Les ressentis ne s'expliquent pas.
La main gauche du diable n'est pas exempt de défauts : il y a certaines fautes d'orthographe et quelques erreurs de syntaxe, des phrases un peu convenues, des dialogues un peu formatés.
Et pourtant… pourtant, j'étais prise dans l'histoire. J'ai eu peur, j'ai voulu savoir.
Samuel Fessard a réussi à m'accrocher avec le suspense. J'ai supputé, j'ai cherché la clé de l'énigme, et je n'ai absolument pas deviné qui était le diable.
J'avoue avoir ressenti de l'angoisse, par moments. Mon esprit cartésien n'arrivait pas à trouver d'explications aux phénomènes décrits dans l'histoire. Presque toutes les réponses sont à la fin du livre, et là, chapeau, car j'étais loin de la vérité.
Des rebondissements, des informations distillées, ont fait que je n'arrivais pas à lâcher
La main gauche du diable jusqu'au dénouement.
J'avoue être déstabilisée par la fin. Je l'ai comprise de deux façons et je n'ai pas su choisir. Cependant, les deux sont surprenantes. C'est un final réussi.
Conclusion
Bien que certains éléments, que je cite au début de ma chronique, m'aient un peu dérangée, j'ai lu avec avidité
La main gauche du diable. le suspense et une enquête perturbante m'ont fait dévorer ce thriller.
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