Citations sur Thérapie (101)
Quand vous ne voulez pas que quelque chose soit vrai alors ce n’est pas vrai , un point c’est tout .
« L'espoir, c'est comme un éclat de verre planté dans ton pied. Tant qu'il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas.
Tandis que si on te l'enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais, au bout du compte, tu pourras réapprendre à marcher normalement. C'est ce qu'on appelle le deuil. »
Quels seront les prochains personnages à venir peupler vos cauchemars ?
L'espoir, c'est comme un éclat de verre planté dans ton pied. Tant qu'il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas.
Tandis que si on te l'enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais, au bout du compte, tu pourras réapprendre à marcher normalement. C'est ce qu'on appelle le deuil. Et je crois que tu devrais finir par t'y mettre.
Au lieu de cela, Larenz épuisait toutes les forces qui lui restaient à empêcher que l'insupportable certitude qu'il portait en lui remontât jusqu'à sa conscience. La vérité était déjà évidente. Elle était là, devant lui, tel un noyé qui n'aurait été séparé de ses sauveteurs que par une fine couche de glace. Mais cette glace, Viktor Larenz n'était pas prêt à la briser.
Du moins, pas encore.
L’espoir, c’est comme un éclat de verre planté dans ton pied. Tant qu’il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas. Tandis que si on te l’enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais, au bout du compte, tu pourras réapprendre à marcher normalement. C’est ce qu’on appelle le deuil.
-Quand as-tu vu ta fille pour la dernière fois ?
-Il y a une demi-heure, ici, dans la salle d'attente, répondit-il l'ai absent. Elle est rentrée dans ton bureau pour la consultation.
Le vieux médecin secoua la tête, l'air inquiet, et se tourna vers Maria, qui les avait suivis.
-Je n'ai pas vu Joséphine, dit-elle à son patron. Et elle n'avait pas de rendez-vous aujourd'hui.
La vérité est comme un puzzle, à ceci près que le nombre d'éléments qui la constituent n'est pas connu à l'avance. Or elle ne peut apparaître qu'une fois que tous les morceaux de la mosaïque ont été assemblés.
A force de se poser toutes ces questions, Viktor en avait oublié la règle élémentaire que son mentor et ami, le professeur van Druisen, lui avait enseignée. "Ecoutes tes patients. Ne tires pas de conclusion hâtive, mais consacres-leur toute ton attention".
Quand il y repensait aujourd'hui, Viktor en était convaincu : si, lors de cette première rencontre, il avait été plus attentif, s'il avait su décoder tous les indices, il aurait compris bien plus vite que quelque chose ne tournait pas rond.