croustillants.

A lire, on passe un bon moment !

Un sixième tome plutôt réussi, qui met Stéphanie face à des questions difficiles, un cas de conscience : doit-elle faire confiance à son collègue Ranger ? Ce dernier est-il un criminel ? Il est vrai que son instinct a toujours fini par lui donner raison, mais elle ne peut ignorer son côté "Miss Catastrophe", qui l'a parfois mis dans des situations légèrement périlleuses...
À noter également l'apparition d'un nouveau personnage, Bob, qui est au coeur de scènes cocasses et drôles. On devrait le retrouver dans les épisodes suivants.
Un petit reproche : certains personnages, secondaires, sont introduits un peu rapidement, et sans trop d'explications, mais cela n'enlève rien à la lecture, qui reste un charmant moment de détente.

Vieux livre donc mon placard que j'ai ressorti à l'occasion du confinement.
On est loin des super héroïnes qui sont capables d'exploits physiques incroyables et de mettre à terre des méchants grace à des techniques d'attaque et de défense dignes des Marvels.
Non non! elle fuit qd il faut. Un brin misérable face aux plus forts, elle est est comme tout le monde sur ce point là. Elle est pas totalement reglo...mais bien complètement déjantée avec des amis du même acabit. Seule la mère semble à peu normale. La pauvre d'ailleurs.
Des situations abracadabrantes sur un fond d'histoire bien rythmée. Au final, 20 ans après sa sortie, exception des espèces de biper pour remplacer la messagerie téléphonique, cela n'a pas vieilli.