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Un roman qui mêle la fantasy et une petite touche de science-fiction, mais plus que cela une aventure extraordinaire d'amour et d'amitié !
Lien : http://elo-dit.over-blog.fr/..
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Une histoire de fantasy bien agréable et qui change un peu de ce qu'on a l'habitude de lire, notamment dans l'aspect romance. le monde d'Artala est bien décrit et riche, en dépit du peu de pages du roman (je ne dis pas qu'il est trop court, simplement que ça change d'avoir un ouvrage de fantasy en un seul tome). Cela tient sans doute au peu de personnages, ce qui a permis à l'auteure de dévvelopper honnêtement ce dernier. J'avoue avoir beaucoup aimé le personnage de Nausicaa ainsi que l'idée de l'élixir de jouvence de l'auteure. Les rebondissements sont bien dosés et le plan, ingénieux, nous permet de découvrir le monde d'Artala, de nous le représenter et de bien comprendre l'organisation de sa société... La fin m'a fait sourire mais j'avoue avoir eu un peu de mal avec le rapprochement avec le Reich ainsi qu'avec l'attitude hystérique de la plupart des personnages féminins (exception faite de Nausicaa, encore que...). Sur les deux histoires d'amour, j'ai trouvé ce parti pris intéressant, notamment dans l'absence de choix nécessaires, mais j'ai plus de mal avec le concept de l'amour qui éclot en deux secondes...


Ce que j'aime : le traitement du triangle amoureux, la reine Erato, elle est méchante mais on aime la détester, le monde d'Artala


Ce que j'aime moins : j'ai trouvé la partie "hors Artala" un peu moins convaincante, notamment dans ses rapprochements avec l'Olympe et le Reich.


En bref : Un bon ouvrage de fantasy qui remplit son contrat : nous emporter dans son monde, en dépit de certains détails que j'ai trouvé un peu expédiés et de romances trop vite écloses à mon gout


Ma note


6,5/10
Lien : http://jessswann.blogspot.fr..
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Après Un manoir pour refuge, Des packs d'eau pour l'Afrique et Liaisons périlleuse au Costa Rica, nous retrouvons Ena dans un nouveau registre : le fantasy ! Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle aussi à l'aise ici que dans ses autres écrits.

Je n'en dirai pas plus sur le contenu de l'histoire sous peine de trop en dire. ^^

L'histoire en elle-même est bien ficelée et nous emmène dans un monde où fantasy et sensualité font bon ménage mais les personnages ne m'ont pas séduite. Entendez par là que je n'ai eu de coup de coeur ni pour l'un ou ni pour l'autre.
Nausicaa est le premier lieutenant d'Erato. Elle prend tout le monde de haut, y compris Silas, mais après 5 minutes, seule avec lui, elle se retrouve dans ses bras à se rouler une de ces gamelles et plus...
Ensuite, elle rencontre Orfef, et pour une qui ne voulait pas s'engager et méprisait les hommes et les sentiments..Hop ! La voilà, cette fois dans le lit de Orfef.
Mais voilà, son coeur balance entre les deux hommes et le choix est cornélien, parviendra-t-elle à choisir ou les perdra-t-elle tous les deux ?
Quant aux deux hommes, tantôt ils méprisent la jeune femme, tantôt ils fondent complètement pour elle. Ils soufflent le froid et le chaud. Une fois, ils veulent tout faire pour la garder, et l'instant d'après, ils s'en désintéressent.

Mis à part cela, l'action est bien présente notamment (mais pas que là !) lors de leur périple en Gaïala pour garder le Protonodos ouvert afin de permettre à la reine Erato, l'approvisionnement en élixir de jouvence. Et Nausicaa s'avère être une redoutable combattante.
Et lorsque vous découvrirez ce qu'est véritablement Gaïala, vous comprendrez parfaitement le pourquoi de ce titre ' le dernier métro pour Artala', il fallait y penser et Ena l'a fait ! ^^
Lien : http://lesreinesdelanuit.blo..
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J'ai découvert Ena Fitzbel avec sa romance Des packs d'eau pour l'Afrique qui m'avait beaucoup fait rire. Aujourd'hui, je la découvre dans un autre genre qu'est le fantastique. L'ambiance ici est totalement différente et nous découvrons une autre de ses facettes plus sombre cette fois-ci mais toujours aussi addictive.



