Il était une fois un coeur brisé, tome 1

Ça se lit, mais j'ai trouvé ça d'une fadeur… Les personnages, même ceux censés être originaux et flamboyants, manquent cruellement de relief.
L'univers n'est pas vraiment original ; je l'ai trouvé très cliché, et même si on se doute que l'autrice a volontairement forcé le trait sur le thème « conte de fées », ça ne parvient pas, à mon goût, à atteindre le charme et la saveur recherchés. C'est très guimauve, paillettes et froufrous roses et la tentative de contraste avec des éléments plus durs ne fonctionne pas tellement, on reste dans une histoire globalement mièvre et faible.
Bref, il y a clairement un parti pris qui va et a sûrement plu à beaucoup de lecteurices mais ça n'a pas vraiment fonctionné sur moi, et ça ne m'a pas donné envie de lire la suite. J'en resterai donc là !

Quel plaisir de retrouver la plume envoûtante de Stephanie Garber. Cette fois direction le Grand Nord Magnifique. Un parfais moment de magie à déguster avec une boisson chaude et un plaid bien douillet. J'ai adoré retrouver certains personnages de la série Caraval et poursuivre les découvertes de ce monde toujours plein de surprises. Ce n'est pas totalement un coup de coeur cependant car même si j'ai apprécié Evangeline, sa naïveté m'a plus d'une fois fait lever les yeux aux ciel. J'ai hâte de voir comment elle va évoluer dans la suite de ses aventures…

Malheureusement, c'est une critique assez mitigée pour moi.

J'ai bien aimé la fluidité et le style d'écriture de l'autrice. Je salue vraiment son imagination et la création de ce monde et de toutes ces idées.

Le bémol pour moi, c'est vraiment cet Univers qui finalement est tellement complexe qu'il a réussi à me perdre et je dois avoué que j'ai vraiment décroché à certains moments. J'ai eu l'impression d'avoir un manque de compréhension global des événements et des subtilités.

La romance n'est pas encore suffisamment bien définie à mon goût dans ce premier tome. En tout cas, il ne faut pas le lire en pensant vraiment aller dans de la "Romantasy". C'est peut-être ce qui a influencé mon avis aussi.

A l'heure actuelle, je suis partagée entre l'envie de connaître le dénouement de l'histoire et la crainte de me relancer dans cet univers complexe. Je ne sais donc pas encore si je me lancerai dans le deuxième tome.

Ce type de récit n'est pas mon genre de prédilection, cependant je dois avouer avoir été fort attiré par le visuel et le titre du livre.

Je dois avouer même au final ne pas trop savoir quel type de récit j'ai lu, il y a en effet un côté conte, un côté un peu ésotérique les Fatalités, les sortes de cartes de tarots y trouvant même aussi des vampires.

Les réécritures de contes semblent avoir le vent en poupe actuellement et toutes les maisons d'éditions s'emparent donc de ce phénomène, je n'attendais rien de particulier de cette lecture.

Celle-ci m'a diverti cependant malheureusement je n'ai pas eu d'attachement particulier aux personnages principaux à Evangeline Fox qui est la protagoniste ce qui est un petit peu problématique d'ailleurs car il pouvait lui arrivé n'importe quoi cela ne m'aurai fait ni chaud ni froid.

Je ne sais pas si je continuerai cette saga ayant trouvé que les personnages manquent d'épaisseur du coup, Evangeline manquant de caractère mais c'est également sans doute dû à son jeune âge.

Si je tombe sur la suite en emprunt bibliothèque pourquoi pas cependant je n'acheterai pas cette saga.

Evangeline a le coeur brisé : son amoureux – qui était fou d'elle il y a peu – va se marier dans quelques heures avec sa belle-soeur ! La jeune fille ne peut s'y résoudre et c'est désespérée qu'elle demande de l'aide à Jack, le Prince de Coeur, afin qu'il trouve un moyen d'arrêter la cérémonie. Cependant, il y a toujours un prix à payer lorsque l'on fait appel à une Fatalité immortelle, et il est de source sûre qu'elles chercheront toujours à profiter des faiblesses de ces pauvres humains pour mieux les berner…

Couverture sympa. Voilà, c'est tout pour les points positifs.

