Citations sur James Bond 007, tome 4 : Les diamants sont éternels (Ch.. (14)
(Tiffany Case s'adressant à Bond)
« C’est moins drôle à vivre qu’à raconter. »
-Tu portes toujours ce matricule à double zéro qui indique que tu as le droit de tuer?
-Oui, fit simplement Bond, je l'ai toujours.
-Dans ce cas, reprit Leiter en se levant, allons-nous coucher, pour que tu puisses reposer l'œil qui te sert à viser. J'ai dans l'idée que tu vas bientôt en avoir besoin.
Avec l'aurore, l'avion s'éveilla et s'anima. A sept mille mètres au-dessous, on commençait à distinguer les maisons, pareilles à des grains de sucre en poudre renversés sur un tapis marron. Rien ne bougeait à la surface de la terre, si ce n'est de temps en temps le mince panache de fumée d'un train, la trainée blanche d'un bateau de pêche dans un détroit, ou l'éclat des chromes d'une voiture miniature, renvoyé par le soleil.
C'est Wint,lança aussitôt Leiter .Et l'autre , C'est Kidd. Ils travaillent toujours en équipe.Ce sont les tueurs d'élite des Spang.Wint est le roi des salopards .Un sadique. Il adore son boulot. Et il a la manie de sucer cette verrue. On l'appelle"Prout!Prout!" .par derrière naturellement.
Les diamants allaient survivre à cette épreuve, légèrement décolorés peut-être, mais indestructibles et aussi immuables que la mort elle-même.
Toutes ces histoires de mort et de diamants, c’était bien trop pompeux. Pour Bond, ce n’était que la fin d’une aventure, une de plus. Une aventure à laquelle la réplique ironique de Tiffany Case pourrait servir d’épilogue. Il revoyait encore en pensée la bouche ardente et ironique de la jeune femme articuler : « C’est moins drôle à vivre qu’à raconter. »
Ils mentaient. La mort, c’est pour toujours. Mais les diamants aussi sont éternels.
Les chances de gagner sont presque aussi faibles qu’à Las Vegas. Mais quand il y a un bon crieur, c’est toujours amusant et il paraît qu’il y a pas mal de grosses fortunes à cette traversée.
Près des yeux, près du cœur !
Le saumon fumé de la Nouvelle Écosse ne valait pas l’original écossais, mais le brizzola était bien à la hauteur de sa réputation. La viande était si tendre qu’on aurait pu la couper à la petite cuiller.