Pour aimer Cuba, il faut embrasser ses contradictions : un régime politique sévère et une population allègre, le culte des héros et le goût de la sensualité, un joyeux métissage, mais un pays enfermé sur lui-même, le désespoir en regardant la mer, la foi dans la magie, la joie de la musique, le charme suranné de la paranoïa officielle, la nonchalance et l’ennui, le temps qui semble immobile, l’espoir et l’anxiété du changement, l’incroyable beauté des villes ancienn...
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