Déjà, il y a beaucoup d'incohérences car je n'ai pas compris ce monde où ce qui est magique & féerique existent, il y a des preuves et on en parle sans problème. Sauf qu'on y croit pas.
Pardon ?

Incohérence I : au pays du « Nord » (quel nom simplet pour un pays juste parce que c'est au nord), il y a de la magie à gogo avec des dragons domestiqués.
Mais pourtant au pays appelé « Sud » (autre nom de pays simplet n'est-ce pas) personne n'y croit alors qu'il y a régulièrement des échanges commerciaux entre le Nord et le Sud.
Donc, dans ce roman, les gens du Sud (d'où vient l'héroïne) parlent du merveilleux de manière banale et le VOIENT, mais n'y croient pas.
Rien compris.

Incohérence II : dans le Sud on parle des Fatalités dans les journaux comme d'une chose banale avec leurs coordonnées et tout ça, mais personne ne semble y croire. Finalement, on le croit sans problème lorsqu'il va se passer quelque chose lié aux Fatalités (et dont on ne saura pas le pourquoi du comment dans ce volume...).

Incohérence III : Evangeline a des cheveux rose et c'est la seule au monde à avoir une couleur qui détonne. Et, comme on est au Sud, cela est anormal. Sauf que ça n'étonne personne et les gens vaquent à leurs occupations sans trop se poser de question.
Illogique. Personne ne fait de réflexion ni ne la dévisage avec instance alors que pourtant tous savent que c'est authentique tout ce rose dans ces cheveux, pas une teinture, et que ce n'est pas la norme ici.

Incohérence IV : quand la jeune fille arrive au pays du Nord, personne ne fait le lien avec une prophétie (que tout le monde ici connaît) liée à cette chevelure unique. Pourtant sa chevelure est ROSE et ça se voit de loin.

Incohérence V : Jack (la Fatalité avec qui elle va passer un pacte) a les cheveux blonds puis bleu. Sauf que ce changement impromptu ne sera jamais expliqué dans le roman.
Bref, rose et bleu. Fille et garçon. Code couleur très limite non ?

Pour ne pas alourdir mon commentaire (car j'en ai des choses à dire), j'irais directement au but : le plus gros point faible de cette histoire c'est son héroïne. Elle est gnian-gnian à souhait, gentille comme tout, douce, naïve, avec un grand coeur, etc…
Cette dose extrême de mièvrerie qui dégouline de sa déjà trop faible personnalité, ne la rend pas très attractive comme personnage à suivre.
Et elle est tellement obnubilée (voire obsédée) par Luc – son ex-fiancé – qu'elle veut le récupérer à tout prix, certaine qu'il s'agit d'une erreur et ne pense qu'à son Luc, avec du Luc par-ci et du Luc par là. Luc, Luc, Luc, Luc, Luc…
Jusqu'à ce qu'elle rencontre le Prince du Nord et pouf : oublié le Luc !

L'amour, l'amour, l'amour… Une mélodie qui se répète tout le long dans sa petite tête de linotte. Car c'est qu'elle y croit fort et ne respire que pour ça. Ce qu'elle veut par-dessus tout c'est vivre la même et merveilleuse histoire d'amour qu'on vécut ses parents.
Le but ultime de sa vie depuis toute petite : trouver son âme soeur. C'est tout.
Bof.
Pour résumer : je la trouve fade, gamine et surtout ennuyeuse. Impossible de l'apprécier, ni de s'identifier à elle.

Cette lecture m'a accablée de par sa simplicité enfantine, du manque d'imagination de l'auteure (univers, personnages, histoire) et surtout de son héroïne tellement crédule (pathétique si j'ose dire) que je me posais des questions quant à son niveau d'intelligence.

Oui je sais c'est dur comme critique, mais le synopsis était tellement alléchant... Puis, au fur et à mesure de ma lecture, mon excitation s'est refroidie et pour terminer ce roman j'ai dû m'y contraindre de force.
Il s'agit d'un monde peu construit, comportant des personnages caricaturaux à souhait et avec beaucoup de facilité dans le développement de l'histoire.

J'ai vu qu'il s'agissait de la suite d'une série mais qu'on pouvait lire cette histoire-ci séparément et sans problème. Peut-être que c'était là le souci et qu'il fallait quand même commencer par le début ?

