Madame Bovary.... Ou le bouquin que... Passé la quarantaine, je me dis que j'ai des manques un peu craintifs niveau littérature, niveau littérature dite grande, aussi comme je suis pas une trouillarde de temps en temps je me fais un classique de chez classique, que c'est un monument de la littérature qu'il faut avoir lu quand même, si quand même, enfin vous voyez le genre...
Donc là.... paf Flaubert et son Emma... sa Bovary.... et heu...
Je vais vous faire l'impasse du pitch... Je pense que le pitch il est connu...
Bon au cas ou non :
Pitch :
C'est l'histoire d'Emma.
- Humm, c'est tout ? C'est un peu court...
- Comment ça c'est un peu court ? Bon..
Donc, c'est l'histoire d'Emma... Emma et bin... elle s'ennuie grave sa race... La vie, du moins la sienne, elle n'a rien à voir avec ce qu'elle a pu lire dans les livres... et ça la gonfle ! Elle, elle veut une vie comme dans les livres, les romances passionnées, les aventures à l'autre bout du monde, les palais de sultan, et les dorures de la noblesse.. Seulement là où le bas blesse, elle est issue d'une famille de paysans, vit dans un bled en Normandie le pays du cidre, des bocages et des vaches et est mariée avec Charles, sorte de médecin pas super glamour... Donc elle s'ennuie grave... et comme elle s'ennuie elle rêve et elle fabule, et surtout dépense des ronds qu'elle a pas pour combler le vide de son coeur meurtri... et aussi fait cocu son mari... parce qu'elle veut de la passion dans sa vie, de l'amoooooour... et comme qui dirait ça va pas super bien se passer... et pour tout, les ronds et les amants... Je condense. ^^
Et Flaubert, comment dire...
C'est pas que c'est un peu compliqué non... c'est pas ça..
Même si objectivement de temps en temps faut aller jeter un coup d'oeil dans le dictionnaire parce que bon, quand même y a des mots, bin que je ne connais pas, remarquez on ne peut pas je crois, connaître tous les mots..
Surtout au niveau de la mode, mazette, il aime bien parler tissus et chiffon le Flaubert... Et puis ça a été écrit y a une paye, et depuis cette époque-là des mots, certains ont disparu de notre usage, rip paix à leurs âmes, y en avait des sympas..
Bref...
Non à lire franchement c'est pas compliqué... Certain pourrait dire que c'est un peu chiant - et je ne fais pas parti du lot-, mais compliqué certainement pas... Ou aussi on peut dire à la place de chiant, super bien construit, poétique, ciselé et tout et tout... ça ça dépend de la sensibilité de chacun par rapport à un style donné..
Y a des styles qui vous émeuvent, y en a où vous pannez rien, et d'autres où vous pannez des trucs mais qui vous laissent de marbre... ça c'est normal...
Non Flaubert a son style à lui, faut dire ce qui est, j'avais pas encore lu de choses comme ça...
Des fois ça le fait, il a des constructions, des phrases voir un rythme et franchement ouais.. rooh du grand art... vraiment !
Des fois non... des fois c'est plissage de sourcils genre « heu... c'est quoi cette phrase, mais qu'est ce que ça veut dire ? » des fois... Mais objectivement ça vient peut-être -sûrement d'ailleurs- de moi.
Mais je dois dire que malgré parfois mon non pannage pour certaine phrase, cela ne porte pas vraiment de préjudice sur le total, parce que Flaubert s'étale, il aime bien ça... Il redit, rajoute allonge étire empile les choses, comme pour vouloir nous les mettre sous le microscope, nous faire bien comprendre la chose, l'endroit, le lieux, voir l'ambiance...
Il n'est pas avare de description le bougre, il est dans l'inventaire il aime bien ça...
Bon moi la description j'aime, enfin cela dépend de comment elle est faite, la description vivante d'un Zola parfois, où tout nous saute dessus, les images, les cris, voir jusqu'aux odeurs.. Enfin quand Zola n'y va pas lui non plus niveau question inventaire..
