Prière de laisser ses armes à la réception

On se laisse vite séduire par le style de Daniel Fohr. Publicitaire de son état, il a la plume facile, vive, alerte, drôle... Une bénédiction pour la mise en scène du personnage principal de son roman : le nouveau propriétaire d'un petit hôtel qui ne paie pas de mine... (...)


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Si j'ai rapidement apprécié l'humour décalé qui émaille les réflexions souvent pertinentes de ce gérant d'hôtel un peu parano, je n'ai guère accroché à l'histoire. Malgré les multiples péripéties, le rythme de l'histoire m'a paru soporifique à certains moments et j'ai eu du mal à finir le livre.