Journal d'Anne Frank

Bon tant pis si je me fais huer par les fans de ce livre, ma devise étant "même pas peur" je me lance : je n'ai pas aimé !
Il ne m'a pas été imposé, je l'ai lu de moi-même quand j'étais adolescente c'est donc dépourvue de préjugés que je me suis plongée dans le journal de cette adolescente juive.
Elle écrit bien, très bien même mais son histoire ne m'a pas marquée plus que ça.
C'est triste pourtant, je prends très à coeur la condition des juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale mais là je ne dirai pas que je suis restée de marbre mais il s'en est fallu de peu.
Ce n'est que mon sentiment de lectrice mais je trouve qu'il y a des livres bien plus poignants sur les drames juifs.
J'ai mis deux étoiles pour la qualité de l'écriture et le style, le reste je n'ai vraiment pas adhéré, désolée.
A défaut de le conseiller, je dirait qu'il est à découvrir après tout les goûts et les couleurs ça ne se discute pas, c'est pas parce qu'il m'a déplu qu'il ne plaira pas à d'autres lecteurs.

Deux étoiles seulement... bien sûr, c'est un magnifique témoignage historique sur cette horreur de la shoah, raconté de plus à travers le journal intime d'une jeune fille de 13 ans, qui suscite l'émotion. Il est donc bien naturel qu'un tel livre figure aujourd'hui parmi les plus vendus dans le monde. Pourtant, je n'ai pas aimé. Certes, les qualités morales et intellectuelles de la jeune Anne ressortent, mais le style m'a rapidement ennuyé. le style journal intime ? le thème, qui en soit m'intéresse, mais pas à travers les romans ? Peut-être... en tous cas je reconnais la valeur historique de ce livre, mais ne partage pas les avis sur sa qualité littéraire. Excellent, bien sûr, pour une jeune fille de 13 ans, mais pas suffisant pour me captiver en tant que lecteur. J'ai d'ailleurs préféré le film de 2009, ainsi que Shoah, la Liste de Schindler, le Pianiste, la Rafle, la Vie est belle, Nuremberg... qui m'ont tous profondément touché... comme si l'image m'était nécessaire pour croire cela possible... honte à moi, mais c'est ainsi

Je risque encore de me faire des ennemi(e)s.. mais qu'à cela ne tienne, je me suis jurée d'être honnête : je n'ai absolument pas accroché au Journal d'Anne Frank. Voilà, c'est dit..

Tout d'abord, je tiens à dire que j'ai trouvé Anne Frank assez insupportable avec son coté enfant gâté, mais surtout complètement nombriliste et égocentrique. Certes l'exercice du journal intime s'y prête bien, mais quand même !

De plus, je trouve qu'Anne Frank se victimise sans cesse pour attirer l'attention (la lettre qu'elle écrit à son père en est la preuve la plus flagrante), ce qui m'a profondément énervé pendant environ un tiers du livre.

Sa soeur Margot m'a fait beaucoup de peine car elle est véritablement seule et n'a pas de confident au sein de l'annexe, contrairement à Anne Frank qui est proche de son père et qui se rapprochera de Peter.

Toutefois, le Journal d'Anne Frank reste un rarissime témoignage d'une adolescente juive ayant vécu et subi les atrocités de la seconde guerre mondiale et pour cela, je ne peux me permettre de porter un jugement sur son histoire personnelle, surtout eu égard aux circonstances dans lesquelles elle a vécu les dernières années de sa vie.

Je tenais enfin à souligner que j'étais admirative de l'entraide et la solidarité qui a pu exister entre les habitants de l'annexe et les employés du père d'Anne Frank. Ceux-ci les ont réapprovisionnés, ont fait leurs moindres commissions et leur ont rendu visite très souvent afin de leur offrir un peu de compagnie.

Bien évidemment, ce type de comportement ne peut que nous renvoyer à nous même.. Si de tels évènements se produisaient aujourd'hui, que ferions-nous ? Aurions-nous l'âme d'un complice ou d'un bourreau ?
Lien : http://mademoisellechristell..

J'aurai voulu pouvoir ressentir les craintes, les angoisses ou simplement la peur d'une adolescente en pleine guerre, qui plus est juive. Avoir un point de vu plus spontanée que celui d'un adulte pendant cette période inhumaine. Or, Anne Frank réalise très peu sa situation. Et son journal, fait surtout le récit de sa crise d'adolescence. Ce n'est pas un témoignage historique bouleversant mais bien plus commémoratif. Et c'est pour cette dernière remarque qu'il se doit d'exister. Il rend hommage à la famille Frank ainsi qu'à tous les juifs victimes de ce génocide. Mais il n'en est pas pour autant saisissant.

Un grand classique aujourd'hui que le journal d'Anne Frank, et pourtant je n'ai pas compris l'enthousiasme pour ce livre. Certes Anne était une fille juive qui vivait cachée pendant la seconde guerre mondiale pourtant j'ai lu bien d'autres témoignages plus complet, plus émouvant, plus... Je pense être passée à côté de ce qu'est censé apporter son regard d'enfant à ce récit. Je ne retrouve que le journal d'une pré-ado qui se questionne sur la vie comme tant d'autres ados et qui bien qu'elle ait vécu l'horreur de la seconde guerre mondiale, n'en rend pas vraiment compte dans son journal.