Les seuls inventaires que j'aime c'est ceux à la Prévert.. sinon ça m'émeut pas des masses, les inventaires j'en ai fait un certain nombre et faut admettre c'est quand même vachement chiant, et ça a pas grand intérêt...
Donc lui Gustave, les inventaires il aime bien, par le menu on sait tout d'une casquette moche, ou d'une charrette casse-gueule, voir d'un gâteau de mariage avec lac de confiture... bon... si tu veux... C'est sa construction des choses, sa vision, il empile, couche après couche, de la base au sommet et pour tout... Chaque couche a son importance, chaque couche construit l'autre, chaque couche amène à l'autre, chaque couche renvoi à l'autre, ou annonce même la suite... et pour ses personnages c'est pareil... et pour sa construction narrative itou... ^^ -j'aime bien itou comme mot ^^- sorte de construction narrative matriochka.
Bon je vous parle pas de l'histoire, vu que l'histoire y en a pas... c'était d'ailleurs voulu par le père Gustave d'écrire un livre sur rien, c'est lui qui l'a dit... là.. je trouve l'idée un peu louche mais si tu veux... c'est toi qui écrit, tu fais comme tu le sens...
Donc un livre sur rien, sur l'ennui... sur le vide... mais en même temps, sur le désir aussi... le désir de plein, vu que y a rien... Quand y a rien y a toujours le désir qui accompagne, et pour peu importe d'ailleurs, le mieux, la paix, la richesse, la femme du voisin, l'herbe verte du pré d'à côté...
La convoitise... Dieux qu'elle convoite la mère Emma...
L'ennui (tient on y revient) c'est qu'elle convoite mais qu'elle n'a aucunement de passion en elle pour au final arriver à ses fins de façon pérenne… l'imagination l'emporte toujours sur la réalité, et la facilité sur l'effort. Elle me fait penser à une vache qui regarde passer les trains en broutant malgré tout l'herbe mais en rêvant à celle de l'autre côté de la voie.
J'ai détesté cette bonne femme, je n'ai éprouvé aucune empathie ou pitié pour elle...
Pire, même... mais j'ai un coeur de pierre je suis bien au courant... ça explique peut-être, et pourtant, des passions, des désirs, des rêves j'en ai plein la tête et plein le coeur... des fantasmagories romantiques... pire qu'elle, on aurait pu se comprendre... Seulement elle est d'un égoïsme assez consternant, pleutre tellement pleutre ( et ne venez pas me dire que c'est l'époque qui veut ça, même à cette époque des femmes ont poursuivit leurs rêves et quels qu'ils soient.. je dis pas que c'était facile, de toute façon suivre son rêve quelle que soit l'époque n'est jamais facile pour une raison ou pour une autre d'ailleurs)...
La bêtise... Dieux que cette femme est bête...
Ils sont tous bêtes... malgré leur position sociale, malgré leurs études ( on a un pharmacien, un médecin, un clerc de notaire, même Emma est cultivée) n'empêche ils sont bêtes...
De l'incapacité à voir les autres, et tous... Elle seule compte, elle et tous ses délires... un ego aberrant, le truc limite pathologique, une sensibilité de bulot. On m'avait présenté Emma passionnée... Emma n'est pas passionnée, elle n'est rien... une pauvre vache et je suis méchante pour ces pauvres ruminants.
L'égoïsme...
Bon... le truc, c'est que ouais elle est dépressive ok... une bonne grosse dépression des familles c'est certain.. bon et on ne jette pas le cailloux à une personne malade aussi... enfin, normalement.. Ouais normalement on éprouve empathie voir pitié pour le/la pauvre hère..
Seulement vu que j'ai un coeur de pierre, et bien non... je lisais la merveilleuse écriture de Flaubert qui coule et chante comme un ruisseau et je pensais « mais qu'elle est C*** »... ou bien « la pauvre truffe... » voir à un moment « mais ouais vas-y saute ! »... tss...
