«
Chlore » de
Johannes Gelich (2008, Absalon, 184 p.) Les vapeurs
chlorées des piscines ne m'ont jamais inspirées. le style de JG non plus. On dirait un bouquin de chez Bourgois, (qui en a pourtant des bons).
le narrateur vient d'être licencié. Il coule pourtant des jours paisibles dans une piscine, avec le clapotis de l'eau. Mais l'incompréhension s'installe peu à peu entre lui et sa femme Vivien, brillante cadre en communication.
la brillance et le clapotis. Cela fait plouf.
Langue minimaliste, un premier roman quelquefois très drôle, avec le portrait sans concession d'une société mercantile