Le Journal d'Anne Franck a été une des lectures imposées lorsque j'étais au collège. Et comme beaucoup, je l'ai lu parce qu'il fallait le lire. Cela ne m'a pas franchement ennuyée bien que certains passages aient été un peu longuets.
D'autres romans relatifs à cette sombre période m'ont beaucoup plus intéressée et renseignée sur le sujet.

Bon, je n'ai pas vraiment apprécié la lecture du journal d'Anne Franck. Je vais me justifier.
-même si c'est un témoignage tragique de la seconde guerre mondiale, les histoires de disputes avec sa mère et tout le reste m'ont plus agacé qu'autre chose.
Après, c'est une question de point de vue, mais pour moi, il existe des témoignages bien plus marquant que celui-ci.
Je lui ai mis deux étoiles car il est intéressant de découvrir la vie cachée et dépendante de la discrétion d'autres personnes, et que malgré tout, ce qui est arrivé à Anne Frank est terrible.

Lecture obligatoire dans le cursus scolaire, je l'ai lu en ronchonnant, et donc en diagonale (je n'aime pas les biographies on dirait des fois de la télé réalité).
Au final, et comme toute biographie: la monotonie, et comme d'habitude avec les biographies, les aspects négatifs de la vie. Je me demande pourquoi elle insiste sur le fait qu'elle fréquente une école JUIVE, a une famille JUIVE... Si j'avais su qu'il aurai fallu rester discrète je n'aurai jamais mentionner ces termes ... Heureusement que ce journal n'est pas tombé entre de mauvaises mains avant sa parution, sinon jamais on aurai su son récit.
En fait je ne comprend pas l'engouement qu'a eu ce livre dans le monde, c'est juste un cours d'histoire raconté à un autre point de vue.

J'avais hâte de découvrir ce livre. Et pourtant, je n'ai pas aimé. Alors oui, je prends le risque de me faire huer mais bien que je tienne à coeur la condition des juifs durant la seconde guerre mondiale, bien qu'il s'agit d'un thème très douloureux, ici, je n'ai pas adhéré.
Seuls les dernières pages du livre m'ont fait chaud au coeur quand on sait pourquoi il s'agit des dernières pages du journal de Anne. Difficile de ne pas refermer ce livre avec un frisson en effet.

Mais au delà de cela, je me suis ennuyée. Sa relation avec sa famille, ce qu'elle pense de sa mère, son premier amour, les petites histoires de famille qui arrivent alors qu'il sont cachés. Tout cela occupe une grande majorité du livre et ça, non.
En revanche, la peur, ce qu'elle entend de l'extérieur, tout cela, oui. Malheureusement, cela est très minime dans le livre.

Alors il est dur de critiquer un tel livre, je ne dis pas qu'il est mauvais mais tout simplement, pas fait pour moi.

Le Journal d'Anne Frank de la jeune auteur du même nom raconte les péripéties quotidiennes de deux familles juives contraintes à la clandestinité dans l'Annexe dans laquelle ils vivent cachés. L'histoire commence avec la convocation de l'aînée d'Anne, Margot devant les S.S. et se termine...Trois jours avant leur arrestation par la Gestapo après avoir été dénoncés.

Ce témoignage tristement célèbre fait aujourd'hui partie des grands classiques de ce qu'on pourrait appeler la littérature de guerre. Il a été lu et donné à lire par des générations de collégiens et pourtant à sa lecture, je me suis réellement demandé pourquoi cet engouement...

Le Journal peut être clairement divisé en deux moitiés : la première dans laquelle Anne est encore très jeune (13 ans). le style est familier, plat et oralisé, assez désagréable j'ai trouvé. Elle décrit avec une plume assez assassine les gamineries des adultes qui se crêpent le chignon (qui les blâmeraient ? Ils demeurent enfermés toute la journée à manger des patates pourries sans voir la lumière du soleil, entassés les uns sur les autres, c'est suffisant pour mettre n'importe qui sur les nerfs...). La jeune Anne est plutôt égocentrique et gâtée, convaincue que le monde entier lui en veut et pour cette raison, la lecture de la première partie est assez difficile.

Pourtant, dans la deuxième moitié, Anne mûrit énormément et au fil des pages, elle devient plus mature, plus réfléchie. Elle nous livre ses réflexions sur l'actualité, sur le déroulement de la guerre et surtout, et c'est sans doute ce qui a fait le succès de ce témoignage, un beau message de paix et d'espoir pour les générations futures, une foi inaltérable en l'humanité et en l'avenir. Dommage que la barbarie des nazis ne soit vue finalement que de loin.

Difficile de dire d'un tel classique et d'une histoire qui a autant ému : je n'ai pas aimé ou j'ai été déçue et pourtant, la lecture m'en a été vraiment pénible. J'aurais presque trouvé la postface plus intéressante, là où on décrit le sort terrible qui attendait les Frank à l'extérieur...C'est un des seuls moments du livre où j'ai été vraiment émue : voir tous ces gens dont on a partagé le quotidien morts les uns après les autres de la plus horrible des façons...

En résumé c'est une histoire peu commune sur une période particulièrement sombre de notre histoire racontée par une adolescente qui émeut par son optimisme et sa candeur, agace parfois par ses jugements à l'emporte-pièce, impressionne souvent par sa maturité, sa lucidité et son courage. On regrettera cependant la vision assez limitée de Anne sur ce morceau de l'histoire qu'elle a vécu et le côté assez anecdotiques des ses entrées.C'est à lire au moins une fois je pense. Pour ma part, je préfère me tourner vers Primo Levi pour un témoignage plus poignant des horreurs de la Shoah.
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