Donc l'histoire d'Emma, un livre soit disant sur rien, sur l'ennui mais un livre sur la convoitise, la bêtise, l'égoïsme...
Et également un livre, une critique sociétale dite au vitriol (pour l'époque) mais là aussi, bon bin on a toujours les mêmes maintenant... entre les yaka faukon genre le père Homais, médisant et immobile, inspirant les pires idées à d'autres sous couvert de bons conseils ou de pseudo culture alors qu'en fait le gars est d'une bêtise crasse, c'est le personnage le plus vil et le plus ridicule de l'histoire... entre celui dans sa ligne de pensée, genre le curé ( mais qu'attendre d'un curé) qui ne voit rien d'autre, et complètement à côté de la plaque, entre le Charles un peu mou du genou, impressionnable malléable et écoutant bien trop les autres, voulant plaire sorte de pâte à modeler dés le départ... mais pourtant gentil et amoureux, et là passionné.
En fait Charles, le bon Charles est le seul passionné de l'histoire, il aime sa femme comme un dingue, même s'il ne sait pas le montrer...
C'est étrange aussi, mais je ne vois pas Charles si falot, il a essayé, et chaque élan, fut tué dans l'oeuf dés le début par sa conne de femme.. désolée j'ai pas pu m'empêcher ^^
élan de tendresse, avec câlin de la part de Charles réaction d'Emma : « vous allez me chiffonner. »
élan de divertissement de la part de Charles réaction d'Emma : Danser ? Vous n'y pensez pas ! ( hum... C** finissant par asse, et vient pas te plaindre après que ton mec fasse plus rien, dés qu'il essaie, dés qu'il a envie tu le jettes.)
Charles veut sincèrement le bonheur de sa femme, il s'inquiète de sa santé, il dépense des ronds pour un cheval, la pousse a faire de la musique... Bref le pauvre, quand on sait ce à quoi finalement va servir tout ça, le cheval et la musique...
Finalement j'ai beaucoup plus plaint Charles qu'Emma... Parce que se retrouver avec une nana qui rêve de s'en prendre une, de se faire taper dessus, pour pouvoir ressentir des trucs parce qu'au final elle se rend compte qu'elle n'a aucune raison de le détester et que là ça lui en donnerait une .. bin je me dis gars t'es pas sorti le cul des ronces, et pour elle ça frise la pathologie mentale !
Donc oui bon y a rien de bien nouveau sous le soleil, la nature humaine n'a pas évolué d'un iota, les contextes, la techno oui, mais l'homme reste le même et c'est à mon sens plutôt affligeant...
La seule chose qui a évolué au final, c'est la possibilité donnée aux femmes de faire des trucs, de bosser, de divorcer de se séparer, de voyager, et tutti quanti.. en gros d'être, à l'époque d'Emma même si cela existait, il y a toujours eu des rebelles, c'était beaucoup plus difficile que maintenant...
Et franchement, vu comment Gustave nous la présente, et bien même maintenant, je suis pas certaine que la donne aurait tant changé.. Elle aurait pris des crédits, elle aurait trompé son mari, et elle se serait plaint de la même manière en jetant la faute au monde, à tous les autres, parce que même de nos jours y en a des comme ça... toujours...
Et je ne suis pas certaine que Flaubert ai écrit Madame Bovary en faveur de la femme, comme j'ai pu le lire ça et là. Je ne suis franchement pas certaine que se soit un livre féministe, du tout même. Un pamphlet pour la libération de la femme, là clairement je ne crois pas ( j'ai peut-être tort).
Parce que Flaubert -enfin je l'ai ressenti comme ça- ne fait pas d'Emma un personnage sur lequel on peut s'apitoyer et dont on voudrait prendre le parti, la rendre sympathique, partager ses souffrances, partager ses rêves et voir au final les barrières dues à son sexe. Je n'ai jamais ressenti cela. J'ai même ressenti le contraire.