Mais de toute façon, je ne lirai pas l'autre volume qui concerne ce roman-là car j'abhorre les incohérences et surtout cette héroïne m'horripile beaucoup trop.

J'ai eu envie de lire ce livre dès que j'ai lu le résumé, alors entre ça et les avis positifs, j'avoue que j'étais impatiente de découvrir cette trilogie ! N'ayant lu que le premier tome de Caraval, il me manquait des informations mais rien qui n'a gêné ma lecture. J'ai été spoilée sur les événements des tomes 2 et 3, mais ça m'a juste donné encore plus envie de continuer la trilogie 👀

Alors, qu'est-ce que j'en ai pensé ? C'ÉTAIT GÉNIAL ! Les avis ne mentent pas, le premier tome est trop bien et c'est une lecture que j'ai aimé du début à la fin. L'écriture est fluide, l'intrigue est super intéressante et donne envie de lire sans jamais reposer le livre parce qu'on a toujours envie de savoir la suite. Au niveau des personnages : Jacks ?? C'est totalement un bookboyfriend, je l'aime de tout mon coeur, même si on a envie de le frapper à certains moments. Pour Evangeline, j'ai lu pas mal d'avis qui parlent de son côté « fille naïve » qui la rend moins intéressante, mais pour le coup j'ai adoré ! Ça change des héroïnes badass qui donnent l'illusion de n'avoir aucune faille. Je l'ai trouvée super altruiste et pour moi elle n'est pas forcément naïve, elle veut juste voir le bon chez les autres et être aimée et je ne pense pas que ça la rende agaçante, au contraire, je me suis encore plus attachée à elle. Je l'ai trouvée plus intéressante que les deux héroïnes de Caraval… 😭

En ce qui concerne l'univers, je le trouve fou ! J'aime beaucoup l'histoire des fatalités et voir des êtres « divins » avec de véritables faiblesses. de plus, je trouve que l'autrice a une écriture très graphique, j'arrivais parfaitement à imaginer les scènes, les endroits, les personnages, ce qui rend l'immersion dans l'histoire encore plus facile et plaisante!

Si le tome 2 était encore plus grandiose (et j'ai hâte de vous en parler omg), c'était une lecture géniale qui rentre dans mes coups de coeur de l'année 🤍
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J'ai adoré ! Je n'ai pas lu Caraval et je n'ai jamais lu de livres de Stéphanie Garber, donc je n'avais pas d'a priori sur ce livre.
Je dois avouer que je ne m'attendais pas à être embarquée si rapidement alors que pourtant, je n'ai pas tout compris du monde dans lequel évolue Evangéline. Il n'y a que très peu d'explications finalement, mais cela ne m'a pas gêné dès lors qu'on considère que l'on est dans un conte de fées et que tout n'est pas forcément logique ou connu.
C'est pareil avec l'héroïne qui apparaît parfois très naïve dans ses réflexions, mais ça participe à cette idée de conte de fées. Tout comme le personnage de Jacks, qu'on adore détester et qui cache beaucoup de mystères.
Malgré cela, j'ai été prise par l'intrigue car je ne voyais pas où l'auteur voulait nous emmener.
Bref j'ai tout aimé, même les défauts du livre qui pour moi, n'en sont pas.
C'est avec célérité que je vais me procurer le tome 2.

Quel plaisir de retrouver l'imagination débordante de Stephanie Garber !

Cette saga est un spin off de sa première trilogie « Caraval ». du point de vue de la compréhension, on peut tout à fait lire « Il était une fois... » sans avoir découvert Caraval. Mais avoir lu cette première trilogie apportera un réel bonus, notamment concernant le « background » du personnage de Jacks. J'avais adoré le premier tome de « Caraval » avant d'être plus mitigée concernant la suite la faute à un personnage (Donatella) que j'avais purement et simplement détesté suivre. le risque était donc que la même chose se produise avec Evangeline...

