Il y a le vent, la brume qui parfois se lève au-dessus de la grande rade et enveloppe tout, de l’île Pelée jusqu'à la montagne du Roule, des ruelles du centre ville jusqu'aux boulevards d'Octeville, il y a aussi la pluie qui lustre de temps en temps les pontons de Port Chantereyne et donne à la pierre de schiste un joli vernis, il y a dans ce "bout du monde", ce Finistère normand, quelque chose d'incomparable et d'inimitable.