Emma se retrouve dans cette position, non pas à cause de son sexe, mais à cause de sa bêtise, son indolence et sa paresse. Bon bien sûr de temps en temps elle souhaite avoir été un homme, pour pouvoir faire des trucs, mais là encore je ne l'ai pas ressenti comme un vrai désir, mais de nouveau comme un rêve puéril, solution qui dans sa tête aurait tout résolu (comme si)...
Emma est molle... de l'ordre de la mollesse, ce n'est pas une ce que j'appelle une faiseuse, pour faire il faut du courage autant que du rêve... de l'énergie, et de l'énergie elle n'en a pas une miette...
Paresseuse molle, égotique, narcissique, égoïste et avec au final aucune sensibilité, aucun amour pour rien... si ce n'est les rêves puérils qu'elle imagine, les lectures à l'eau de rose qu'elle prend pour argent content..
On en a vu d'autres, bonjour les filles qui ont pris les Disney pour ligne de conduite et qui attendent leur prince charmant ( qu'elles ne trouvent jamais bien sûr...)
Donc franchement je ne suis pas certaine que soit un livre dit féministe... perso je le vois pas du tout comme ça...
Je me doute que pour l'époque le roman fut comme une sorte de pavé dans la mare.. oui je sais procès toussah toussah toussah...
Mais ce qui est assez amusant à ce niveau-là, le procès pour immoralité – l'adultère féminin passait mal à cette époque- Je ne suis pas certaine (enfin je ne sais pas) si la critique générale de cette petite bourgeoisie, cette manière de penser, de faire (et pour tous), le cynisme de Flaubert, de nos jours on dirait qu'il se fout de leur gueule, a été vue. Dieux comment Flaubert se moque de ces gens et de cette manière de penser, de faire, de parler, de voir la vie et pour tout le monde, tout le monde en prend pour son grade. Mais c'est fait avec tant de beauté et de subtilité, de finesse...
Sur l'adultère en fait, je ne sais pas trop quoi dire, à part que c'est ultra convenu, Emma veut se rebeller et ressentir, et les regarde tous avec dégoût, les déteste tous, mais elle choisi au final pour se démarquer et se soit disant libérer du moyen le plus convenu d'entre tous.. y a pas plus convenu que l'adultère faut quand même dire ce qui est, convenu, facile, de l'ordre de la transgression basse... Pourtant même là, c'est de nouveau elle, qui fait fuir ses amants ( là aussi, franchement ses choix de mecs laisse à désirer), par ses actions, ses rêves et ses délires.
Emma est toujours insatisfaite, et elle le sera toujours. Rêve de possession, et quand elle les obtient ce n'est jamais assez, rêve d'amour, mais elle n'est pas capable de voir ou de ressentir celui qui est là, juste à côté d'elle, donc plantage en grand et due forme, rêve d'aventure et quand son aventure (ses aventures arrivent) se retrouve de nouveau insatisfaite et de nouveau dégoûtée non par elle-même, mais par ceux qu'elle côtoie... elle vaut tellement mieux que ça.. Et non Emma tu ne vaux pas grand chose ( là je vais pas me faire des ami(e)s...^^).
Le truc, qui m'a interpellé, notre Gustave nous fait un portrait au vitriol de l'humain, le petit monde bourgeois provincial ok... Mais c'est un portrait que je trouve biaisé, Gustave se défendait d'être un naturaliste et à ce niveau-là je suis bien d'accord, parce qu'il ne regarde qu'un seul côté de la pièce... un seul pan de la montagne, un seul aspect... le moche.
Et cela n'est à mon sens pas très crédible pour un naturaliste, dans son roman y en a pas un pour rattraper l'autre, à part peut-être le papa d'Emma, le père Théodore, le seul au final qui a trouvé pour moi une quelque grâce, une réelle humanité et le seul au final qui a ressenti de réelles émotions, tant quand il raconte la perte de sa femme, que quand il marie sa fille, ou qu'il écrit que c'est grave la mouise à la ferme, putain de tempête à la con, le toit de la grange a foutu le camp, et qu'il aimerait bien rencontrer sa petite fille... (bon c'est pas dit comme ça, c'est mieux dit, c'est Flaubert ^^)...