Une fois ces constats faits, qu'ai-je pensé de ce roman ? du point de vue de l'univers, je suis toujours aussi charmée. Je l'avais déjà grandement adoré dans Caraval. Mais j'ai conscience qu'il soit clivant, c'est soit on aime, soit on n'aime pas. Nous avons un monde digne d'un conte de fées avec sa magie et ses légendes. Ce côté est encore plus exacerbé par une narration typique de ce genre dans la première partie du roman. Ainsi, l'autrice propose un postulat de départ très classique : une jeune fille au coeur brisé va se rendre dans un royaume voisin pour tenter de séduire le prince. le début est très simpliste, les sentiments peu approfondis à tel point que je me suis demandé quand commencerait réellement l'intrigue. le début m'a donc quelque peu désarçonnée même si je pense que cette construction très en surface est voulue par l'autrice. Comme si elle faisait la satire du genre en proposant un insta-love à la Cendrillon. Ceux qui ne sont pas familiers de l'autrice peuvent ne pas être conquis d'autant plus que cette partie du récit prend la moitié du roman. de mon côté, j'ai persévéré car je savais que Stephanie Garber allait nous proposer quelque chose de plus profond une fois l'intrigue réellement lancée. Et c'est ce que j'ai ressenti, ce qui fait que ma lecture de la deuxième partie fut beaucoup plus fluide et prenante.

Du côté des personnages, je n'avais pas trop aimé Jacks dans la suite de Caraval mais, ici, j'ai appris à l'apprécier. Pour Evangeline, elle a un côté très princesse naïve qui recherche désespérément l'amour en début de récit. Puis elle prend conscience de ce travers de sa personnalité. J'ai vraiment aimé que l'autrice pointe qu'elle est plus en quête de l'amour, des touches d'attention pour fuir sa solitude plutôt que d'une personne précise à aimer. Elle est prête à s'attacher au premier venu si cela lui permet de combler son manque affectif, peu importe qui il est. Cette prise de conscience par le personnage est assez rare dans ce type de littérature pour être souligné et j'ai trouvé cela rafraîchissant. Je comprendrai que ce trait de personnalité puisse en agacer certains mais ,moi, il m'a touchée, surtout Evangeline verbalise son rapport problématique à l'amour. Ce qui promet une belle évolution du personnage.

Pour conclure, après un début de lecture mitigé, car je ne savais pas trop quelle intrigue l'autrice souhaitait développer, j'ai été conquise par la seconde partie du roman. J'adore l'univers imaginé par Stephanie Garber. Elle a une imagination folle, qui lui est propre et qui amène une touche très personnelle à ses oeuvres. C'est tellement particulier que le risque que certains soient laissés sur le bord de la route existe. Moi, c'est ce qui me donne envie de continuer cette saga, d'autant plus que, une fois les tenants et aboutissants de l'intrigue connus, j'ai réellement hâte de découvrir la suite et le fin mot de cette histoire. Si vous aimez les univers vraiment très particuliers où la magie, les complots et les faux-semblants sont maîtres, alors ce titre pourrait vous plaire. Ce n'est pas pour rien que le titre commence par « il était une fois... » tant la construction, les personnages et l'univers font écho à un conte de fées. Mais un conte de fées nouvelle génération avec sa propre mythologie qui ne se contente pas de « réécrire » ce qui a déjà existé. Et cela fait diablement du bien dans un monde éditorial saturé de réécriture de « La belle et la bête » et autres histoires mille fois racontées.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture.
L'univers dans lequel on évolue est très diversifié, pour ne pas dire unique. Bien qu'il reprenne les différents mythes existants comme celui des contes de fées ou des vampires, Garber s'est appropriée le tout pour créer un monde fascinant.
Le point le plus essentiel pour moi reste Évangéline. Il est très rare que j'aime à ce point un personnage principal, encore moins lorsqu'il s'agit d'une femme. Mais là, je suis comblée. Elle a de nombreuses failles et beaucoup de défauts, mais avec un grand coeur et énormément de culpabilité. Je me retrouve en elle : faire passer les autres avant soit et regretter les actes égoïstes qu'on peut faire pour combler le manque d'affection qu'on reçoit. J'adore ce personnage. Elle m'a touchée et ses réflexions étaient tellement proches des miennes que je pouvais aisément me projeter dans le récit.
Jacks, le antihéros si je puis dire, est un terrain de jeu à lui tout seul. Ce « Fate » (je ne connais pas la traduction française) est incompréhensible mais touchant, insensible dans sa franchise et pragmatique au point de remettre en question valeurs et principes. J'aime également son fardeau : tuer quelqu'un au moindre baiser. C'est triste et poétique mais on ne s'apitoie pas non-plus.
Bref, ce roman YA était vraiment chouette et j'ai hâte de découvrir la suite