L'auteur nous transporte dans un monde tout droit sorti de son imagination, le royaume d'Artala. Il s'agit d'un royaume fort fort lointain où les nobles bénéficient de la jeunesse éternelle tandis que les autres classes vieillissent. Ces nobles boivent l'élixir de jouvence pour rester jeune. Seulement voilà il y a un soucis et le ravitaillement en élixir est compromis. La reine Erato va donc demander à son chef des armées d'aller chercher le seul qui puisse régler le problème: Orfef. Et pour être certain qu'il le fasse elle va lui faire une offre qu'il ne peut refuser. Accompagné de Nausicaa, la première lieutenant de la Reine, il va entreprendre un étrange voyage et essayer de déjouer un dangereux complot.

Tous les ingrédients de la fantasy sont réunis: magie, mystères, taverne, guerriers, peuples et espèces étranges, quête, amour, trahison...

Alors que j'ai tout de suite détesté la reine Erato qui est d'une méchanceté sans borne, j'ai adoré Nausicaa. C'est une femme très belle, qui sait se battre, qui ne se laisse pas faire et qui défend ses convictions. Cette dernière va devoir faire face à deux hommes complètement différents mais très attirants. Elle va aussi découvrir des secrets sur ses origines qui vont la bouleverser. Tout le monde la craint à cause de son poste et même si elle tient beaucoup à rester jeune, elle est différente des autres nobles du palais.
Silas lui c'est le guerrier de 40 ans séduisant et qui a beaucoup de maitresses. Il va beaucoup faire tourner en bourrique cette pauvre Nausicaa mais au fond c'est un homme droit et bon qui ne pense qu'à sauver son fils.
Orfef, c'est celui qui est le plus difficile à cerner: il a perdu sa fiancée qui a été exécutée sous les ordres d'Erato et depuis il vit reclus. Son comportement envers Nausicaa est assez versatile et perturbant. du coup j'ai eu un peu de mal avec la fin choisie par l'auteur.


Tous les ingrédients de la fantasy sont réunis: magie, mystères, taverne, guerriers, peuples étrange, quête, amour, trahison...
L'histoire est très rythmée et se laisse lire très facilement. J'ai juste trouvé que le passage où Orfef et Nausicaa sont en dehors d'Artala était plus proche de la science fiction que du fantastique ce qui m'a un peu perturbé par rapport au reste de l'histoire.
Par contre j'ai bien aimé les clins d'oeil à la mythologie grecque....


En bref, malgré quelques petits détails, ce fut pour moi une très belle découverte.


Boulimique des livres
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Erato est une reine qui a grand besoin d'un homme Orfef, afin de laisser un passage ouvert entre son monde et un autre. Ce passage est précieux pour elle et toute sa cour afin de garder cet aspect de jeunesse éternelle. Elle va faire envoyer son chef des armées, Silas, ainsi que son bras droit – pour ne pas dire exécuteur principal – Nausicaa, récupérer cet Orfef et permettre de continuer à vivre éternellement en toute impunité. Oui, mais le vrai problème, c'est que cet Orfef n'habite plus dans cette partie du royaume. Sans compter que Silas et Nausicaa, bien qu'une envie pressante se fasse entre eux, ils ne peuvent pas vraiment s'entendre. le voyage débutera sous des hospices plutôt sombres, pour revenir sous un climat plus qu'ombrageux.

J'ai beaucoup aimé la partie fantasy de l'histoire, à savoir les royaumes, les peuples décrits, la manière dont cette jeunesse est gardé. L'auteur a crée un monde qui semble réel. Son imagination est sans limite. Elle ne fait pas que créer un monde, elle lui fait prendre vie en donnant énormément de détails. L'aventure dans laquelle les personnages s'embarquent nous entraînent loin. Rebondissements, actions, trahisons, passions, tout est là pour passer un bon moment. Une quête de pouvoir qui va engendrer une guerre visible. J'ai adoré le rôle d'Erato, mais aussi celui de Galène. Deux femmes fortes, au tempérament acide. Oui, j'écris bien acide, car leur manière de parler de prise de pouvoir, de répondre aux autres, le fait de vouloir écraser les autres... tout est là pour montrer qu'elles ne sont pas là par hasard et savent quoi faire pour atteindre leurs buts.

