Jusqu'à ce que la mort nous sépare

Elle songea que personne ne lui avait jamais dit que le Mal pouvait revêtir une apparence aussi belle.

Je suis perdue au fond de moi-même et personne ne m'entend pleurer.

Prouvez vos talents dans la pataugeoire avant de plonger dans l’océan

pour être un vrai Bostonien, il fallait pouvoir répondre par l’affirmative à trois questions : vos ancêtres sont-ils venus à bord du Mayflower ; ont-ils fait leurs études à Harvard, ont-ils connu personnellement un membre du clan Kennedy ? Si on échouait à ce test, autant renoncer pour de bon. On pouvait vivre cent cinquante ans à Boston sans en être un authentique citoyen.

En fait, il n’était pas vraiment vieux. De nos jours, à cinquante ans, on est loin d’avoir un pied dans la tombe.

les faibles n’hériteront jamais de la Terre. Celle-ci reviendra à ceux qui savent tenir la distance et sont encore debout à l’arrivée..

Je veux que ce soit impeccable, Teresa. La jeunesse n’excuse pas la négligence. Il faut toujours s’efforcer de faire mieux.

excellent livre, même si je n'ai pas été captivé depuis les premières pages... ça valait le coup de le finir. Très bon suspense qui me donne envie de connaitre les autres romans de lisa gardner.

Le colonel confondait éducation des enfants et sport de combat.

S’il avait retenu une quelconque leçon de son père, c’était
bien celle-là : les femmes pleurent, les hommes rient. Les pleurnicheurs
geignent. Les hommes rient. Les poules mouillées se plaignent. Les hommes rient.