Les « bandits », ce sont ces jeunes patriotes qui arborent un brassard sur lequel figurent une croix de Lorraine et trois lettres : FFI, Forces Françaises de l'intérieur.
Mais au lieu de leur garantir la vie sauve, accordée aux combattants, ce brassard les désigne à l'ennemi et ils sont aussitôt fusillés.
" Sachez le Général ! Chaque fois qu'il nous faudra choisir entre l'Europe et le grand large, nous serons toujours pour le grand large. Chaque fois qu'il nous faudra choisir entre vous et Roosevelt, je choisirai toujours Roosevelt " (Winston Churchill)
Il y a juste six mois, le Premier ministre anglais adressait aux rédacteurs en chef des journaux britanniques une circulaire secrète dont de Gaulle avait eu connaissance.
Churchill écrivait :
« De Gaulle doit tout à l’aide britannique et au soutien britannique, mais ne peut être considéré comme un ami loyal de notre pays. Il a semé un courant d’anglophobie partout où il s’est rendu… Il a un penchant manifeste pour le fascisme et la dictature ! »
Ces accusations, ces critiques, Churchill, répétant les propos de Roosevelt, les a maintes fois reprises, s’interrogeant :
« De Gaulle, un grand homme ? Il est arrogant, il est égoïste, il se prend pour le centre de l’univers.
Citation du générale De Gaulle à la libérartion de Paris en Aout 1944 : "Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris marthyrisé ! Mais Paris libéré ! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France toute entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle."
(En 1944) De gaulle reçoit, à l'embassade de France (à Moscou) les intellectuels et les écrivains amis de la France et, parmi eux, le général comte Ignatiev, ancien attaché militaire du tsar à Paris.
(Parlant de l'Union Soviétique) Ce pays, c'est la Russie sur laquelle on a collé le masque du communisme qui la déforme et qui l'exprime.
Et quand le masque tombera, il restera la Russie.