Donc non point de naturalisme chez Flaubert, j'ai souvenir que le naturaliste raconte les deux facettes de la pièce, même dans les endroits les plus sombres et les plus noirs, mention spéciale au père Zola et sa Gervaise (ou l'horreur mais pas que...)...
Flaubert à écrit, un drôle de truc, un mélange de symphonie pastorale choubidou, clair qu'il connaît bien la nature, la campagne limite qu'il l'aime, allez savoir - les seuls moment où j'ai vu une lumière et une joie certaine, sont dans les souvenirs d'enfance de Charles avant son entrée en pension, je pense d'ailleurs qu'il aurait fait un fermier tout à fait honorable et heureux... mais pâte à modeler, maman papa toussah... bref...
Donc un côté pastorale, mais également bourbier marasme, marécage glauque de l'humain, l'humain franchement Flaubert il ne mise pas un copec dessus ( enfin cet humain là).. d'un côté ouais je le comprends, l'humain c'est quand même vachement moche...
Après bon... En fait si j'ai entamé cette lecture, malgré mon peu de classique au compteur, et malgré le fait que je ne me sente aucunement légitime pour lire de telles choses (vu le niveau d'étude au compteur aussi) c'est à cause de Nabokov, et de ses cours de littérature donné à des étudiants... j'en ai lu certain et celui sur Flaubert et son Emma, est de l'ordre du dithyrambique... wahh.. tellement que ça m'a donné envie...
Bon pour Nabokov je suis une mauvaise lectrice, une très mauvaise lectrice, m'en fout.. au moins je lis des trucs nah !
Et d'ailleurs après avoir lu le bouquin de Flaubert, Emma est la pire lectrice qui soit pour lui... la pire ! Elle a tous les défauts qu'il exècre.
Et je ne suis pas super d'accord avec Nabokov là-dessus, à mon sens il est tout à fait possible de ressentir des émotions à la lecture d'un texte ou d'une histoire, et pour autant voir, appréhender comprendre, un fond, une forme et un message. Et franchement je me dis que l'un n'empêche pas l'autre.
Et pour Flaubert j'ai vu et comprends ce que Nabokov explique à ses étudiants ( même si au moment de la lecture, je dois bien avouer le cours de Vladimir m'était sorti de l'esprit). Flaubert a une construction narrative magistrale, un style ciselé.
L'art de la littérature...
Et certes, à ce niveau-là, on pourra dire ce qu'on voudra, une chose est sûre Flaubert y va pas avec le dos de la louche...
Même s'il faut le dire aussi, c'est de l'ordre de l'implicite, et de la subtilité, même si ses personnages portent des gros sabots de bois, il n'en est pas de même pour Gustave, les pendants, les métaphores, les sous texte pullulent dans son roman... je dois dire certains m'ont sauté au visage ( avec un mazette joli de ma part) d'autre je n'ai pu que les supputer, impression parfois diffuse que là y avait sans doute un truc.
Bon bin voilà, j'ai lu Madame Bovary de Flaubert.. je ne sais pas si ce que j'ai écris a du sens, voir même si j'ai bien pris le bouquin, compris comme il faut...
Et franchement je ne sais pas si cela me laissera un souvenir impérissable, peut-être... mais au moins je l'ai lu... c'est déjà ça. ^^
Je suis un peu moins bête aujourd'hui qu'hier... j'ai appris plein de nouveaux mots – ou anciens mots, ça dépend comment on le prend- qui certes seront bien difficiles à caser dans une conversation. ^^
Pour le prochain je crois bien que je vais aller faire un tour chez les Russes... j'ai un gros Dostoievski qu'est là, une histoire de démons ou de possédés... même pas peur !
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