J'ai aimé les passages avec le fils de Silas, la complicité qu'il peut y avoir entre le chef des armées et Orfef. L'amitié a tel un point de rupture ? Une réponse semble être donné entre les lignes. Il est vrai qu'entre Silas qui est un véritable coureur de jupons, ne dissimulant pas sa vraie nature envers les femmes, leurs promettant monts et merveilles pour obtenir ce qui se cache sous leur jupes... et Orfef qui a le coeur brisé depuis des années, ne regardant plus les femmes... ces deux hommes sont différents et pourtant complémentaires.

Par contre il y a des points qui m'ont déplu.

A commencer par le trio amoureux. Qu'une femme ou un homme, n'arrive pas à se décider, soit, mais que cela dure tout du long du livre et prenne la plus grande partie du roman, pour ma part c'était trop. Trop de romances entre les personnages, c'est ce qui m'a ennuyée fortement. J'étais très emballée par le fait qu'il allait y avoir un voyage et ainsi nous permettre de découvrir d'autres lieux que le palais d'Erato, mais ce côté romance arrive d'un coup, sans crier gare. le voyage en soit, la découverte de ce qu'il y a de l'autre côté des murs : oui, c'est bien décrit, bien montré, très tentant. Par contre les états d'âmes amoureux de l'un ou l'autre des protagonistes beaucoup trop long à mon goût.

Nausicaa est une jeune femme qui est forte et ne veut pas d'un homme. Ce personnage aurait pu me plaire si elle ne laissait pas sa libido faire des choix pour elle, car cela casse son caractère fort, à mes yeux bien entendu. Ensuite le fait de mélanger le "furher" à un moment donné a commencé à me perdre. Et lorsqu'enfin il a été question de dieux anciens, de l'Atlantide, j'ai coulé, malheureusement. Je pense, mais comme je dis toujours ce n'est que mon avis, il y avait largement assez avec le royaume d'Artala et les races spécifiées au fur et à mesure du récit, plutôt que d'en rajouter autant. Faire cette correspondance avec les mythes et notre propre histoire ne m'a pas emballé.

Ce que j'ai apprécié, c'est au niveau de la fin : elle répond à toutes les questions auxquelles ont aurait pu se poser. Qui gouverne ? Est-ce que le passage reste ouvert ? Qu'est ce qui donne cette jeunesse éternelle ? Avec qui elle va rester au final ?

En conclusion, j'ai trouvé que le côté fantasy était à tomber par terre, avec des personnages qui, même si je ne les ai pas tous apprécié, sont forts et bien travaillés. Ainsi que des descriptions de lieux qui sont vraiment bons. Beaucoup d'actions et de mystères jusqu'à ce que j'ai compris ce qu'était ce métro. le côté romance était de trop pour ma part – dans le sens où la complication des relations passent devant l'intrigue en elle-même – malmenant des personnages qui semblent forts et au final ne savent plus que tourner en rond pour savoir qui va aller avec qui.

Mon avis complet :
http://chroniqueslivresques.eklablog.com/le-dernier-metro-pour-artala-ena-fitzbel-a118525984
Lien : http://chroniqueslivresques...
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A Artala, les nobles sont dotés de la jeunesse éternelle, et il se raconte que le reine, Erato, obtient ce sésame par la magie. Or, la vérité est tout autre et elle risque de vite se retrouver à cours de cette potion qui leur procure la jeunesse éternelle. Pour ce faire, elle fait appel à Nausicaa, son premier lieutenant, Silas, son chef des armées et Orfef, un homme banni du royaume. Sauf que les deux hommes ne portent pas la première lieutenant dans leur coeur, qui le leur rend bien. du moins, seulement dans les premières pages...

Et c'est là que les choses se corsent. Déjà, envoyer les deux personnes les plus importantes du royaume pour ça alors qu'ils sont en pleine guerre, ce n'est pas le choix le plus judicieux. Ensuite, tout ce petit monde se déteste et nous explique bien les griefs qu'ils ont les uns contre les autres, mais ils finissent quelques pages plus loin entre les cuisses de Nausicaa, sans aucune autre forme de procès (pas en même temps, rassurez-vous). Et c'est là que ça me gêne, parce que ça se passe trop rapidement pour des personnes qui se détestent et qui en sont limite à se cracher à la figure deux pages avant. Tout ça manque de réalisme pour que je puisse pleinement l'apprécier, malheureusement.

