Citations sur Outlander, tome 7.1 : L'écho des coeurs lointains (24)
« S’efforçant de couvrir leurs voix, William se lança dans des salutations alambiquées et, dans un élan de galanterie, alla jusqu’à baiser la main de Mme MacKenzie. Dans la foulée, il baisa également celle du bébé, provoquant l’hilarité générale. M. MacKenzie le regarda bizarrement mais ne sembla pas en prendre ombrage. Il lui serra la main avec une vigueur toute républicaine puis, histoire de montrer qu’il avait lui aussi le sens de l’humour, enjoignit à son fils de tendre la sienne à son tour. Intrigué par l’épée d’apparat de l’officier, l’enfant lui demanda :
— T’as déjà trucidé quelqu’un ?
— Non, pas encore, répondit William avec un sourire. »
« S’efforçant de couvrir leurs voix, William se lança dans des salutations alambiquées et, dans un élan de galanterie, alla jusqu’à baiser la main de Mme MacKenzie. Dans la foulée, il baisa également celle du bébé, provoquant l’hilarité générale. M. MacKenzie le regarda bizarrement mais ne sembla pas en prendre ombrage. Il lui serra la main avec une vigueur toute républicaine puis, histoire de montrer qu’il avait lui aussi le sens de l’humour, enjoignit à son fils de tendre la sienne à son tour. Intrigué par l’épée d’apparat de l’officier, l’enfant lui demanda :
— T’as déjà trucidé quelqu’un ?
— Non, pas encore, répondit William avec un sourire. »
« S’efforçant de couvrir leurs voix, William se lança dans des salutations alambiquées et, dans un élan de galanterie, alla jusqu’à baiser la main de Mme MacKenzie. Dans la foulée, il baisa également celle du bébé, provoquant l’hilarité générale. M. MacKenzie le regarda bizarrement mais ne sembla pas en prendre ombrage. Il lui serra la main avec une vigueur toute républicaine puis, histoire de montrer qu’il avait lui aussi le sens de l’humour, enjoignit à son fils de tendre la sienne à son tour. Intrigué par l’épée d’apparat de l’officier, l’enfant lui demanda :
— T’as déjà trucidé quelqu’un ?
— Non, pas encore, répondit William avec un sourire. »
J'avais assisté à des levers de soleil sur les mers chaudes qui ressemblaient à l'éclosion d'une immense fleur, un majestueux déploiement de lumière. Celui-ci était un lever de soleil du nord : la lente ouverture d'un coquillage bivalve, froid et délicat, le ciel formant une nacre chatoyante au-dessus d'une mer d'un gris pâle.
Une pleine lune se levant sur la mer était un spectacle époustouflant; elle traçait sur l'eau un chemin lumineux qui vous donnait envie d'enjamber le bastingage et de marcher sur ce rayonnement paisible.
Il nous a expliqué que les indigènes considèrent le ciel comme un dôme qui séparerait la terre du paradis. Ce dôme serait percé de trous et les lumières de l'aurore boréale seraient les torches du paradis guidant les esprits des morts à travers ces orifices.
Chez toi, c'est cet endroit où, quand tu dois y revenir, on ne peut que te reprendre.
Il se demande quel terme de vénerie appliquer à un groupe de diplomates. Si les écrivains formaient la confrérie de la plume et qu'on appelait une harpaille une troupe de biches et de jeunes cerfs... une saignée de diplomates, peut-être? Les frères du stylet? Non, c'était bien trop direct. Un dormitif de diplomates, c'était déjà plus exact. La confrérie de l'ennui? Cependant, ceux qui n'étaient pas ennuyeux pouvaient parfois se montrer dangereux.
- Tu ne pouvais pas pleurer quand les enfants sont partis, ni pour ta maison, ni pour ton petit jardin, ni pour la pauvre jeune fille et son bébé. Mais tu pleures pour ton chat parce que tu sais que tu pourras t'arrêter.
- D'où tiens-tu ça ?
- Parce que moi non plus je ne peux pas pleurer sur toutes ces choses, Sassenach, et je n'ai pas de chat.
Le 4 juillet 1776, la déclaration d'indépendance fut signée à Philadelphie.
Les catholiques ne croient pas au divorce. En revanche, nous croyons au meurtre. Après tout, c'est bien à ça que sert la confession. Brianna
Excusez-moi, je parlais tout seul.
Ce n'est rien. C'est quand on commence à entendre les réponses qu'il faut s'inquiéter.
... les catholiques croient au Mystère et ne cherchent pas sans cesse à comprendre les motivations de Dieu, contrairement aux protestants.