Après avoir lu et beaucoup aimé Caraval et Legend, je ne pouvais absolument pas passer à côté de la nouvelle trilogie de Stephanie Garber qui est d'ailleurs un spin-off de sa première trilogie. Concrètement, vous pouvez tout à fait découvrir Il était une fois un coeur brisé sans avoir lu Caraval et cie. Personnellement, je n'ai pas lu le dernier volet (Finale) et aucun problème puisqu'on part ici sur d'autres personnages et notamment Jacks, le Prince de coeur et Evangeline Fox, une jeune fille qui croit dur comme fer aux contes de fées et Happy-end.

Evangeline a toujours été amoureuse de Luc. Mais alors qu'elle pense se fiancer avec lui, voilà qu'il prend la tangente ou plutôt qu'il se fiance avec sa demi-soeur. le coeur brisé, elle tombe sur Jacks, le Prince de coeur et conclu un accord avec lui. En échange de trois baisers, il interrompra ce mariage. Mais Evangeline va rapidement se rendre compte que sur l'échiquier de la vie, elle et tous les autres ne sont que des pions que Jacks prend soin de placer là où il en a besoin.

Stephanie Garber nous plonge toujours dans des univers à la fois enchanteur et plein de mystère. Il était une fois un coeur brisé ne déroge pas à la règle. A l'image des contes, on se laisse porter par des événements tous plus fous les uns que les autres. Car passer un marché avec une Fatalité comme Jacks, c'est prendre un risque encore plus grand, lui qui n'a plus rien à perdre se moque bien de causer des dégâts sur son passage et c'est ce que va apprendre notre héroine. Un début de trilogie assez prometteur bien que pas aussi génial que je l'espérais.

Ce premier tome se découpe plusieurs parties. La première est vraiment introductive, c'est vrai mais en même temps, nécessaire pour lancer l'histoire. On découvre (ou redécouvre) l'univers (à tâtons) et les personnages. Pour ma part, j'ai beaucoup aimé le début. J'ai trouvé que cela amorçait déjà une bonne petite intrigue et surtout, le personnage de Jacks est terriblement énigmatique. Car si par certains de ses actes on croit à la rédemption pour lui, il reste malgré tout le maître du jeu dans cette nouvelle trilogie et prend bien soin de pousser les autres dans son sens. Evangeline, de son côté est une héroine très fleur bleue. Elle croit au grand-amour, aux contes de fées et est amoureuse de l'idée même d'être amoureuse. Quelque part, je l'ai trouvé un chouille trop rêveuse et naïve.

Et c'est là que commence la seconde partie, qui m'a en revanche un peu paru longue. En vérité, je pensais qu'il y aurait plus d'interactions entre Evangeline et Jacks. Mais finalement, après Luc le premier amour, voilà qu'arrive Apollon et même si c'est une machination de Jacks, franchement, j'ai trouvé la romance entre les deux assez inintéressante. Moi je voulais du enemies-to-lovers entre Jacks et Evangeline du coup, j'attendais la moindre de leurs confrontations avec impatience et j'avoue que le peu qu'on a eu me laisse un peu sur ma faim car je n'ai pas vraiment ressentie cette tension, ou une potentielle alchimie entre eux.

Toutefois, la dernière partie vient bouleverser tout cela et les intrigues autour de nos personnages s'intensifient et viennent redynamiser tout cela. J'ai trouvé ce dernier tiers bien plus convaincant et prenant. Même si je suis toujours un peu frustrée niveau romance, je l'avoue. Mais les rebondissements étaient nombreux et donnaient envie d'en savoir plus.

En conclusion, Il était une fois un coeur brisé a un bon potentiel. L'objet livre est dingue et les personnages ont encore beaucoup à donner. J'avoue que je m'attendais à plus tout de même, la faute à de grandes attentes sans doute. C'était un bon moment de lecture mais pas aussi sensationnel que je l'espérais.
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