J'ai reçu ce livre dans le cadre de Masse Critique avec Babelio.
Merci donc à Babelio et aux Éditions Slatkine & Cie.
Le 16 septembre 1943, sur les hauteurs de Bastia, un convoi SS quitte un couvent avec une mystérieuse cargaison. Chargées sur une barge à destination de l'Italie, les caisses finissent englouties au large du cap Corse. La légende du Trésor de
Rommel est née. 75 ans plus tard, un lingot frappé de la svastika réapparaît en Suisse.
Alors ça commence très fort ! J'ai eu des sueurs froides dès le prologue.
Ce roman se situe dans deux lieux et deux époques : la Suisse et la Corse, à notre époque pour les deux mais aussi de 1943 à 1948 pour la Corse. Et on passe de l'un à l'autre au fil des chapitres et il faut s'accrocher et retenir les noms des personnages si on ne veut pas rapidement être largué ! Mais l'intrigue est tellement palpitante que ça se fait sans mal assez rapidement.
Ce sont de courts chapitres qui donnent du rythme et qui s'enchaînent à une vitesse folle.
L'intrigue est prenante. C'est vraiment un page-turner et je l'aurais lu d'une traite si je n'avais pas été interrompue.
Par ailleurs,
Nicolas Feuz donne une place importante aux femmes dans son roman, ce qui me plaît énormément !
Je n'ai plus qu'à me procurer
le miroir des âmes qui est le volet précédant celui-ci, avec le procureur Jemsen, sa greffière Flavie Keller et l'inspectrice Tanja Stojkaj, personnages récurrents tous les trois.
Le livre se termine sur un gros suspense, qui à mon avis va nous faire attendre impatiemment le troisième volet !..