Côté personnages, je ne me suis pas attachée à l'un d'entre eux en particulier, Erato est censée avoir un certain âge et pourtant manque de maturité. Nausicaa n'est pas mieux, qui se comporte en gamine et qui est une vraie girouette. du côté des hommes, ça manque de cohérence dans les décisions qu'ils prennent vis-à-vis de leur caractère, même si c'est pour faire fonctionner le triangle amoureux... Bah c'est un peu foireux, en faite.

Mais le tout se laisse lire, c'est fluide, Ena Fitzbel a du vocabulaire et sait de quoi elle parle, l'univers en lui même est bien monté. Je reste cependant assez surprise du mélange seconde guerre mondiale/mythologie grecque pour la trame, mais au final ça a du sens.

En bref, le dernier métro pour Artala est une romance fantastique qui gagnerait plus en cohérence si le tout était moins rapide et si les prises de décisions correspondaient réellement au caractère du personnage. J'en ressort mitigée, car je ne m'attendais clairement pas à ça.
Lien : http://onceuponatime.ek.la/l..
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http://lilybooks.weebly.com/sfff/le-dernier-metro-pour-artala-ena-fitzbel

Une jolie histoire de fantasy qui ne laisse pas indifférent. La plume de l'auteur en fait un petit bijou addictif et léger ! Lecture très agréable et surtout passionnante.
Lien : http://lilybooks.weebly.com/..
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Lorsque Silas Manartis entend Érato prononcer le nom de son meilleur ami, il entrevoit immédiatement les avantages qu'il pourrait tirer d'une telle requête. Ainsi, la reine sollicite le concours d'Orfef pour maintenir le Protonodos ouvert. Elle va jusqu'à demander son retour à la cour.
Pourtant, elle n'est pas sans savoir que ce dernier lui voue une haine féroce et que, jamais il ne lui pardonnera la disparition de sa fiancée. Il ne s'est pas contenté de rompre tout commerce avec Érato ; il s'est juré qu'un jour ou l'autre il causerait sa perte.
Silas ne veut pas nuire à son ami, de même qu'il souhaite sincèrement lui éviter une confrontation avec les démons de son passé. Cependant, il dispose d'une occasion inespérée de sauver Linos, son fils – la chair de sa chair –, qui se meurt à petit feu de la maladie brune. La reine seule peut le guérir. Elle en a le pouvoir, elle possède le remède. Et elle a cruellement besoin de l'aide de Silas. Il le sent, elle ne peut s'en cacher.
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Alors moi j'ai découvert Ena avec Liaisons périlleuses, que j'ai adorée d'ailleurs j'ai ensuite enchaînée avec Un manoir pour refuge (que j'ai aimé tout autant) et j'ai ensuite terminée par le Dernier métro et que dire si ce n'est que quoiqu'elle écrive, elle nous plonge à fond dans ces récits.
Le dernier métro pour Artala est un roman fantasy pur et je l'avoue ce n'est pas spécialement mon type de prédilection mais je me suis plongée à 200 % dans cet univers et je n'ai pas pu le lâcher avant de l'avoir terminé. La fin nous laisse pantois (non non je ne spolierai pas et vous laisse le découvrir :D) Bref foncez !!!!!!!!
Et encore bravo à Ena qui arrive à nous surprendre dans n'importe quel type de littérature... Chapeau bas !!!!!
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Ena Fitzbel nous fait découvrir un univers totalement différent du nôtre, où le pouvoir rime avec jeunesse éternelle. C'est un joli mélange de fantastique et de romance.
Au fil des pages, on découvre des personnages au caractère fort et aux sentiments explosifs, mais aussi des complots, des trahisons et de l'aventure. Ce roman se lit rapidement et on adhère très vite au style de l'auteur qui nous ouvre les portes de ce monde original. J'ai adoré suivre l'histoire de Silas, Nausicaa et Orfef.
Je suis restée sans voix quand j'ai lu l'épilogue, c'est une fin audacieuse qui colle parfaitement aux personnages et j'ai adoré, il ne pouvait en être autrement.
"Un coup de coeur pour la plume de l'auteur, c'est une très belle découverte et je n'hésiterai pas à lire ses autres romans.
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